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Olaw, 20 ans, Nice
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J'avoue que Laurent me manque. J'aurais voulu garder contact avec lui, continuer à plaisanter avec lui, écouter de la musique avec lui, le réconforter un peu, le taquiner beaucoup. Je regrette d'avoir été méchante à l'époque. Et trop fière pour le retenir. J'avoue que s'il me parlait à nouveau j'en serais très heureuse. J'irais jusqu'à ramper à ses pieds s'il le fallait ! Mais ça n'arrivera pas. Et j'avoue que ça me donne envie de pleurer, parfois.
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Javouetout, 36 ans, Epinal
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J'ai fait croire à une amie que j'avais trompé mon compagnon. C'était une amie commune à notre couple. Un jour, elle n'a rien trouvé de mieux à faire que de le lui répéter !
Je sais que mon compagnon ne me croirait jamais si je lui disais qu'il ne s'est en réalité rien passé (rien de chez rien !) avec celui avec qui je suis censée l'avoir trompé.
Je suis prise à mon propre piège. Je sais, ce n'est pas très malin de faire croire ce genre de chose à une amie. Mais bon, je n'allais pas très bien et j'avais sans doute besoin de me valoriser.
Quand mon compagnon m'a forcée à avouer ma "faute", j'ai bien tenté de lui faire comprendre qu'il ne s'était pas passé grand chose (en fait rien, puisque je me suis littéralement enfuie à la seconde où cet "amant potentiel" a tenté quelque chose...). Mais il est persuadé que je l'ai vraiment trompé !
Il dit qu'il m'a pardonnée, mais je sens une hostilité, un malaise quasi permanent. Au point que je n'ose même plus lui parler de choses importantes, notamment d'un problème de santé récent. J'ai trop peur de lire de l'indifférence dans ses yeux...
Un jour, j'essayerai de lui avouer qu'il ne s'est rien passé, mais j'ai vraiment peur qu'il ne me croit pas, qu'il dise que "c'est trop facile" ou un truc du genre ! Je crois que ça serait encore pire !
La situation s'est retournée contre moi, mais mieux vaut en rire, non ?
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Maya27, 50 ans, Rouen
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Je suis sans cesse dans le questionnement. Pourquoi je n'arrive pas à retrouver un travail ? Est-ce que je l'aime vraiment ? Pourquoi les gens sont-ils si indifférents ? Pourquoi mes enfants ne prennent pas plus souvent de mes nouvelles ? Toutes ces questions (et bien d'autres) m'empêchent d'être pleinement heureuse.
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Marie, 20 ans, Paris
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J'avoue que j'ai de la peine à prendre des décisions, mais quand je les prends en général c'est toujours un pas en avant.
J'ai pris cette année pour réfléchir à ce que j'aurais envie de faire à l'Université après le bac, sûrement mon sens de la prudence.
Je suis partie en Australie pendant quelques mois et pour la première fois de ma vie j'ai dégusté chaque journée passée là-bas. J'adore l'endroit et de plus j'ai rencontré quelqu'un. J'avoue, au début ce n'était que pour s'amuser (partir à l'autre bout du monde à 20 ans...) mais au final je pense être tombée (malheureusement !) amoureuse d'un brésilien. Histoire ridicule, je sais... Au début je n'étais pas plus attachée que ça (je ne voulais pas me faire d'illusions sur une petite histoire l'autre bout de la planète, en plus avec un brésilien) mais il m'a prouvé que son amour était sincère, je suis plus convaincue de ça car nous sommes toujours en contact depuis plus d'un mois et qu'il veut venir me voir en France.
Mais là maintenant je n'ai aucun plan jusqu'à septembre, j'avoue que j'aimerais bien aller le voir en Amérique du sud (surtout que je comptais faire un séjour pour apprendre l'espagnol) mais mes parents pense que c'est trop dangereux. Du coup il faut que j'aie une occupation là-bas. Mais quoi ? Je ne sais pas.
