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Parpureplaisir, 20 ans, Belgique
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J'avoue que quand je me regarde dans la glace j'aimerais être quelqu'un d'autre. J'avoue être une fille et aimer les filles. J'avoue avoir envie de devenir un homme. J'avoue aussi ne pas être sure d'en avoir envie. J'avoue avoir envie de te prendre encore et encore toute la nuit. J'avoue que je suis avec elle mais que c'est de toi que j'ai envie. J'avoue que tu m'excites énormément. J'avoue que pour une nuit tu me plairais vraiment. J'avoue que je pense à toi quand je lui fait l'amour et vice versa. J'avoue aimer ça. J'avoue que malgré tout j'ai envie d'essayer les hommes. J'avoue que j'ai tellement envie d'un plan à 3, toi moi et elle. J'avoue que les hommes m'attirent. J'avoue que j'aime tout cela.
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Alone971, 28 ans, Capesterre-Belle-Eau
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Peut-on aimer plusieurs personne simultanément ? Je suis folle amoureuse de mon petit ami et entre temps j'ai rencontré un homme qui caractérise tout ce que j'aime. Le courant est très vite passé entre nous, on s'entend énormément mais pourtant on ne peut donner suite à cet "amour". On est en bon terme mais on se dispute quand on parle d'autre personne. Il part en vrille quand je parle de mon petit ami et le savoir avec une autre me met hors de moi, même me fait très mal. Je ne sais vraiment pas quoi faire et j'ai peur que mon petit ami voit ma tristesse.
Je refuse de le quitter car il m'apporte énormément quand ça ne va pas. Ça fait trois ans que je l'aime et je me vois mal tout envoyer valser pour quelqu'un que je connais depuis peu et qui a l'air de ne pas vraiment savoir ce qu'il veut. Puisque pour lui je devrais tout faire pour être avec lui pendant qu'il voit d'autre. Cette situation accapare toute mon énergie je ne sais plus quoi faire et en parler serait comme tendre un bâton pour me battre, tellement les personnes qui m'entourent sont douées pour la critique.
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Together, 19 ans, Grenoble
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M., j'avoue que je pense à toi. Un peu trop. Tout le temps. Et que ça me fait peur. Je sors d'une relation avec une personne plus âgé et me revoilà dans tes bras, de 8 ans mon aîné. J'avoue faire le cœur de pierre pour ne plus souffrir. J'avoue que je sais que tu n'y crois pas une seconde. J'avoue écouter nos chansons en boucle toute la journée. J'avoue repenser à ces nuits à l'hôtel. J'avoue vouloir de toi, et encore plus chaque seconde. J'avoue que tu me fais me sentir bien. J'avoue que je ne sais pas ce que tu me trouves. J'avoue être tomber sous ton charme la première fois que je t'ai vu. J'avoue que d'avoir travaillé ensemble à été très difficile pour moi. J'avoue avoir fantasmé... J'avoue avoir fais le premier pas. J'avoue que tu me donnes envie de prendre mon indépendance. J'avoue rêver du moment on pourra ne plus se cacher. J'avoue que cette nuit encore je vais rêver de toi.
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Girly, 24 ans, Angers
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Alors voilà je suis une femme, je n'ai pas un corps de rêve mais je m'y emploi car j'aime plaire, je suis presque heureuse en ménage avec mon homme depuis bientôt 5 ans. J'aimerais juste qu'on s'envoie en l'air plus souvent parce que j'aime trop le sexe J'en ai besoin de plus et plus souvent. J'ai même l'envie d'aller voir ailleurs rien qu'une fois car j'avoue aimer le sexe assez sauvage, (autrement la baise pure et simple) que mon chéri ne peut me donner. J'avoue aimé aussi avoir légèrement mal de temps en temps pour avoir du plaisir. Aussi j'avoue avoir physiquement envie d'une femme (et plus précisément encore, une ancienne camarade de classe que je n'ai pas vu depuis un moment mais dont je rêve toujours autant). Au final, j'avoue sans problèmes être moitié folle pour avoir de pareilles envies et besoins.
