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Calamity-gêne, 16 ans, Paris
J'avoue que j'ai bien rigolé quand une fille s'est vautrée en plein milieu du hall avec ses hauts talons alors qu'il y avait du verglas partout dehors.
J'avoue que j'ai pouffé de rire quand le prof de maths a demandé : "Qui veut venir faire le 69 au tableau ?" et j'avoue que ça m'a calmé quand il m'y a envoyée et qu'il a dit que je n'arriverais sûrement pas à le faire toute seule. J'avoue que j'ai été obligée de me tenir à une table pour ne pas m'écrouler de rire. J'avoue qu'en croisant le regard du garçon aux beaux yeux noirs j'ai eu envie que ce soit lui qui vienne faire l'exercice avec moi. J'avoue que j'ai été terriblement déçue quand le prof a envoyé celui dont le visage ne bourgeonne pas qu'au printemps et qui ne connaît pas le mot shampooing.
J'avoue que j'ai fait exprès de faire tomber mon stylo pendant le contrôle d'anglais histoire de frôler la main de beaux yeux noirs pour que ça me porte chance. J'avoue que j'ai été tellement troublée que je n'ai pas réussi à me concentrer et que j'ai loupé mon contrôle. J'avoue que j'ai triché en me servant de ma pochette comme support pour écrire alors que ma pochette est transparente et qu'il y avait la feuille avec le vocabulaire pile au bon endroit. J'avoue que je me suis sentie fière quand la prof de français a rendu le contrôle et que j'avais la meilleure note de la classe et de loin !
J'avoue que je me suis fait mal en faisant l'andouille dans la cafétéria. J'ai eu la dernière portion de frites. Je me suis brûlé la langue. J'avoue que je vais tuer mon prof d'histoire pour son interro surprise surprenante.
J'avoue que j'en ai ras le bol d'être sans arrêt enrhumée. J'avoue que je me pose des questions en ce qui concerne une certaine personne. J'avoue que je sacrifierais ma peluche préférée pour qu'il soit amoureux de moi !
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Lost in translation, 19 ans, Brest
J'avoue qu'en ce moment je suis en première année de médecine et que c'est très dur.
J'avoue que chaque jour est identique au suivant et que je suis un peu perdue dans ma petite vie.
J'avoue que je n'ai plus de temps pour jongler, jouer de la guitare, voir mes amis, boire etc.
J'avoue que je pense beaucoup a mes ex et que je fais aussi des reves érotiques avec elles alors que j'ai une copine.
J'avoue que je dois sûrement en revoir une et que je pourrais facilement tromper ma copine.
J'avoue que je ne veux plus être médecin parce que c'est trop dur et que tous ces étudiants ont un niveau de folie.
J'avoue que j'ai souvent pensé à arrêter ma relation pour pouvoir m'envoyer en l'air avec des filles qui s'intéressaient à moi.
Enfin j'avoue avoir vraiment envie d'avoir une relation sexuelle avec une femme mûre de la trentaine et que je me demande si notre voisine du troisième étage que je n'ai jamais vu pourrait faire l'affaire...
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Domy, 30 ans, Perpignan
J'avoue que je suis contente d'être en cdi.
J'avoue que mes collègues de travail sont trop cools sauf une.
J'avoue qu'elle m'énerve.
J'avoue que je vais tout faire pour qu'elle arrête de faire ce qu'elle fait c'est à dire, rien.
Elle a un salaire de gestionnaire mais elle ne fait rien c'est sa secrétaire ou la comptable ou moi qui dois tout faire.
J'avoue que je vais lui mener la vie dure.
J'avoue qu'elle m'énerve encore plus que les copropriétaires.
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Youyou, 20 ans, Paris
Week-end de 3 jours, samedi soir à rien faire, je décide avec un pote de rejoindre des amis dans cette salle d'arcade à Paris.

Une hôtesse d'accueil nous renseigne sur certaines choses, et on est amené à avoir d'autre renseignement au cours de la soirée de sa part.

Et il s'est avéré que la croisant plusieurs fois vu que la salle n'est pas énorme. Et chaque fois qu'elle passe je ne peux m'empêcher de regarder ses beaux yeux bleus et de répondre à ses sourires qui me faisaient un tantinet tournoyer, on va dire.

Étant un très grand timide de nature, j'essayai de ne pas y penser, mais malheureusement ou heureusement, elle faisait plusieurs fois le tour donc j'étais amené à y penser souvent à son sourire.