J'avoue que je suis perdue !!!
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Capricam, 26 ans, Lille
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J'avoue je suis un peu blasée car je ne sais pas ce que je vais devenir, si je trouverai le bon ou s'il me trouvera car toutes les tentatives ont été vaines jusqu'à présent. Ils me quittent tous même F que je croyais prêt bien non rien du tout !!! Soit, je dois certainement faire trop peur à la gente masculine. Je tergiverse beaucoup mais cela ne sert à rien pourtant comme beaucoup de monde, j'ai envie que l'on me sert dans les bras, qu'on me chuchote des mots à l'oreille, passer des nuits blanches et j'en passe et des meilleures, cela manque surtout quand on l'a vécu. Ça me manque !
Côté boulot, j'aime ce que je fais, je suis reconnue auprès de grands clients, je fais la joie de mes patrons mais j'avoue la côte me manque ainsi que famille, amis, mon groupe de danse, mon club de handball, oui paradoxal.
J'avoue côté sportif, la danse me fait retrouver un équilibre intérieur mais cela ne procurera jamais les émotions qu'offre le handball aussi bien lors d'une défaite que d'une victoire. j'avoue que ce petit frisson, ces larmes de joie pour un maintien in extremis, des cris de joie, ces incompréhensions quand la bataille fait rage ça me manque, sortir les crocs et serrer les coudes rien de tel !
J'avoue côté social, j'avoue que pfff ça retombe comme un soufflé... même en club c'est pas le top ! horizon zéro... J'avoue je suis sociable mais j'ai beaucoup de mal à faire le premier pas de peur de l'échec et généralement je discute plus facilement avec les gens un peu plus âgé. Mais soit.
J'avoue et rien à voir enfin si c'est tellement le bazar dans la tête c'est pour ça que cet aveu est inclassable ! J'avoue que qu'un de mes anciens amoureux revient bientôt de son voyage d'un an et quand je lui ai dit que j'avais rêvé de lui et moi comme avant il m'a répondu qu'il y pensait plus que je n'y croyais... euh j'étais un peu bouche bée mais je ne préfère pas trop m'avancer car il est juste tout ce que je veux de quelqu'un. bref... affaire à suivre.
J'avoue aussi que ma maladie stagne et ça j'avoue c'est bien et aussi désormais sclérose en plaques n'est plus tabou sur mes lèvres ! Moins peur d'en parler, c'est aussi moins une charge pour moi, au début c'était quasi un trente trois tonnes. Là c'est un sac à dos pour le traitement et mes bleus à l'âme et forcément une épée de Damoclès au dessus de la tête !
J'avoue qui vivra verra !
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Gds, 41 ans, Suisse
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J'avoue avoir hésité à l'embrasser. J'avoue m'être demandé s'il m'était possible de vivre sans avoir goûté son corps. J'avoue m'être lancé dans ses bras qui m'étaient ouverts. J'avoue avoir certainement savouré les meilleurs moments de ma vie. J'avoue que tout cela me manque énormément. J'avoue espérer que notre relation lui ai apporté quelque chose, qu'elle soit heureuse loin de moi maintenant. J'avoue réellement espérer que notre amour ait au moins servi à l'un de nous deux, que l'un ait gagné tout ce que l'autre a perdu mais je doute que ce jeu là soit un jeu à somme nulle. J'avoue, depuis, avoir une énorme cicatrice, de celles qui ne sont pas belles à voir, que l'on exhibe pas et qui ne transforme pas les hommes en héros. J'avoue tout faire pour la cacher mais lorsque je regarde le miroir de mon âme je vois trop ce que le maquillage dissimule aux autres. J'avoue souhaiter de plus profond de moi-même que tu puisses être heureuse dans la vie. Je ne t'oublierais pas GdS.