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Melle_printemps, 23 ans, Paris
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J'avoue que ça faisait longtemps que je n'étais pas venue sur Javoue.com J'avoue que j'ai plein de choses à avouer !
J'avoue me poser beaucoup de question sur mon ancien collègue avec qui je suis devenue depuis "amie". Je dis "amie" car cette relation est vraiment étrange : je dors chez lui, on parle, on rigole, on manque de déraper... mais en fait non. Et il ne se passera jamais plus que ça (et c'est très bien comme ça)... mais son attitude me laisse perplexe. Et la mienne aussi : il me trouble énormément, il y a une espèce d'attirance, c'est très étrange.
J'avoue que ma vie amoureuse ressemble à un série en ce moment (des exs m'ont rappelé à une semaine d'intervalle).
J'avoue que c'est LUI dont je parle dans chacun de mes aveux et pour lequel j'ai toujours des sentiments depuis fort longtemps qui a voulu me parler. Heureusement il ne m'a pas posé LA question qui tue, à savoir si j'ai retrouvé quelqu''un et ne m'a pas dit s'il était encore avec sa "copine" dont il se fout royalement (deux ans avec quand même, ben dis donc, si c'est ça en avoir rien à faire des gens...). J'avoue qu'à chaque fois que je vois un espoir de passer à autre chose, il s'effondre et ce n'est pas faute d'avoir fait des efforts pour t'oublier. J'avoue que tu m'as dit être content de me revoir mais j'avoue que je vais continuer à t'ignorer pour me protéger !
J'avoue que j'ai quand même très envie de le serrer fort dans mes bras... (et pas que !)
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Lulu, 17 ans, Toulouse
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J'avoue, je ne parle pas trop. Oui je n'aime pas parler et alors ? J'en ai marre que tu me poses toujours des questions, tout le temps. Tu veux tout savoir sur tout et c'est insupportable. J'avoue que j'ai eu des problèmes étant petite et que tu m'as bien élevée. Tu t'es inquiétée pour moi et je t'en suis reconnaissante. Mais encore maintenant tu t'inquiètes et quand je reçois mes résultats de devoirs et que j'ai toujours les mêmes commentaires des profs tu dis: "comme toujours, tu as fait ci, tu n'as pas fait ça...". Et quand je veux aller chez des amies tu fronces les sourcils: tu es d'accord mais je vois que ça te dérange. Mais je n'en peux plus de rester tout le temps avec toi 24 heures sur 24 ! Tu te plains de ton poids, de tes problèmes de santé qui sont récurrents et pénibles (mais non dangereux). Je n'en peux plus de t'entendre te plaindre et soupirer tout les jours, tout les jours... J'avoue que je suis pressée de partir faire mes études dans une autre ville.
Et maintenant, j'avoue, (à toi mon camarade de classe) que je t'aime. La première fois que je t'ai vu c'était en première et je pensais que tu n'étais qu'un gars débile et immature, comme beaucoup d'autres. Mais tu était super sympa et même si j'avais un air sérieux et un ton un peu agressif, tu as été super sympa. Je n'ai pas mis longtemps avant de t'apprécier. Tu étais sympa, tu ne te mettais jamais en colère, tu étais (et tu es) plutôt populaire... Je ne sais pas quand je me suis mise à t'aimer. En début de terminale, sans doute. J'avais un infime espoir que tu me dises aussi que tu m'aimais. Mais j'ai beaucoup réfléchi et je me suis rendue compte que tu étais sûrement homosexuel. Je n'ai rien contre eux, j'ai même des amis et une cousine homosexuels, et je trouve que c'est très bien pour eux si ils sont heureux. Mais quand je te vois et que je me dis que tu ne pourras jamais m'aimer comme moi je t'aime... Cela m'attriste. J'espère que tu seras heureux..