Et je me suis dit qu'il fallait que j'aille le voir, car après tout je suis jeune et qu'il faut profiter de la vie en quelques sortes. Et puis j'ai une devise qui est : "qui ne tente rien n'a rien".
Alors juste avant de partir j'ai été la voir pour lui dire que je trouvais que son sourire était vraiment très joli. N'étant pas très doué pour ce genre de chose, je ne lui dis que ça, elle me remercie puis rigole puis je lui souhaite une bonne soirée et m'en vais.

Résultat, je me suis senti comme un con, car je ne sais pas si elle a ri pour se foutre de moi ou si c'est pour autre chose. Aujourd'hui donc j'avais pas trop le moral, en plus je n'ai pas beaucoup dormi ce qui n'aide pas. Je sais que c'est con de ne pas avoir le moral juste pour ça, mais bon ça m'a rappelé certaines choses pas très agréables.

Si par un très grand hasard tu te reconnais dans ce message charmante demoiselle, sache que tu me plais. Ce n'est sûrement pas réciproque, mais voilà, un petit besoin de le dire.
Je repasserais sans doute, peut-être aura-t-on l'occasion de se rencontrer de nouveau. En tout cas je l'espère.
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Marion, 18 ans, Montréal
J'avoue que depuis que j'ai déménagé au Canada je sors trop en boite.
J'avoue que je bosse pas assez.
J'avoue que j'aime être seule sans mon copain avec qui je suis depuis trois ans et demi.
J'avoue qu'il ne me manque pas plus que ça.
J'avoue que je repense à mon ex.
J'avoue que j'ai bien envie de tromper mon copain avec mon ex quand je vais revenir en France à Nöel.
J'avoue que je rêve de mon ex plus souvent que de mon copain.
J'avoue que je veux pas quitter mon copain.
J'avoue que j'entretiens une relation trop intime avec mon ex et que je n'ai pas envie que ça s'arrête.
J'avoue que j'aime mon copain du fond du coeur... et j'avoue que ça me soule !
J'avoue que je voudrai bien savoir ce que je veux...
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Auré, 16 ans, Grasse
J'avoue qu'à l'âge de 4 ans, j'ai volé une boite de cookies au chocolat dans l'armoire de maman.
J'avoue qu'à l'age de 7 ans, j'ai menti à ma maitresse, je lui ai dit que mon camarade avait copié sur moi, alors que c'était le contraire.
J'avoue qu'à l'âge de 9 ans, je faisais des caprices d'enfant gâtée pour que l'on s'occupe de moi.
J'avoue qu'à l'âge de 14 ans, j'ai frappé mon chat car elle ne m'écoutait pas et j'ai été violente, tellement violente que la pauvre est tombée du bureau à cause de l'impact, a miaulé faiblement, si faiblement que j'ai cru l'avoir tuée.
J'avoue que je m'en suis voulue et pour réparer mon erreur, je me suis giflée pour sentir la même douleur qu'elle, et je l'ai ensuite calinée.
J'avoue que maintenant, je me sens coupable de ces actes, je ne vole plus, je ne mens plus, je ne triche plus en classe, je ne fais plus de caprices ou bien je les minimise.
J'avoue n'avoir fait que très peu de bêtises étant petite, mais qu'elles m'ont pourtant marquées. Je suis désolée pour le mal que j'ai pu faire.
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Résistante et insoumise, 28 ans, Bruxelles
J'avoue que, même si :
- j'ai parfois furieusement envie de retrouver ma double vie d' -avant- et de m'envoyer en l'air avec tous les êtres humains en âge d'avoir des relations sexuelles que je croise.
- Ma collègue est toujours aussi chiante, et moche, et nulle au boulot.
- Le monde est gris, et triste, et sale.
- Je suis entourée de 99% de personnes incultes et connes à un point difficilement inimaginable.
- Mon compte en banque est à zéro.
- Mon amoureux travaille et ne me fera pas monter au septième ciel ce soir.
- Il n'y a rien à la télé, comme d'habitude...
- Les infos sont tristes à pleurer.
- Tout va de plus en plus mal, partout, dans le monde entier.
- Les gens sont tellement tristes... Pourquoi s'obstinent-ils à s'habiller dans des tons tristes alors qu'il existe de si jolies couleurs ???