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Wnba, 21 ans, Rouen
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J'avoue que notre couple se compose de 90% de sexe, 7% de discussions après le sexe et de 3% de loisirs, J'avoue que j'adore faire l'amour avec elle et le fait qu'elle me laisse faire ce que je désire, et j'avoue parfois avoir l'impression de me comporter en homme... J'avoue être une fille ayant beaucoup d'expérience avec les filles mais je pense qu'elle a dépassé toutes celle avec qui j'ai pu coucher. J'avoue que ce n'était que purement sexuel au début mais elle a su toucher mon coeur par sa sensibilité... J'avoue penser que notre relation ne dura pas mais j'avoue que j'aimerai avoir la conviction de penser le contraire...
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Paracétamol, 26 ans, Paris
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J'avoue que je ne suis plus non plus avec le mec de mon précédent aveu. J'avoue que ça a tenu deux mois et que j'en ai eu marre de son comportement (toujours occupé par 15 000 trucs, pas fiable, toujours des excuses bidons, jamais de temps, on partageait rien, etc.) J'avoue être bien mieux sans lui. J'avoue que mon ex m'a dit ne pas arriver à ne pas penser souvent à moi, qu'aucune autre ne trouvait grâce à ses yeux, et qu'il comparait tout le temps. J'avoue que là je me sens bien toute seule. J'avoue que malgré tout, je me questionne sur un pote, j'ai du mal à comprendre ce que je ressens pour lui. On se voit très peu mais on communique beaucoup, on peut papoter pendant des heures... Mais lui proposer un rendez vous me stresse, il est si calme... Je le vois dans quelques jours normalement, si son boulot ne l'en empêche pas. Bref je ne sais pas quoi faire, je crois que j'ai bien envie d'essayer un truc avec lui, même si je suis bien toute seule, je n'ai pas envie qu'il me passe sous le nez...
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Coco, 19 ans, Caen
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Il y a cette fille à mon bahut, on se dévore du regard mais ni moi ni elle n'osons braver les barrières sociales et nos surmois respectifs... J'avoue que ça m'ennuie beaucoup, elle est la première à vraiment m'attirer depuis un certain temps, et je sens comme une attirance retour. J'avoue, cette nana et ses yeux de biche me font craquer, et je n'ai personne avec qui en parler sérieusement plus de 5 minutes. Je te promets, inconnue à la veste blanche, je nous donnerai l'occasion de nous connaitre, quel qu'en soit le prix.
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Mline, 26 ans, Paris
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J'avoue que le temps a fait son affaire, je ne l'aurais pas cru, mais chaque jour qui passe, j'ai un peu plus envie de faire un petit bébé... Et d'enfin connaitre les joies de la maternité...
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Paracétamol, 25 ans, Paris
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J'avoue que j'ai effectivement passé la nuit avec mon collègue la veille de mon départ. J'avoue que le lendemain je rejoignais mon mec, et que j'ai été froide et distante, même si j'ai essayé de prendre sur moi. J'avoue que nous sommes partis en vacances comme prévu et que cela ne s'est malheureusement pas très bien passé. J'avoue que je n'avais plus du tout envie de lui et que c'était vraiment dur à vivre. J'avoue qu'en rentrant de vacances, il a voulu que l'on prenne du recul et que l'on réfléchisse. J'avoue que sur le coup ça m'a fait un peu mal, mais que finalement j'ai réalisé que moi aussi j'avais besoin de réfléchir. J'avoue que 9 jours après, je suis sortie danser avec un copain, à qui je plaisais, et qui me plaisait, même si on s'était dit qu'il ne se passerait rien, compte tenu de ma situation. J'avoue qu'au bout de 3h on a craqué et on s'est embrassés. J'avoue que j'ai su à ce moment-là que pour moi c'était terminé avec mon mec, et que le collègue avait été le déclic. J'avoue que le lendemain j'ai appelé mon mec pour que l'on se sépare. J'avoue que trois jours après je revoyais le copain de la soirée et que l'on décidait de se mettre ensemble. J'avoue que je suis donc avec lui depuis presque un mois, et que pas une seconde je n'ai regretté ma décision (de toutes façons, même sans lui, j'aurais quitté mon ex). J'avoue que là il est parti depuis plusieurs semaines et revient dans 12 jours, j'avoue qu'il me manque beaucoup, que j'ai vraiment hâte de le revoir et qu'on puisse enfin commencer plus sérieusement notre histoire (non pas qu'elle ne le soit pas, mais on s'est vus trois fois seulement, et nous n'avons pas encore passé de nuit ensemble, vivement !) J'avoue que j'espère que cela va donner une jolie histoire avec lui...