J'avoue que je suis très susceptible. J'adore écrire, et ce depuis toute petite. Pour moi comme c'est une activité que j'aime beaucoup, je suis très sérieuse dans ce que je fais. J'ai une "bande" d'amis qui adorent aussi écrire, et parfois je leur montre ce que j'ai fait. Mais quand cet après-midi j'ai montré ce que j'ai fait et que je vous voyais rire, j'avoue que je me suis énervée car je n'aime pas que l'on rit de quelque chose que je prend très au sérieux. J'avoue que cela doit venir du fait que ma cousine, quand j'étais petite, lisais mes écrits et rigolait, rigolait, rigolait... Et me disais que j'étais trop mignone. Mais elle ne le disait pas sur un ton gentil. Plutôt moqueur. Et cela me vexait. Cet après-midi en montrant mes écrits je savais que mes amis allaient toujours dire les mêmes choses: tu as mal maîtrisé tel ou telle choses... Mais je sais bien que j'ai très peu progressé et que je fais toujours les mêmes grosses erreurs, et j'avoue que me dire en face ce que je n'aime pas me trouble, m'énerve. Je trouve que tout ce que je fait est nul: mes écrits, mes devoirs, parler à l'oral dans un cours ou avec mes amis... Même ça je le rate: je dis trop de choses ou pas assez, je ne sais jamais quoi dire dans les conversations et j'entend mal quand on me murmure des choses et qu'il y a un peu de bruit à côté... Donc des fois je comprend des choses qui sont pas ça, ou je comprend rien du tout des fois... (ça peut d'ailleurs donner à des situations comiques.) Bref je trouve que tout ce que fait, ce que je dit/ne dit pas, ce que j'écris ou ce que je comprend... C'est nul... Je n'ai jamais eu beaucoup de confiance en moi.
Enfin... J'avoue que écrire tout ça m'a calmée. Maintenant, plus qu'à stresser pour le bac ! (Non sérieusement j'espère que je l'aurais même si j'ai des résultats du genre 11-12 ce trimestre !)
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Melle_printemps, 23 ans, Paris
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J'avoue je n'en peux plus de le voir toutes les semaines et me rappeler cette histoire. J'avoue que je suis toujours bloquée et enchaine depuis les échecs relationnels. J'avoue que mes sentiments pour lui sont toujours là, quoique je fasse...
J'avoue être dans une phase transitoire de ma vie professionnellement, j'avoue que c'est très difficile et je remercie les gens qui me sont proches de me soutenir dans ces épreuves. J'avoue que j'espère en sortir plus forte et dans une situation stable et enfin pouvoir commencer à penser à l'avenir. J'avoue que j'ai hâte d'avoir enfin le diplôme et l'emploi qui va avec tant attendus même si ça me fait un peu peur !
J'avoue que j'ai envie de sortir me changer les idées en mangeant à l'extérieur ce soir en compagnie de quelqu'un de proche mais que je ne le ferai pas car il faut que je me couche tôt ! J'avoue que ça faisait longtemps que je n'étais pas venue sur javoue.com et qu'on retrouve vite les petites habitudes !
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Noone, 17 ans, Bruxelles
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J'avoue que je commence à fatiguer. J'avoue que j'ai pas mal merdé. J'avoue que j'aime plutôt bien plaire, et avoir deux trois mecs qui me courent après. J'avoue que parfois je me comporte un peu comme une sa***e. J'avoue que pourtant je n'en suis pas une. J'avoue que je suis pas facile à vivre. J'avoue que j'aime encore bien les jeux de séduction. J'avoue qu'avec L, y en avait pas mal, de la séduction. J'avoue que mon ex était presque cocu. J'avoue qu'après un an je me suis sentie soulagée quand il m'a dit qu'il voulait arrêter. J'avoue que du coup, j'ai un peu déconné. J'avoue que L je l'aime plutôt bien. La réalité, c'est que ça m'emmerde de l'aimer autant. J'avoue que je sais qu'il se fout de moi. J'avoue que j'en souffre un peu quand il m'appelle bourré pour me déclarer sa flamme et que le le demain il regrette. J'avoue que je fatigue. J'avoue aussi que je sais que tout le monde s'en carre la gueule de ma vie d'ado dérangée, mais ça fait tellement de bien de tout lâcher.