Je me sens merveilleusement, fabuleusement, irréellement bien ! J'ai rarement trouvé la vie aussi belle, et je ne me rappelle pas m'être déjà sentie aussi bien, et grande, et forte, et belle, et résistante et insoumise à tout prix !
Je nage dans le bonheur le plus total.
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Mister Kleenex, 18 ans, Montereau
J'avoue que oui, je me dégorge le poireau à peu près tous les soirs. Je me dis parfois qu'il faudrait que j'utilise ma main gauche, pour avoir l'impression que c'est quelqu'un d'autre qui me fait mousser le Créateur...
J'avoue avoir été fou amoureux de la copine d'un de mes meilleurs potes, et j'ai fait la connerie de généraliser son cas : j'ai commencé à fumer parce que je pensais que ça lui plaisait, et j'ai osé me dire que ça plaisait à toutes les filles...
J'avoue être jaloux. Très jaloux. Du coup, je saoûle tout le monde, y compris le couple précédemment cité, avec mes pseudo-problèmes qui ne sont finalement pas si graves que ça.
J'avoue aimer les jeux de baston en 2D... J'espère ne froisser personne.
J'avoue que j'ai très violemment insulté une famille d'opportunistes accessoirement dédaigneux et snobinards, et que ça m'a fait un bien fou quand j'ai écrit ça sur mon blog... Mais un peu moins quand je me suis retrouvé chez les flics et que j'ai pris trois ans de rappel à la loi...
J'avoue ne pas manger de légumes.
J'avoue que j'ai fumé un pétard il y a de ça trois jours... et que j'ai aimé ça !
J'avoue être un peu lourdaud.
J'avoue que je recherche la pitié des autres pour mieux me faire accepter.
J'avoue que l'organisation de ma fac, c'est nul à chier !
J'avoue que c'est seulement dans les magasins de DVD que je me sens chez moi...
J'avoue que je pique des crises de gamins, que je me mords la main (droite en plus, c'est gênant...), que je me fous des tartes en pleine poire, que je me cogne la tête contre les murs et que je me roule par terre...
J'avoue que j'ai du mal à avoir un petit peu d'estime pour moi-même.
J'avoue que malgré tout, je sais qu'on m'apprécie pour ce que je suis.
J'avoue que j'aime mes amis et ma famille.
Mais j'avoue que je déteste ce monde de merde !
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Sinequanone, 17 ans, Paris
J'avoue que j'ai découvert ce site il y a peu de temps, et j'avoue que cela me plait de passer du temps dans la rubrique interdits...
J'avoue que j'ai de plus en plus de fantasmes en ce qui concerne cetains de mes professeurs, que parfois même, je décroche du cours pour rêver de choses particulièrement salaces...
J'aivoue être de plus en plus attirée par les personnes plus mûres, style des hommes de la trentaine.
J'avoue que quelque fois il m'arrive de regarder des films pornos... J'avoue en avoir honte, mais qu'est ce que c'est bon !
J'avoue que ces films je les regarde sur l'ordinateur de mon frère.
J'avoue que j'ai souvent l'impression que pas mal de mecs de mon lycée sont amoureux de moi.
J'avoue que c'est comme ça que je me suis pris un sérieux rateau l'année dernière.
J'avoue que je préfère ne plus être trop prétentieuse à ce niveau là. Mais j'avoue qu'en cachette j'espère qu'ils m'aiment.
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Zec, 27 ans, Paris
J'avoue avoir volé dans une librairie un échantillon de chocolat en poudre attaché à un magazine quand j'avais huit ans.
J'avoue avoir pissé sur les portes d'une prépa privée quand j'avais 20 ans.
J'avoue avoir été amoureux dès le premier regard de la copine de mon meilleur ami quand j'avais 22 ans.
J'avoue avoir dit à mon meilleur ami qu'elle me plaisait.
J'avoue n'avoir eu aucun remord en couchant avec elle.
J'avoue que je regarde les fesses des filles dans la rue.
J'avoue avoir dit « ta gueule » au bébé de mon meilleur ami qui braillait à tue tête et m'empêchait de regarder la télé.
J'avoue n'être jamais entré dans un sex shop.
J'avoue regarder ma voisine par le judas de ma porte d'entrée quand elle s'attarde dans le couloir.
J'avoue ne pas aimer faire la vaisselle.
J'avoue ne pas repasser mes calecons.
J'avoue que j'aime écouter Charles Aznavour.
J'avoue avoir lu tous les livres de Marc Levy et de Bernard Weber.
J'avoue avoir vu au moins vingt fois « Coup de foudre à Notting Hill » et que je connais les dialogues par coeur.
J'avoue n'avoir aucune honte de tout ça.
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Pouet, 18 ans, Nantes
J'avoue que j'ai une chance de malade depuis longtemps (toujours ?).
J'avoue que je fous rien en cours depuis toujours et que malgré ça je m'en suis toujours plus ou moins bien sorti.
J'avoue que cette année c'est la première année où ce que je fais me plait.
Javoue que je suis super timide et que c'est une des choses qui m'ennui le plus dans la vie.
J'avoue que beaucoup de filles me trouvent beau mais que je me trouve super moche.
J'avoue que ce soir j'espère que c'est elle qui fera le premier pas sinon j'arriverai sûrement pas à me bouger le train.
J'avoue qu'avouer tout ça, ça soulage.
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Azizou, 35 ans, Rennes
J'avoue que cette histoire est assez rocambolesque.
J'avoue que je pensais que ce genre d'histoire ne pouvait arriver dans ce genre de films auxquels le scénario n'est pas plus épais qu'une feuille de papier cigarette.
J'avoue que cette histoire m'est arrivé et que d'en parler va me faire un plus grand bien. Cette histoire est enfoui en moi et cela a été un changement de vie radicale. En tout cas, maintenant, à cause ou grâce à cette histoire j'ai une vie cachée.