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Marie, 23 ans, Besançon
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J'avoue que je sais depuis toujours que mon père n'est pas mon père biologique. J'avoue celui que j'appelle Papa s'est occupé de moi depuis que je suis petite et qu'il m'a reconnue avant de se marier avec ma mère. J'avoue que je le vis plutôt bien et que je n'ai jamais manqué de rien - et surtout pas d'amour.
Mais je ressens depuis des années un je-ne-sais-quoi, un point d'interrogation... il manque une pièce pour que le puzzle de mon identité soit complet.
Ma mère voulait un enfant mais pas de père... Il était là, amoureux d'elle, et il a accepté de lui faire ce cadeau. Elle est tombée enceinte du premier coup. Neuf mois plus tard j'étais là, je sais qu'elle en est très heureuse.
J'avoue que j'aimerais le retrouver, pouvoir échanger avec lui, mais que j'ai peur qu'il me repousse... Je suppose qu'il a refait sa vie ; je sais qu'il avait déjà deux enfants. Je ne veux rien lui imposer, je ne veux pas bouleverser la vie qu'il a construite sans moi...
Mais j'aimerais tellement savoir s'il pense à moi parfois, comme je pense à lui sans jamais oser en parler...
Je ne sais pas si je dois essayer de le retrouver, j'aimerais savoir à quoi il ressemble et connaître sa vie... J'ai tellement peur qu'il me rejette, qu'il croie que j'attends trop de choses de lui.
J'avoue que je suis un peu perdue...
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Miss acacia, 24 ans, Marseille
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J'avoue Aldine Effilat que je ne suis pas très forte en cuisine et pas encore riche. Mais pour le reste je me débrouille !
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Estrella, 21 ans, Paris
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J'avoue que j'ai l'impression de ne pas pouvoir faire confiance aux gens qui m'entourent. Je sais que certains d'entre eux (mes parents notamment) m'aiment, mais je n'arrive pas à leur parler car je sens une certaine barrière entre nous, je n'ose pas me confier à eux de peur qu'ils se sentent coupable de mon mal être. Et mes amis je ne pense pas en avoir de véritables car je sais d'avance que si je leur dévoile ce que j'ai sur le cœur ils me jugeront et je n'ai vraiment pas besoin de ça. J'ai tellement de choses à écrire que je ne sais pas par où commencer. J'ai l'impression d'être seule tout le temps, d'être dans une bulle ou plutôt dans une cage sans personne pour m'y faire sortir. Je ne me sens pas aimée et encore moins comprise. Il m'arrive même d'imaginer que les personnes qui m'ont fait du mal et avec qui je voudrais m'expliquer, soient en face de moi et alors je me mets à parler seule pour leurs dire ce que j'ai sur le cœur, toutes ces choses qui me pèsent. Tout cela m'amène à me demander si je ne suis pas folle.