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Bouchon, 32 ans, Paris
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J'avoue avoir rencontré cet homme que mon amie voulait tant me présenter... et qu'aujourd'hui nous sortons ensemble... J'avoue lui avoir pourtant dit que j'avais très envie de partir loin et que je n'avais pas envie de faire des efforts pour un homme, et il m'a juste répondu qu'il fallait en profiter, alors profitons-en ! Du coup, je me suis brouillée avec mon dernier plan cul à cause de cela...
On dit des femmes, mais bon sang les hommes sont parfois pénibles aussi ! J'avoue je ne sais pas combien de temps va durer cette histoire car je ne compte pas faire une croix sur mon amant régulier depuis deux ans.
J'avoue que cet homme était cocu avant même qu'on se mette ensemble. Je ne suis pas spécialement fière mais force est de constater que la vie de couple ne me fait pas rêver du tout pour le moment... Je tiens à ma liberté ! Bref, j'avoue, je sais pas trop ce que je veux finalement.
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K., 28 ans, Lyon
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J'avoue que si j'avais le temps et les moyens, je ferai plein de choses, j'ai plein de désirs, de projets. J'avoue que j'aimerai être secouriste, mais que ça demande un temps dont je ne disposerai pas suffisamment. J'avoue que j'aimerai apprendre le piano. J'avoue que j'ai envie de participer à des courses et de m'entraîner, ce qui peut encore être possible. J'avoue que j'aimerai faire des études pour devenir naturopathe, mais il faut du temps et de l'argent. J'avoue que j'aime mon mari, qu'il est adorable, ne mérite aucunement que je lui fasse du mal ou ai un comportement malhonnête, mais j'avoue penser qu'il n'y a pas qu'une seule personne faite pour nous sur Terre, et que d'autres personnes peuvent nous correspondre... Parfois on les rencontre alors qu'on est en couple et elles chamboulent notre cœur, notre esprit... certains diront que c'est parce que l'on est n'est pas sûrs de notre couple, pas réellement amoureux. Je me suis posée cette question, et je sais que j'aime mon mari. Peut-être me manque-t-il la folie des débuts, le plaisir de la nouveauté, de la découverte... Les premiers frissons avec l'autre, tout ça. Pourtant j'en ai d'autres, des frissons, avec mon chéri. J'ai envie de voyager avec lui, d'avancer dans nos projets. Mais "l'autre" est dans ma tête, même quand je me dis qu'il en partira bien vite si je ne le vois plus du tout, ce qui n'est pas le cas pour l'instant...
De plus, je ne sais pas ce qu'il ressent à mon sujet, j'ai des doutes et je me trompe peut-être. J'avoue que j'ai besoin de retourner sur "le" chemin pour faire un point, aller à l'essentiel et retrouver le contact avec ce qui nous dépasse. Il est pour moi, malgré les contraintes, chemin de vie, d'amour, de liberté.
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Bretelle, 25 ans, Marseille
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J'ai une famille la pire du monde. Enfin ce n'est pas ma famille. C'est celle de ma mère. C'est fou comme les fêtes de famille révèlent les maux profonds. Je n'ai pas réussi à dormir le soir du 24 car je pensais à ma mère, si gentille, qui demande si l'un veut un morceau de viande et on lui répond "fous-moi la paix". Que le soir, elle a mal partout, veut s'assoir, personne ne lui propose de place. Mon cousin arrive et on lui propose. C'était criant de méchanceté, d'indifférence, de violence symbolique. Personne ne se pousse pour lui faire une place. Comme si c'était prévu dans le code de cette famille que ma mère devait compter pour du beurre. Au moment où j'écris tout cela, je trouve cela encore très triste, très violent. Je l'aime tellement et je les hais tous tant.
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Paracétamol, 27 ans, Paris
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J'avoue qu'à bientôt 28 ans je ne sais pas trop quoi faire de ma vie. J'avoue que je me sens toujours un peu "à côté", car je n'ai pas les mêmes envies que la plupart des gens : pas envie de me marier, ni d'avoir des enfants, ni d'être propriétaire... J'avoue que professionnellement il va falloir que je me bouge si je ne veux pas moisir là où je suis actuellement. J'avoue que les métiers que j'aimerais faire obligeraient à un changement de vie. J'avoue que je sais que je ne peux pas rester comme ça, mais que tout bouleverser me fait peur.