J'avoue que pour me rendre à mon travail, il me faut environ 40 minutes de trajet par départemental, nationale et autoroutes. Je traverse divers villages, campagnes et forêt, cette dernière aura son importance pour l'histoire...
J'avoue que sur le chemin du retour d'une bonne journée de travail, j'étais un peu las, voir fatigué. Au tout début de mon trajet, je sentais une présence, cette présence s'est manifesté, en regardant le rétro intérieur, par une voiture de marque Clio rouge qui me collat sévrement aux basques.
J'avoue que je suis plutôt de tempérament impulsif et ce genre de situation me met la plupart du temps dans une colère noire. Mais là que nenni. Rien, nada, nothing... pourquoi ? Certainement la fatigue. Pas l'envie de me prendre la tête. J'ai fait signe à l'automobiliste de passer, nous entrions dans une portions de 2 voies.
Ce qu'elle fît !
J'avoue qu'au passage de cette voiture, je n'ai point laché du regard le conducteur qui s'est avéré être une conductrice.
J'avoue que j'ai insisté lourdement sur le reagard mais alors que je voulais lui faire la tête des très mauvais jours... J'ai souri !
Le sourire a été communicatif car la conductrice a souri également.
Elle s'est calée devant ma voiture et je sentais qu'elle regardait souvent dans son rétro.
Je décidais de la redoubler, en étant respectueux de la vitesse, et au passage je lui réitérais mon sourire, qu'elle me rendait.
A mon tour de regarder dans mon rétro, un appel de phare de sa part, un coup de feux de détresse de la mienne.
Elle décida de me redoubler, je la laissais faire en réduisant ma vitesse.
Au passage on s'est regardé en simultané et franchement nous avons souris un peu plus que les fois précedentes.
Un petit coup d'appel de phare de ma part, un petit coup de feux de détresse de la sienne.
Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j'ai vu son clignotant droit se mettre en action alors qu'il n'y avait pas de route sur sa droite. En plus de son clignotant, elle me faisait de grands signes pour m'inviter moi aussi à en faire de même.
J'avoue en quelques secondes je fus bousculé, mon coeur se mît à battre un peu plus, les mains tremblante et ne m'écoutant pas du tout, j'en fis de même.
La voiture stoppée, j'étais là, assis et ne sachant quoi faire !
Ma conductrice sortit de la voiture, s'approcha de moi, du moins de la voiture dans un premier temps. Elle alla diretement côté passager, je m'empressai de déverouiller la fermeture automatique. Elle ouvrit, entra... Elle était charmante, souriante et jeune...
Jeune mais assez vielle pour avoir le permis donc la majorité. Ouf !
Assis tous les deux dans ma voiture, elle prit les devants :
"Tu me plais, j'ai une envie folle de faire l'amour, ça te dit ?".
Waouuuuh !!! Pour une entrée en matière, au moins c'est du direct. Moi qui ne suis pas si vieux pour être vieux jeu, j'ai été quelques peu abasourdi.
Moi : " Oui".
Sans réflechir, sans même, me posait une seule question de conscience... Moi l'homme marié, enfants, aimant, fidèle voir donneur de leçons à mes propres amis me racontant les vertus de l'infidèlité.
Pourquoi ce oui ? Je n'en sais rien.
Toujours est-il qu'elle prit les choses en mains, m'invita à la suivre... Sa voiture.
Quelques kilomètres plus loin, une sortie, que je connais parce ce que c'est celle que je prends, la fôrêt à droite, à gauche... partout. Je vois !
Pendant ces quelques minutes de trajet, aucun état d'ame, aucuns soucis, aucunes questions... J'étais là, assis dans ma voiture, suivant une jeune demoiselle qui m'avait invitait à lui faire l'amour, du moins à nous faire l'amour.
Arrêt des automobiles, je ne tremble plus, j'ai bien respiré, me suis calmé intérieurment.
J'avoue, le sport de haut niveau pratiqué durant quelques années m'a beaucoup aidé sur cette situation de stress.
Elle sort la première, je suis...
"Dans ta voiture, elle est plus grande ! me dit-elle !
Euhhh !! oui !" réponds-je, l'air benêt.
On entre, je jette un oeil alentour. La voiture est elle à l'abris des regards, me semble que oui.
Les préliminaires furent longs et sensuels. Je suis un dégustateur et l'ait fait jouir de ma langue... Dans ses yeux une complainte... S'il te plaît, j'en peux plus, viens, prends moi !
Le passage préservatif a cassé l'ambiance et le rythme... Mademoiselle avait tout prévu, même cela. Il a fallu se remettre à l'ouvrage et j'avoue que là c'est moi qui ait dégusté.
J'avoue avoir été corrigé, net, précis et sans bavure.
Après l'acte, nous sommes restés blottis l'un contre l'autre... Se donnant des petits baisers, son souffle se mélangeant à mon souffle. Je pense que l'on était bien.
Je m'interroge, je me dis, nous nous sommes pas parlé, du moins si peu...
Elle se rhabille, je ne dis rien, j'attends... quoi ? Je ne sais pas. Qu'elle parle, me dises des mots, des phrases... elle le fait :
"Toi, je veux ton numéro de portable !".
Je m'éxecute.
A cet instant, je me rend compte que je suis faible, je suis un faible.
Pourquoi tout cela ???
Les remords m'envahissent après son baiser et son... "je tappelle, on se revoit, d'acodac ?"
Qu'ais-je donc fait ?
J'ai envie d'hurler, crier, m'arrachait la tête, les tripes...
Je reste là dans ma voiture comme un naze.
Je reprends la route, plus j'avance de la maison, plus j'ai le ventre qui se tord comme un gosse qui a fait une grosse boulette.
Comment cela va se passer à la maison ?
Vais-je être comme d'habitude ? Le sixième sens féminin va-t-il se mettre en route ?

