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Lonelyness, 21 ans, Paris
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J'avoue avoir peur de mourir vierge et de ne pas connaitre ce sentiment d'amour et de protection dans les yeux de quelqu'un.
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Nellie, 30 ans, Paris
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J'avoue que je ne croyais pas en mai que j'aurais pu réussir mon régime. J'avoue qu'aujourd'hui j'ai perdu 35 kg et que ça me change du tout au tout. J'avoue que tout le monde me couvre de compliments et d'encouragements. J'avoue que je ne m'aime toujours pas et que j'arrive mal à voir que je suis devenue presque jolie. J'avoue que j'ai peur de ne pas arriver à m'aimer au final alors que je lis l'amour et la fierté dans le regard de ceux qui m'aiment. J'avoue, avant j'étais énorme et je m'en foutais, maintenant je suis beaucoup plus mince et je me trouve horrible et grosse...
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Juliette, 41 ans, Bordeaux
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J'avoue que pour toi Y la page est tournée, mais moi, je n'ai toujours pas avalé le mal que ton équipe t'a fait ce 29 août. J'avoue que ce sont des hypocrites et qu'ils sont contents de se partager tes restes. J'avoue que tu étais le meilleur de tous. J'avoue que tout le monde te prenait pour le chef et que ça n'a pas plu au chef ; lui qui a autant de charisme qu'une moule sur un canapé. J'avoue que j'attends avec impatience de le voir dans 3 ans quand il aura face à lui un adversaire comme toi. J'avoue que j'irai devant sa maison pour voir sa tête de prétentieux destitué par les siens et lâché par tous ceux qui lui cirent les pompes actuellement. J'avoue que ce jour-là je tournerai définitivement cette page-là.
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Lali89, 22 ans, Laval
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J'avoue je n'en peux plus d'être seule. J'avoue qu'à 22 ans je n'ai toujours eu de petit ami. J'avoue que ça me gonfle d'être toujours la bonne copine. J'avoue qu'en même temps je comprend en voyant ma tête. J'avoue qu'on m'a toujours dit que le physique ça ne comptait pas mais bon je pense que quand même ça ne doit pas m'aider. J'avoue que je rêve au prince charmant ce qui est totalement débile. J'avoue que je suis en grand manque de câlins. J'avoue j'aimerais bien changer pour que ça change mais je ne sais pas quoi changer. J'avoue que j'en pleures le nuit et que personne ne le sais vu que devant tout le monde je fais la je m'en-foutiste. J'avoue, vivement que ça change.
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Diosis, 19 ans, Paris
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Maman, Papa, mon frère, J'avoue que je vous aime comme la prunelle de mes yeux et même plus.
Je n'ai pas été une fille exemplaire pendant l'adolescence et je vous en ai fais voir des vertes et des pas mûres. J'ai dû vous blesser plus d'une fois et je crois que je ne pourrais jamais me le pardonner. Je n'ai pas non plus été une sœur très sympathique et j'ai souvent profité de mon statut de cadette pour faire passer mes bêtises plus facilement que les tiennes. Aujourd'hui nous ne sommes pas très proche mais je vois qu'avec le temps ça évolue et ça me fait vraiment plaisir.
Il y a environ un an j'ai réussi à complètement accepté ma bisexualité et j'ai réussi à vous en faire part. Et vous m'avez comprise, une fois de plus. Dans cet aveu, je vous dis donc, merci. Merci de m'avoir supporté pendant cette horrible période qu'à été mon adolescence. Merci de m'avoir écouté et soutenu. Merci de ne pas m'avoir rejeté comme beaucoup de parents et de frères et sœurs le font. Merci pour vos sourires et même pour ces moment taquins que nous vivons ensemble. Merci de me rendre heureuse.
J'avoue que je vous aime plus que tout et que ma vie aurait été un désastre si ma famille n'avait pas été celle que j'ai aujourd'hui.
Je vous aime.
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Helios, 22 ans, Paris
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J'avoue que je ne comprend pas les êtres humains. J'avoue que je me demande si je ne viens pas d'une autre planète. J'avoue que je ne comprend pas comment on peut aimer l'alcool ou le café. J'avoue que je ne comprend pas les gens qui regardent la télé à longueur de journée. J'avoue que je ne comprend pas les gens qui s'énervent et qui ne peuvent pas se contrôler. J'avoue que je ne comprend pas les gens qui veulent se "laisser vivre". J'avoue que je ne comprend pas ce qu'est "brûler de désir" pour une autre personne, et encore moins comment des gens peuvent tromper leur conjoint. J'avoue que je ne comprend pas comment les gens peuvent commencer à fumer ou à se droguer. J'avoue que j'ai eu des moments difficiles dans ma vie mais tout ce que je faisais c'était d'attendre que le ciel se lève et que mes larmes sèchent d'elles-mêmes. J'avoue que je ne comprend pas l'intérêt de la célébrité, d'être adulé pour ce que l'on n'est pas. J'avoue que je ne comprend pas l'importance de la classe sociale dans le monde, ni de la valeur de l'argent.