J'avoue que je couche toujours avec mon collègue, cela fait presque un an maintenant. J'avoue que jusqu'à présent, personne ne se doute de rien, et que j'ai parfois peur de lâcher un indice sans faire exprès, tellement le mensonge est devenu naturel. J'avoue qu'il me fait toujours autant d'effet. J'avoue qu'il n'a pas une super santé et qu'il a toujours un truc de travers et que ça me gave car du coup cela repousse parfois nos parties de jambes en l'air. J'avoue que cet après-midi je suis passée chez lui et qu'il m'a donné plusieurs orgasmes comme il sait le faire. J'avoue que ce matin j'ai quitté le lit d'un autre, et que ce n'est pas la première fois que j'enchaine deux mecs en moins de 24h, voire parfois en une soirée.
J'avoue que je me tape aussi un de mes coachs au sport, qui a un corps de dingue. J'avoue qu'il est marié et papa, mais que je m'en fous.
J'avoue que j'adore draguer, j'adore séduire, j'adore arriver à mes fins, j'adore découvrir une nouvelle façon d'embrasser, j'adore découvrir un nouveau corps, une nouvelle odeur... J'avoue que je pense tout le temps au sexe. J'avoue que pour certaines personnes je pourrais passer pour une salope, mais pour moi ce qui compte c'est de prendre son pied.
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Perdu, 28 ans, Lille
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J'avoue n'avoir jamais connu l'amour. J'avoue de toujours tomber sous le charme des personnes qui veulent pas de moi. J'avoue me sentir énormément seule malgré un entourage présent. J'avoue ne plus croire en amour. J'avoue avoir l'impression de n'être plus rien, plus important auprès de mon entourage et de mes amies. J'avoue avoir peur de finir ma vie seule. J'avoue être désespérée.
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10 ans déjà..., 37 ans, Anjou
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J'avoue que ça fait 5 ans au moins que je ne suis plus venue sur ce site... J'avoue que si je suis revenue aujourd'hui, c'était pour avouer diverses petites choses, mais avant de commencer, j'ai d'abord relu une partie de mes anciens aveux. J'avoue qu'en dix ans, presque rien n'a changé... Toujours la même peur : celle de faire souffrir le seul être sur cette terre qui m'aime réellement et en qui je peux avoir totalement confiance. Toujours le même défaut: tendance à la nymphomanie, mais jamais avec le bon. Toujours le même soucis sentimental avec mon amant (même si celui-ci n'est plus le même qu'à l'époque) : celui de ne pas me sentir assez désirée. J'avoue que je suis parfaitement heureuse chez moi : j'ai un homme formidable, deux enfants adorables, et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Sauf que... J'avoue que, depuis que je l'ai rencontré, j'ai un petit faible pour quelqu'un d'autre. J'avoue que, pendant 10 ans, j'ai été persuadé qu'il n'y avait pas de place pour moi dans sa vie. J'avoue qu'il y a quelques mois, je me suis quand même trouvé une petite place : celle de maîtresse en chef (et oui, je ne suis pas la seule...).