Je rentre dans la cour, femme et enfants sont là...
Les remords se sont éstompés au fur et à mesure des jours. Pour cela je me suis vidé l'esprit au sport. Me femme croyait que j'allais reprendre la compétition.
J'avoue que je pensais tous les jours à ma belle inconnue. Je ne sais même pas son nom.
J'avoue que j'ai eu les nerfs de ne pas avoir de nouvelles d'elle.
J'avoue que chaque jour, j'a scruté la route, à la recherche d'une clio rouge.
J'avoue que j'étais heureux lorsqu'elle m'a contacté. Le répondeur de mon portable avait enregistré sa petite voix de jeune gazelle et j'étais comme un adolescant à l'écouter.
Oui, elle voulait me revoir.
Oui, elle voulait qu'on se mélange de nouveau.
Oui, on s'éclate comme de fous à chaque fois.
Oui, ma vie a changé depuis.
Oui, ma femme trouve que je suis mieux qu'avant... plus doux, plus attentionné, plus aimant qu'avant.
Oui je comprends mes copains maintenant.
Oui, je sais que ce que j'ai fait est mal et ne suis pas en train de me persuader du contraire.
Oui je me trouve degueu envers mes proches.
Oui je me sens mal à l'aise chaque fois que l'on me prend pour exemple. J'ai envie de dire non, mais je suis un lâche.
J'avoue que cela fait du bien d'en parler sur ce site.
J'avoue que cela vaut toutes les visistes chez un psy.
Oui je viendrais avouer de nouveau car j'en ai besoin pour me sentir mieux.
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'tit flocon, 19 ans, Belgique
Un soir, ma mère n'ayant plus de voix, je téléphone à sa place à ma mère-grand pour lui confirmer qu'on viendrait dîner le week-end. J'explique que ma mère à mal à la gorge, etc. Ma grand-mère me demande si elle est allée chez le médecin, si elle se soigne,... et moi de répondre : "Non, mais vous la connaissez, elle est têtue, elle ne verra le médecin que quand elle sera clouée au lit avec 40° de fièvre. Et encore...". C'est en raccrochant que je me suis dit que s'il y avait bien une personne qui était aussi têtue que ma mère, c'est bien ma grand-mère ! Et que s'il y a une personne qui les égale, c'est moi !!!
Et je me suis imaginée la scène dans une trentaine d'années avec ma propre fille au téléphone parce que moi aussi, je refuse de me soigner. On échappe pas à son destin !
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Paracétamol, 18 ans, Paris
J'avoue que ce mec à la fac je l'avais "repéré" depuis quelques temps. J'avoue qu'il n'est pas ce qu'on peut qualifier de beau, mais bon, disons qu'il figure parmi les très rares potables mecs qu'il y a dans ma promo.
J'avoue qu'une copine -disons plutôt une fille avec qui je parle et tout mais que je connais que depuis deux semaines environ- le trouve pas mal aussi. J'avoue qu'il me semble avoir échangé quelques regards avec lui, j'avoue que je le cherche mais que si j'ai commencé à le chercher du regard, c'est parce que j'ai remarqué que lui avait souvent le sien vers moi... J'avoue que j'ai qu'une envie c'est qu'il s'interesse plus à moi qu'à elle.