J'avoue que ce que je dis peut sembler prétentieux, mais c'est simplement la confession d'un homme à qui la logique du monde échappe.
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Zéphir, 43 ans, Bordeaux
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J'avoue que je n'ai pas envie de reprendre le travail demain. J'avoue être comme Zoé Shépard, entourée de nantis et gens intouchables qui peuvent se permettre de la ramener parce qu'ils ont un statut d'intouchables. J'avoue travailler 40 heures par semaine au lieu de 35 mais je n'y arriverais pas autrement. J'avoue que ma chef est payée grassement pour faire des heures sup et qu'elle reste chez elle ou nous fait croire qu'elle est en rendez-vous à l'extérieur, ou qu'elle est malade, d'ailleurs elle est tout le temps malade. J'avoue que je ne veux pas lui ressembler, d'abord parce qu'elle est moche et en plus sournoise. J'avoue que je sais qu'elle a menti au patron et qu'il l'a augmentée en toute légalité et ça les arrangeait bien en définitive, tout ça me donne parfois la nausée. J'avoue que ce patron est un vieux qui se croit beau, alors que les sourires lui sont adressés parce qu'il est le patron, et en plus il n'y voit que du feu. J'avoue que le soir je rêve que je suis riche et je suis Don Diego de la Vega.
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Lilibus, 22 ans, Dijon
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J'avoue Max que cette idée est plutôt sympathique. Alors pourquoi pas ! Daniel se chargera s'en suis sur, de me transmettre ton adresse par le biais du site... (ndlr : Pour les échanges de coordonnées, merci de m'envoyer un mail daniel.latif@javoue.com)
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Panicgirl, 21 ans, Paris
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J'avoue que j'ai enfin la possibilité de réaliser un de mes rêves. Un rêve qui sera un tremplin pour mon futur professionnelle. Je pensais que le plus compliqué serait de trouver le travail à l'étranger mais je n'avais pas pensé à tout ce qu'il y avait à côté. Le visa, pour les Etats-Unis croyez-moi c'est pas le plus facile.
Mais particulièrement le logement ! Je commence réellement à paniquer, me retrouver sans rien, avoir un loyer 1000 fois trop cher par rapport à ce que je pourrais payer... Je panique, je me pose beaucoup de questions et surtout mais pourquoi je me suis engagée là dedans ? Et quand je me pose je me dit : " Mais putain arrête t'as trouvé LE travail que tu voulais, dans LE pays que tu voulais, tu es sociable tu pourras t'intégrer, tu sauras faire ton métier, alors arrête de paniquer !" Mais c'est plus fort que moi, tant que je n'aurai pas trouvé un logement la panique sera toujours bien là... J'avoue que j'ai besoin d'aide !!!
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Camille, 17 ans, Lyon
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J'avoue que je réfléchis trop, et ça me fait perdre beaucoup de temps. Par exemple, aujourd'hui j'ai mis une demie-heure avant de me décider à envoyer un sms ! Je voulais que cet sms soit parfait alors que ce n'était qu'une réponse à un sms anodin. J'avoue qu'il faut que je sois plus indulgente avec moi et avec les autres. J'avoue que des fois j'ai peur des autres et que j'angoisse encore quand on m'aborde. Il m'arrive d'avoir peur du jugement d'autrui malgré ce que je peux dire :" j'men fou des autres, je vis pour moi pas pour eux".
Peu à peu je me sens plus à l'aise en société car effectivement j'ai avoué que j'étais timide et que ça sonnait faux quand j'essayais de me convaincre que j'étais sûre de moi alors que je ne l'étais pas. Ainsi je le vis beaucoup mieux et je me pose un peu moins de questions sur ce qu'on va dire sur moi (mais il m'arrive encore d'être intimidé par les autres, je le reconnais).