J'avoue que, pendant cinq mois, ça a été le paradis. J'avoue que ses mains me font vibrer comme jamais je n'avais vibré, j'avoue qu'il me rend folle, j'avoue qu'on est parfaitement compatible. J'avoue que je ne me suis laissé aller à l'aimer que quand j'ai cru être certaine que lui m'aimait... J'avoue qu'aujourd'hui, je déchante. J'avoue que jamais je n'ai eu l'intention de foutre en l'air ma famille pour lui, je savais que c'était sans lendemain, que je fonçais droit dans le mur d'une manière ou l'autre, mais j'avoue que je ne pensais pas que cela me déprimerait autant, et j'avoue que je ne sais pas toujours expliquer à mes enfants, mon mari ou mes collègues pourquoi je pleure sans arrêt ces derniers temps. J'avoue que je leur ai dit que c'était à cause du boulot, que j'en avais marre. J'avoue que c'est totalement faux. J'avoue que je suis amoureuse, autant de mon mari que de mon amant. J'avoue que je suis totalement incapable de me passer d'eux. Et j'avoue qu'il suffit que l'un des deux ne me montre de signe d'affection pendant une journée pour que ça me déprime pendant une semaine. J'avoue que je sais que j'ai déjà énormément de chance d'avoir eu droit aux deux pendant cinq mois, et je m'en veux d'être aussi exigeante, car si mon bonheur est d'avoir deux mecs à mes pieds, j'ai pas fini de courir...
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Infirmier69, 34 ans, Lyon
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J'avoue que notre histoire se termine après 6 ans de vie commune. Tu es parti sans même te retourner pour une vie meilleure, ailleurs avec ces étrangers qui sont venus te vendre du rêve. Et comme tu es rêveuse, opportuniste tu as sauté sur l'occasion. J'avoue que tu m'as bien baratiné pour préparer ton projet professionnel... Qui n'a de professionnel que le nom ! J'avoue que tu n'as fait preuve d'aucune empathie à mon égard, d'un irrespect total en me laissant sans nouvelle de toi du jour au lendemain pendant 10 jours pour au final m'annoncer au téléphone que ta vie ici ne te manquait pas. J'avoue que cette période à été terrible pour moi, que j'ai fait preuve d'une fragilité énorme et que sans mes amis N et H, cela aurait été encore plus difficile. J'avoue que je t'en ai voulu et je pèse le poids de mes mots. J'avoue que j'ai pleuré à ne plus y voir. J'avoue que je ne t'en veux pas de m'avoir quitté car la vie à laquelle tu veux prétendre je ne peux pas te l'offrir. J'avoue que je méritais un peu un plus d'égard compte tenu du fait que je pensais que notre histoire avait été belle. J'avoue qu'on aurait certainement fini par se séparer un jour et que j'aurais voulu conserver que les bons moments et les bons souvenirs. J'avoue que je n'ai pas toujours été correct avec toi, et toi non plus d'ailleurs. J'avoue que si je t'avais quitté à ta première cachoterie je n'aurai jamais écris ces lignes 6 ans plus tard. J'avoue que ta vision de la vie me laisse sceptique, toi qui penses voir les choses à long terme alors que tu es incapable de te projeter. J'avoue que tu devrais réfléchir à la place que tu laisses dans ta vie et dans ton cœur aux gens qui t'aiment, qui t'ont aimé et qui étaient là pour toi quand tu étais en difficulté. J'avoue que tu trouveras toujours des proches pour partager les bons moments. Qu'en sera-t-il lorsqu'il faudra partager les moments difficiles. J'avoue que moi j'ai été là ces 6 dernières années et comme ce fut difficile par moment. J'avoue que si j'avais fait preuve d'autant d'opportunisme que toi j'aurai été moins triste aujourd'hui. J'avoue A que je te souhaite que du bonheur parce que je t'ai aimé passionnément mais le jour où tu vas tomber de ton petit nuage tu verras à quelle point tu es seule. J'avoue que la manière dont tu m'as quitté me donne une bonne leçon sur la vie.
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Lali89, 25 ans, Laval
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J'avoue que ma vie change en bien en ce moment. Javoue que je n'ai toujours pas eu de chéri mais que je prends plus sur moi. J'avoue que ma vie sociale change en bien aussi je rencontre de nouvelles personnes et ça fait du bien. J'avoue que par contre du côté professionnel c'est pas ça du tout... Je vais de plus en plus au travail à reculons. J'avoue que je souhaite changer de travail mais que je ne veux pas quitter Laval où je commence seulement à me faire une vie. J'avoue que je ne sais pas quoi faire comme métier tout changer ou ne rien changer du tout. J'avoue que le jour où j'aurai vraiment trouvé ma voie ça ira mieux.