J'avoue que j'ai déjà pris de l'avance et que je compte bien la garder, cette avance... J'avoue que, désolée, mais après tout, s'il me préfère moi, c'est quand même pas de ma faute...
J'avoue que je crois que parfois je suis vraiment une garce.
Faut bien s'occuper, mais malgré tout, je n'irais pas jusqu'au point que ça la blesse, du moins, pas volontairement. Et oui, pas garce jusqu'au bout...
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Cecilou, 22 ans, Paris
J'avoue que le grand jour approche, je pars vendredi aux Etats-Unis retrouver mon chéri pour mon un peu plus de 15 jours. J'avoue que ce n'est même plus de l'impatience ce que je ressens tellement j'en peux plus d'attendre. J'avoue que mes humeurs changent toute la journée, super heureuse parce que c'est bientôt, super stressée à cause du voyage, déprimée d'attendre, surexcitée de faire ma valise, je crois que j'ai jamais été aussi lunatique !!! En fait je dois avouer que mon gros stress c'est que quelque chose m'empêche de partir, c'est totalement débile car je ne vois pas ce qui pourrait se passer, mais je crois que je serais rassurée seulement dans l'avion après l'escale. On sait jamais que je me plante de vol et reste coincée en Islande... Peut-être même seulement à Boston après avoir passée les douanes. Si jamais ils me renvoyaient chez moi...
Le pire c'est que je passe mon temps à penser à ce voyage alors que je suis en examen jusqu'à demain soir... En tout cas à défaut d'être diplômée, je serais heureuse de partir...
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Sifacile, 19 ans, Paris
J'avoue avoir passé tous les weekends avant mes bacs écrits et oraux à prendre des douches de champagne dans les boîtes VIP avec mes potes.
J'avoue m'être fait passer pour un mannequin brésilien de 24 ans auprès d'environ une vingtaine de jeunes femmes, dont la moitié finissaient dans ma BMW, enfin pardon, la BMW que ma copine m'avait prêté et qui appartenait, en fait, à sa maman.
J'avoue que la journée, je ne faisais que dormir, boire encore... Question d'éviter la gueule de bois. Manger et faire des cochonneries avec ma copine.
J'avoue que ça s'est passé comme ça pendant les 3 weekends pré-examens.
Attention, je dois avouer que si j'ai passé la philo, c'est parce que c'était lundi et j'étais encore bourré de la veille.
Et le pire aveu de tous, le plus incroyable. J'avais parié 1000 euros avec chacun de mes cinq potes.
J'ai gagné, j'ai mon bac avec une moyenne de 15/20 !
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Fluorescence, 16 ans, Strasbourg
J'avoue que je suis extrêmement paresseuse en ce moment.
J'avoue que je pense être en train de tomber amoureuse et que je n'arrive pas à penser à grand-chose d'autre, même si je devrais bosser parce que j'ai beaucoup de mal en maths !