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Alivia, 21 ans, Miami
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J'avoue que ce soir je suis confuse. J'avoue que ce soir j'ai peur. Depuis mon dernier aveu concernant le DJ les choses ont plutôt évolué... plutôt bien évolué... Il est venu me voir... plusieurs fois... il a fait à chaque fois tous ses kilomètres. Pour passer la soirée avec moi, pour juste avoir quelques verres. Jusqu'au soir où nous sommes enfin passés à la vitesse supérieure, ce qui n'a pas été chose facile à organiser à cause des colocataires... Il avait donc loué une chambre en prétextant qu'il ne voulait pas faire le trajet retour... Mmhmm j'avoue ne pas avoir hésité vraiment longtemps avant de le suivre. Même si tout était maladroit, pas franchement parfait, ni l'extase... C'était juste enfin arrivé et on s'est endormi l'un contre l'autre. J'avoue que même à ce moment-là je ne me sentais pas si proche de lui. Juste bien quand j'étais avec lui. Jusqu'à ce weekend. Ce weekend m'a fait réaliser que je tiens à lui plus que je ne veux le croire. J'avoue que je me mens simplement à moi-même. J'avoue que j'ai peur ; peur parce que je vais m'en aller. Ou alors peut être que je m'emballe trop... J'avoue qu'il m'a déjà dit qu'il m'aimait beaucoup... et que ben « That's sucks ». J'avoue que j'ai peur de ne pas obtenir ces 6 mois de plus. J'avoue que ce serait pire qu'un poignard dans le cœur si je devais m'en aller. Pas uniquement parce qu'il y a Lui. Mais pour tout ce que cette ville, cette Vie m'a apporté. J'avoue que les larmes me montent en écrivant cet aveu. J'avoue que mon vol retour est désormais comptable en weekend sur les doigts d'une seule main. J'avoue que de surcroit, je sais que rien n'a changé là-bas. Qu'une de ces raisons qui m'ont fait partir... N'a simplement pas bougé. Voir empiré.
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Miliflore, 19 ans, Lorient
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J'avoue lutter depuis 15 ans avec mon poids. J'avoue avoir été suivie 10 ans par des professionnels. J'avoue ça m'a bouffé la vie. J'avoue avoir développé d'autres qualités pour compenser ce complexe invivable. J'avoue avoir séduit pourtant, avoir plu. J'avoue ne m'être jamais aimé. Mais j'avoue surtout que mes efforts ont payé, enfin. Ca fait 1 an, sans privations pourtant, avec beaucoup de bonheur et submergée par l'amitié que j'ai réussi ! J'avoue j'ai perdu pratiquement 30 kgs, et j'en suis terriblement fière !
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Shiva, 35 ans, Lyon
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J'avoue que je suis malheureuse. J'avoue que l'homme que j'aime et qui prétend m'aimer est au mariage d'un de ses amis. Mais il ne veut pas de moi à ses côtés. J'avoue que ni ses amis, ni sa famille ne savent que j'existe alors qu'on est ensemble depuis plusieurs années. J'avoue que ça me rend malade et que je ne sais plus quoi faire. J'avoue que j'aimerai qu'il m'aime vraiment et qu'il envisage un avenir avec moi. J'avoue qu'il me fait pleurer trop souvent.
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Capricam, 26 ans, Arras
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J'avoue, j'arrive à me mettre seule dans la panade... Eh oui, je suis faible. Il y a quelques mois de ce cela un plan d'un soir, F., d'il y a six m'avait invité sur ce fameux réseau social coté en bourse, invitation aussitôt annulée et de ce fait j'avais cru avoir halluciné. J'avoue, que cette invitation est réapparue cette semaine, je me suis dite ok et à lui aussi. J'avoue, cette semaine j'ai du réfréner les ardeurs d'un ami, G., et il a enfin compris et ce forcément à ses dépens mais je lui ai fait du mal et ça m'ennuie. J'avoue, M. souhaite me revoir également, mon ex avec qui j'ai passé trois années et des poussières. J'avoue J., m'attend patiemment mais j'avoue je suis perdue vis à vis de lui. J'avoue, je vais accepter le rdv avec F., attendre la rentrée pour M., G. je le vois en septembre en amie et J. on verra. J'avoue, j'ai l'impression d'être au QG des Men in black avec ces initiales... et K. ah oui K. existe mais j'avoue non merci. J'avoue être dans une impasse. J'avoue qu'avec tout ce que j'ai traversé aussi bien dans ma vie sentimentale, ma santé et ma vie professionnelle, je suis à bout. J'avoue, je ne sais pas qui je suis, je sais simplement que je veux le bonheur d'autrui même au détriment du mien. J'avoue, je suis postée devant mon pc et rien ne me vient, j'aimerai tant partir et aller envoyer balader tout le monde. J'avoue, qu'en ce bas monde, il y a des jours sans et bien là c'est le cas...