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Juliette, 41 ans, Bordeaux
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J'avoue qu'aujourd'hui avec une de mes collègues, nous avons fait preuve de courage. Nos 2 chefs nous avaient mis la pression pour nous soutirer des noms de collègues qui tiennent certains propos et nous n'avons rien lâché parce qu'à l'école on nous a appris à ne pas rapporter. J'avoue que les entendre jurer sur la tête de leurs enfants qu'elles ne diraient rien à personne les a complètement décrédibilisées à nos yeux. J'avoue que j'avais déjà entendu dire qu'elles avaient comploté pour limoger des gens. J'avoue que je sais de source très proche d'elles (mais elles l'ignorent), beaucoup de vilaines choses sur elles et pour cette raison, je ne baisserai jamais les yeux devant elles. J'avoue que si je n'avais pas besoin de travailler je leur ferais un procès pour harcèlement en bande organisée. J'avoue que le peu d'estime que j'avais pour ces 2 femmes s'est définitivement envolé et j'espère qu'elles le paieront un jour. J'avoue qu'après, avec ma collègue nous avons ri de leur bêtise et de leurs grosses ficelles de chefs à deux balles. J'avoue que maintenant ma collègue et moi avons confiance l'une en l'autre et ça c'est inestimable.
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Snif, 36 ans, Liège
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J'avoue que sous mes airs cyniques je suis une grande sensible qui aime les autres, même si je les tiens à distance. J'avoue que ça me fend le cœur d'apprendre des histoires de gens malheureux, que je me dis que la vie est bien moche et très injuste et que, même si c'est impossible, je souhaite de toute mon âme que tout le monde trouve ce qui lui manque et soit heureux. J'avoue que de penser à toute la misère humaine qui m'entoure à tendance à me flanquer le cafard. J'avoue aussi que depuis quelques mois, plusieurs de mes connaissances vivent de véritables drames mais qu'il vaudrait mieux que je pense à autre chose sous peine de me mettre moi aussi à aller mal. J'avoue que du coup je sors beaucoup, et que je m'amuse énormément, mais que je culpabilise. J'avoue que je vois une grosse déprime pointer le bout de son nez, mais que je n'ai pas l'intention de la laisser m'attraper !
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Max, 26 ans, Lille / Arras
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J'avoue que, Lilibus, si tu souhaite qu'on agrémente nos soirées en discutant un peu, il n'y a pas de problèmes.
Le chat, c'est bien gentil mais ça dit pas grand chose.
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Alanis, 18 ans, Hyon
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J'avoue, j'aime le soir me déshabiller quand mes parents s'endorment. J'avoue, j'aime le soir, une fois toute nue prendre des photos de moi et de mon corps. J'avoue, j'aime le soir m'allonger sur mon lit, les draps retirés et toucher dans mon sexe avec la main droite et malaxer et lécher mes seins avec la main gauche. J'avoue, j'aime cet effet de bien-être que ça fait, tous les soirs.
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Kabichulo, 29 ans, Paris
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J'avoue que je ne vieillis pas, je suis toujours un enfant, j'ai toujours cette âme de gamin. J'avoue que quand je marche dans les rues à Paris, et que je passe à côté d'un vélo, j'actionne la sonnette. J'avoue que j'ai réussi à faire un petit concert avec 5 vélos alignés les uns à côté des autres. Ca a même fait rire les passants. J'avoue que j'aime pas sortir de la douche car il fait froid. J'avoue que quand je me suis brulé avec la plaque tout à l'heure, je me suis surpris à me faire un auto bisou magique et que ça allait tout de suite mieux. J'avoue que je suis un vrai bébé et ça me dérange pas !
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Sadaharu, 26 ans, Laon
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J'avoue avoir réagit à l'aveu de Gybe, 19 ans, Rennes. J'avoue que sur certains points je suis pareil qu'elle. J'avoue subir les "envies" de mes contacts qui me prennent me parlent quelques temps, me promettent une forte amitié et me délaissent peu de temps après... J'avoue que je pense comprendre cette jeune fille. J'avoue que j'aimerai ne rien ressentir.
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Lilou, 17 ans, Paris
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Oh mon dieu j'ai eu un choc en lisant l'aveu de Gybe puisque je ressens la même chose. J'avoue que j'étais assez contente quand j'ai vu son aveu puisque je me sens moins seule. C'est tellement vrai ce que tu dis : je rentre chez moi, je vais en cours, je mange et je dors. Voilà à quoi se résume ma vie en ces temps-ci.