J'avoue aussi que je suis égoïste et que je ne pense à vrai dire pas à grand chose à part mon poids, cette personne et les vêtements que je vais mettre demain.

J'avoue que je méprise les gens qui ne savent plus parler français sans l'accent racaille/ado excité.
J'avoue que s'ils sont gros ou s'habillent chez Jennifer c'est encore pire... je ne devrais pas tant me fier aux apparences, au fond de moi je sais bien que c'est le travail qui fait la différence.

J'avoue que je ne sais pas gérer mon temps et que je passe souvent mes après-midi libres à ne rien faire du tout, pour ensuite bosser jusqu'à 3h du matin quand il y a du boulot.
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Marie, 38 ans, Bruxelles
J'avoue que j'ai un "copain" qui est fou de moi depuis quelques mois.
J'avoue que je ne suis pas amoureuse de lui mais de plusieurs autres, et qu'il le sait. Mais j'avoue que je ne peux m'en passer et me sers parfois beaucoup de lui pour défouler ma mauvaise humeur. J'avoue qu'on a fait l'amour deux fois et que j'y ai pris beaucoup de plaisir même s'il ne me plait pas. Et enfin j'avoue qu'il m'a dit ce matin au téléphone avoir été hier au resto avec une copine et j'avoue que je suis jalouse et que je la déteste déjà. J'avoue que j'ai déjà décidé de lui faire payer, à lui évidemment...
J'avoue que je suis parfois mauvaise !
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Alex, 23 ans, Paris
J'avoue que j'avais deserté ces colonnes depuis un moment. Et puis un certain évènement a fait que j'ai eu envie d'y revenir. Je me suis remis avec mon ex, Géraldine et ça se passe plutôt bien. C'est arrivé au début de l'été et c'est vraiment en train de recommencer. On n'a pas encore trop parlé de la phase "intermèdiaire" mais quand on y viendra (parce qu'on y viendra) j'aurais sûrement plein de trucs à avouer... Pour l'instant, on s'est dit que si on tenait jusqu'à Noël, on réemménagerait ensemble pour la nouvelle année. C'est plutôt chouette non ?
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Paracétamol, 18 ans, Paris
J'avoue que j'aimerais beaucoup avoir une sexualité régulière.
J'avoue que j'ai fait l'amour pour la première fois il y a plus d'un an et que depuis je n'ai quasiment plus rien fait, mis à part flirter.
J'avoue que ma première fois s'est bien passée, mais que j'aimerais le faire vraiment, car on était pas allés jusqu'au bout.
J'avoue que j'ai envie qu'on me fasse l'amour lentement, très tendrement, de connaître le plaisir à deux.
J'avoue que j'espère que mon célibat va vite stopper pour déboucher sur une histoire un tantinet sérieuse, je pourrais prendre n'importe quel mec pour coucher mais bon, ce n'est pas trop dans mon caractère.
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Paracétamol, 18 ans, Paris
J'avoue qu'il se trouve que le syndrome pouf s'est répandu jusqu'à mon amphi à la fac... J'étais pourtant au deuxième rang, mais elles étaient là, devant. Elles étaient munies d'une feuille et j'avoue que j'étais bien placée et que j'arrivais à lire... J'avoue que je suis curieuse.
Elles parlaient du mec assis au bout de la rangée, et ça volait au niveau de "il a des trop beaux yeux" "pas que ça"... hihi (rire niais de pouf) ; "venez à la pause on va lui dire toutes les 3 qu'on l'aime" ; "ah non moi je lui dirais un jour où je serais plus belle".
Là, j'ai pensé : eh ben c'est pas demain la veille. (Ouh que je suis mesquine).
Et puis quand l'une d'elle lui a posé une question, une autre a dit à sa copine : "arrêtes on dirait que tu vas lui rouler une pelle". *hihihi* (re rire niais de pouf).

Et j'en passe. Je les ai eu pendant 4 heures devant, quand même, respect.