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Gds, 41 ans, Suisse
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J'avoue que les mois passent et que je ne l'ai pas revue. J'avoue que je pense à elle tous les jours. J'avoue que je ne sais pas si j'aurais un jour la force de la revoir... et pourtant je le désire tellement. J'avoue que c'est difficile de vivre avec une "boule au ventre" due à son absence bien que je sais que jamais notre histoire ne continuera. J'avoue que je me demande souvent comment aurait été notre relation si je n'avais pas été "l'homme de sa vie" ? J'avoue que ça fait mal et que ce mal ne s'atténue pas. J'avoue que je commence à comprendre qu'il faudra simplement que je m'habitue à vivre avec ce mal qui l'a remplacée elle...
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Thémis, 40 ans, Paris
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J'avoue... quand tu m'as dit que tu étais un mec un peu paumé ça m'a refroidie. J'ai même pensé à te maintenir un peu à distance parce que les mecs paumés c'est bon, j'ai eu ma dose. Je t'aurai presque détesté pour ces mots là, ces mots si tragiquement classiques dans la bouche d'un vingtenaire qui invoque la liberté à tout bout de champ.
J'avoue, je pensais être quelqu'un qui savait où aller. Et pourtant, aujourd'hui rien ne me plairait plus que de me paumer avec toi.
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Iz, 30 ans, Lorient
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J'avoue, tu es mon meilleur ami, mon double, mon jumeau, mon frère de coeur. J'avoue, tu traverses une des pires périodes de ta vie et notre "serment" l'un envers l'autre nous amène à ne rien nous cacher ou presque et à ne pas épargner l'autre. J'avoue, dimanche dernier tu m'as mise à l'épreuve et je t'ai répondu "je te suivrai jusqu'en enfer". J'avoue, aujourd'hui nous avons passé l'après midi ensemble, faisant une sortie prévue depuis un moment mais repoussée jusqu'alors, une sortie qui nous plaisait à tous deux. J'avoue, l'après midi a été un moment de bonheur immense. J'avoue, comme je te l'avais suggéré, tu m'as appelée ce soir, et tu m'as gardé en tout 2 heures. J'avoue, nous avons remis les pendules à l'heure et refait notre serment l'un envers l'autre. J'avoue, tu m'as re prouvé aujourd'hui que notre amitié était solide, à l'épreuve des épreuves, que nous en avions la même conception, et que nous nous étions encore rapprochés. J'avoue, Oz, tu es ce qui m'est arrivé de mieux ces dernières années, et notre complicité ne fait aucun doute, au point que tous croient qu'on se connait depuis des années, alors qu'en fait, ça fait juste 6 mois que nous sommes passés de "connaissances" à "amis"...
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Dw86, 22 ans, Niort
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J'avoue que j'ai toujours du mal à me remettre de ma rupture d'avec R. mais que cela fait maintenant presque 3 mois que je suis avec G. Il est du genre de R. mais est plus surprenant, on voyage ensemble, il est plus dans mon monde. C'est une personne qui me fera évoluer, plus que A. Il y a des hauts et des bas, mais quand je suis avec G., je suis bien, vraiment bien.
Il vaut mieux avoir aimé et souffert, plutôt que de n'avoir jamais aimé du tout.
Courage à tous ceux qui souffrent à cause de leur cœur...
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Izzie, 21 ans, Toulouse
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J'avoue que pour remplir mon été, j'ai proposé sur un coup de tête à une amie de puiser dans nos économies et de faire un tour d'Europe en train.