Pourtant je suis une fille sociable, un peu timide mais jolie et intelligente. Je suis dans une institution très prestigieuse et je sais que beaucoup de gens auraient aimé y rentrer. Mais je me sens tellement seule ; je n'ai pas de relations amoureuses depuis un bon bout de temps et je ne comprends pas pourquoi : je ne veux pas finir vieille fille j'ai tellement besoin d'amour. Et je l'attends tous les jours en espérant que quelqu'un viendra m'aborder, que je rencontrerais enfin quelqu'un de bien : un garçon drôle, intelligent, gentil, pas radin, brun ou blond, yeux clairs ou marron, sportif, cultivé, chiant, galant, pas romantique... Je sais pas mais un garçon qui reconnaîtra ma valeur et qui verra tout ce que je peux offrir. J'ai tellement de choses à donner, je suis une personne tellement entière. J'en ai marre de me faire aborder par ce gros lourd qui est imbus de sa personne. Je veux trouver cette personne mais je ne sais pas où elle se cache. Gybe, ne perds pas espoir, un jour cette personne viendra. Dis-toi que tu n'es pas seule dans cette situation. J'avoue, que je ressens la même chose que toi.
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Lilibus, 22 ans, Dijon
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Max en lisant ton aveu j'ai l'impression de m'entendre parler... J'avoue que j'aimerai trouver quelqu'un qui veuille d'une relation stable mais apparemment ça ne court pas les rues... Du coup ma seule compagnie se résume aussi a pas grand chose. J'avoue que même si je ne dis ne plus y croire, au fond, je me surprends toujours à rêver.
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Under My Skin, 17 ans, Centre
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J'avoue que je mens. Je mens à tout le monde et à moi-même. J'avoue que je suis beaucoup trop maigre. J'avoue que je n'ai pas fait exprès de perdre 6kg en 2 mois. J'avoue que déjà avant j'étais très loin du poids que je devrais faire. J'avoue que quand je dis que je vais reprendre les kilos qu'il me manque, je mens. J'avoue que je n'en ai pas envie. J'avoue que je me sens bien comme dans ce corps. J'avoue que pourtant je sais que c'est dangereux pour ma santé. J'avoue que je sais que c'est moche. J'avoue que je m'en fiche.
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Davina, 20 ans, Lille
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J'avoue que l'ex de mon chéri, après 4 ans de rupture, n'a toujours pas passé l'éponge sur cette rupture et sur le fait que je sois avec lui depuis 3 ans et demi. J'avoue que j'entends régulièrement par le biais de connaissances qu'elle demande toujours des nouvelles de nous, juste pour savoir notre vie. J'avoue qu'elle pensait être la femme de sa vie, et que ça la bouffe de savoir que c'est une autre qui est à sa place. J'avoue qu'elle se permet de nous juger sur nos choix de vie, et qu'elle prétend ensuite s'en foutre.
J'avoue que ça me fait bien marrer et que j'espère encore entendre ça dans 10 ans, histoire de bien rigoler encore une fois !
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Poopine, 24 ans, Lyon
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J'avoue que j'ai juste une chose à dire : au revoir petite AX...
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Spleen, 19 ans, Paris
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J'avoue que j'ai peur de ne plus partager ce que l'on partageait avec un autre. Je ne regrette pas de t'avoir quitté. Notre relation était destructrice, j'en étais prisonnière. Mais j'ai peur. Peur de ne pas trouver quelqu'un avec qui partager, cette passion pour la peinture, les impressionnistes, les romantiques, les naturalistes. Quelqu'un avec qui arpenter les musées, écouter de la musique classique, parler de poésie, jouer du piano. A à peine 20 ans, je ne suis plus sûre qu'une telle personne existe...
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Imperatrice, 31 ans, Paris
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J'avoue j'en ai bavé mon amour. J'avoue que le monde dans lequel on vit est absurde. J'avoue que la beauté ne sert à rien si ce n'est de se faire détester et haïr par ceux qui t'ont adoré. J'avoue que tout est un éternel recommencement. J'avoue que si tu n'a pas un moral d'acier t'es foutu. J'avoue qu'il faut toujours avancer et c'est épuisant. Et j'avoue que finalement, il n'y a que sur soi que l'on puisse compter.
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Jamingirl, 20 ans, Hainaut
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J'avoue avoir été dingue de toi, mais tu le sais... J'avoue que le sexe avec toi, c'était génial, si bien que j'en suis accro. J'avoue que maintenant que c'est fini, j'ai beau ne plus t'aimer mais je te désire encore plus, j'ai envie de toi, tu hantes mes nuits, mes rêves, mes fantasmes, des fois je n'en dors pas, je pense à toi quand je suis avec un autre... Putain qu'est ce que je ne donnerai pas pour une nuit avec toi !
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Specialdedicasse, 17 ans, Paris
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J'avoue qu'en boite de nuit, parfois il m'arrive de monter le "fa", de baisser le "do", d'envoyer le rift et de laisser jouer le master... J'avoue que tout le métier repose la dedans.
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