De la bonne poufiasse de competition, sérieux faudrait organiser des concours.
J'avoue que ça me désole. Mais j'avoue que si un jour j'en croise une avec ce mec, j'aurais les boules, parce que c'est assez effrayant, si un mec craque pour "ça".
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Princesse64, 18 ans, Pau
J'avoue que je suis avec mon chéri depuis deux ans et demi et qu'on s'aime toujours très fort.
J'avoue que j'ai eu ma première année de fac et que j'en suis fiere, de plus ce que je fais me plait énormément, et que comble du bonheur, je sais quoi faire de ces études plus tard.
J'avoue qu'en plus de ça, cette année, j'ai eu mon permis et que j'ai pu m'acheter une voiture avec mes propres sous, et que c'est quand même bien agréable.
J'avoue que j'adore les gens que je cotoie tous les jours et que ça fait du bien, que les gens qui m'apprécient me le disent parfois et que ça fait chaud au coeur, en plus c'est réciproque.
J'avoue que j'adore ma meilleure amie et que je suis triste qu'elle soit loin de moi, j'aimerais bien qu'elle soit avec moi. Néanmoins je suis bien entourée.
J'avoue que l'année commence bien.
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Boobsman, 36 ans, Paris
J'avoue que j'avais promis à ma fille de l'emmener à la piscine un soir après l'école. Quand je l'ai récupérée à "l'heure des mamans" elle a couru vers moi en disant "papa, papa, est-ce que ma copine peut venir avec nous ?". Elles avaient l'air d'en avoir envie toutes les deux donc je me suis arrangé avec la maman de la copine. J'emmenais goûter les filles pendant que la maman allait préparer les affaires de sa fille et on se retrouvait devant l'école.

Pendant que les filles étaient en train de goûter, la copine a commencé à dire "Est-ce que ma maman elle pourrait venir avec nous à la piscine ?" et comme elle insistait, j'ai appelé la maman pour lui passer sa fille. Finalement, la maman a accepté de venir avec nous. On s'est donc retrouvé tous les quatre à la piscine. On a chacun pris une cabine pour se changer, moi qui m'occupait de ma fille et la maman qui s'occupait de la sienne. Et là, dans la cabine, je me rends compte que les carreaux blancs qui tapissent les murs sont très brillants et qu'on peut se voir dedans mais également qu'on peut voir en reflet ce qui se passe dans la cabine voisine car la cloison qui sépare les cabines est espacée du mur d'environ cinq centimètres. Je me suis donc autorisé, pendant que j'habillais ma fille à contempler le déshabillage de la maman de sa copine. Et hop le pantalon, et hop la culotte, et bonjour le minou et voilà le maillot de bain, et hop le pull, et hop le soutien-gorge, et bonjour les petits seins, et bonjour la suite du maillot. Et voilà, elles ont été prêtes avant nous.

On a tous bien nagé, les filles se sont éclatées. Et au bout de deux heures, il a fallu rentrer. On est donc revenu se changer et j'ai eu droit à la version à l'envers mais en mieux. Elle a habillé sa fille en premier, elle l'a fait sortir, puis elle a quitté son maillot, a enfilé sa culotte son pantalon puis son pull sans remettre de soutif...

Comme tout le monde s'est amusé, on s'est dit qu'on recommencerait bientôt. Et je dois dire que pour moi c'est quand elle veut.
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Poisson Rouge, 16 ans, Paris
J'avoue que parfois, je fais un petit peu ma petite bourge. Et j'avoue qu'aujourd'hui, j'ai bien rigolé quand des élèves de ma classe se sont exclamés parce-que l'expresso au café du coin valait 2,20 euros.
J'avoue que je suis complètement démoralisée par mes études. J'avoue que les systèmes ellitistes, c'est de la m****, car je crois bien préférer être dans les bons dans une classe de non-éclairés.
J'avoue que mon "kholleur" était un jeune homme d'une beauté incroyable. Et j'avoue que lorsqu'il m'interrogeait, j'étais obnubliée par sa beauté, et que du coup, la démonstration de maths est passée totalement à côté !
J'avoue que dans moins d'un mois, ce sera mon anniversaire. Mais j'avoue que je n'ai envie de le fêter avec personne, car je déteste tous mes chers amis. J'avoue que ces temps-ci je suis très méprisante.
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Maryane, 22 ans, Reims
J'avoue que parfois quand on me parle je m'en fou.
J'avoue être trop gentille et ne pas reussir à dire non.
J'avoue être sortie 3 ans avec quelqu'un que j'aimais et l'avoir trompé au moins je sais plus combien de fois.
J'avoue qu'aujourd'hui il m'a quitté et je le mérite bien.
J'avoue que je l'aime encore et que j'aimerai revenir en arrière.
J'avoue qu'en fait c'est peut-être même pas vrai.
J'avoue que je ne sais pas moi même.
J'avoue parfois avoir des flatulences et dire que ce n'est pas moi.
J'avoue me faire chier dans ma vie
et j'avoue que je ne perds malgré tout pas espoir.
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