J'avoue qu'elle m'a répondu du tac au tac qu'elle trouvait l'idée géniale alors que je ne croyais pas moi même à la faisabilité de ce voyage. J'avoue qu'on s'est mutuellement motivées au fil du temps et que de fil en aiguille, deux autres amies nous ont suivi dans ce projet un peu fou.
4 filles à vouloir s'aventurer jusqu'en Turquie, sac à dos sur les épaules, et à vouloir visiter ce qu'il y a de plus beau en Italie, en Grèce, en Croatie et en Hongrie durant 22 jours.
J'avoue : comme d'habitude, il me reste seulement deux jours pour rassembler mes affaires, mais qu'est ce que j'ai hâte de poser mes pieds dans toutes les villes qu'on a prévues de visiter ! J'avoue qu'un jour, un ex m'a dit : "ce sont les voyages qui forment la jeunesse"... Et je crois que c'est la phrase la plus vraie qu'il m'ait jamais confié... Souhaitez-moi de belles aventures !
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Klimera, 21 ans, Strasbourg
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J'avoue que l'on s'est mis ensemble l'hiver dernier mais que ça n'a pas duré à cause de nos différences de mode de vie.
J'avoue que l'on s'est revu il y a quelques semaines pour en conclure que ça ne marchera jamais entre nous.
J'avoue que l'on s'est revu ces derniers jours, que l'attirance physique était toujours là et qu'on a pas su résister à l'appel du corps. J'ai adoré ces moments et toutes ces découvertes à deux.
J'avoue que je ne sais pas trop où j'en suis. J'avoue que je veux te revoir R. Mais je ne sais pas si c'est toi ou ton corps qui me manque le plus...
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Gds, 41 ans, Suisse
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J'avoue qu'il y a quelques semaines ma copine a préféré me "laisser vivre ma vie". J'avoue que ma vie j'aurais voulu la vivre à ses cotés. J'avoue qu'elle ne me l'a même pas demandé. J'avoue que lorsque j'en parle autour de moi les gens m'écoutent par politesse, sans implication, sans âme en espérant que le sujet se tarisse. Les mots glissent sur eux sans accrocher un quelconque intérêt. Au mieux ils incitent à la raillerie. J'avoue avoir remarqué depuis longtemps déjà que les gens qui nous entourent n'ont pas envie d'entendre nos problèmes, ils ont les leurs.
J'avoue m'être renfermé et ne plus parler de ce que je ressens, d'être faux pour que les gens puissent simplement converser sur des banalités quotidiennes, ces banalités qui assurent la cohésion sociale et qui ne froissent personne.
Ces banalités qui font que l'on s'intègre sans déranger. J'avoue que dans ces conditions, être triste ou joyeux ne change rien. Marc Lévy a dit "les émotions sont faites pour être partagées" et je m'en rends compte maintenant plus que jamais. J'avoue que sans partage des émotions, que l'on soit entouré ou non, que l'on soit joyeux ou triste, on est seul, terriblement seul. J'avoue que Victor Hugo avait raison lorsqu'il disait "L'enfer est tout entier dans ce mot : solitude". J'avoue que je me renferme de jour en jour. J'avoue que j'ai souvent entendu les femmes se plaindre du manque de communication des hommes. J'avoue que je n'avais jamais autant communiqué durant une relation. J'avoue que pour cela j'ai dû faire de gros efforts. J'avoue que cela n'a servi à rien, si ce n'est à me rendre émotionnellement plus vulnérable. J'avoue que pour les autres je ne sais pas, mais pour moi, une telle déchirure va inexorablement limiter ma communication à l'avenir. J'avoue que je me demande pour combien d'hommes la souffrance a été un frein à la communication ? J'avoue que je l'ai dans la peau et que je vais encore souffrir longtemps... mais maintenant je comprends Jean Rostand "Être adulte, c'est être seul".
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