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Jo, 40 ans, Lausanne
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Bonjour, Je suis un mec de bientôt 40 ans. Selon les filles, plutôt beau gosse. Le souci que j'ai avec les femmes se trouve au niveau de ma braguette. Comme dis l'adage, mieux vaut une petite qui frétille qu'une grosse qui roupille. Ben le problème c'est que la mienne n'est pas bien grosse et qu'elle roupille constamment. Alors c'est probablement de cause à effet, mais je suis constament cocu du coup. Et le pire, c'est que je l'accepte avec fatalisme. J'essaye de garder mes copines en leur laissant prendre ailleurs se que je suis incapable de leur offrir.
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Cindy, 33 ans, Paris
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J'avoue à 33 ans faire le bilan de ma vie, et constater que je n'ai jamais avancé, que j'ai toujours été en retard par rapport aux autres : pas d'enfant, pas d'amour, une vie professionnelle au point mort, des amis sur les doigts d'une main et une famille qui ne m'apprécie guère. Je ne suis pas dans la dépression, je n'ai pas d'idées noires du style j'en ai marre de la vie, je suis simplement dans un pur constat de ma marginalité. Je me dis qu'il faudrait réagir, mais je me suis tellement construit dans la marge que je crains que ce ne soit plus possible.
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Bouchon, 32 ans, Paris
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J'avoue que je ne sais plus trop où j'en suis en ce moment... J'avoue que depuis que j'ai perdu mon chien j'ai du mal à être heureuse, les vacances m'avaient changé les idées mais le retour à la routine fut pire encore. J'avoue avoir grandement envie de partir, de demander ma mutation très loin d'ici, mais j'attends une réponse pour une formation bientôt et il ne serait pas de bon ton si c'est accepté que je file peu de temps après, ma conscience me l'interdirait ! J'avoue que mes soucis avec mon ex n'avancent pas car la justice française est terriblement lente... Et ça commence à me courir ! J'avoue que ma vie sentimentale est néante mais que cet été j'ai eu des aventures furtives avec des hommes charmants et que finalement ce genre de situation me plaît. J'ai une amie qui voudrait me présenter un pote avec qui "théoriquement" ça pourrait le faire, mais j'avoue ne pas avoir envie d'une relation stable pour le moment. J'avoue avoir envie de profiter de mon célibat, et j'avoue aussi que j'ai grand besoin de changement ! Et que depuis le temps que ça me trotte dans la tête il va finir par se passer quelque chose.
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Me, 30 ans, Montpellier
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J'avoue que je n'y comprend rien. J'avoue qu'on bossait ensemble, que des liens se sont tissés, et que j'ai craqué. J'avoue que toi et moi au lit c'est le top. Tu as un effet sur moi, qui me perturbe énormément. J'avoue avoir très certainement des sentiments pour toi, mais qu'il est préférable de les refouler. J'avoue que je n'ai rien à faire dans ta vie, même si j'aurais aimé le contraire. J'avoue qu'on aurait pu vivre et construire quelques choses de super car t'es un mec tellement bon et généreux à l'intérieur. J'avoue que tu me fuis, pourquoi je ne sais pas ? J'avoue que tu vas beaucoup me manquer... Et qu'avec le temps j'espère t'oublierais.
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Perdu, 27 ans, Montréal
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J'avoue être malheureux que ma meilleure amie se soit mariée avec un autre car je l'aime. J'avoue être déçu de moi car je suis avec une fille formidable qui mérite tellement et que je ne cesse de penser à une autre. J'avoue que tout ça me travaille et que je suis perdu, que j'ai perdu le goût de la vie au point de chercher des sites pour pouvoir m'exprimer. J'avoue être dégouté de tellement devoir assurer puisque dans ma famille, l'échec n'est pas une option. J'avoue que j'ai l'impression d'être un bon à rien et que derrière ma façade de personne super sympa et ouvert, je suis totalement triste et perdu. J'avoue que je n'ai personne à qui me confier car tout mon entourage se connait et que ça va sûrement se propager. J'avoue que je n'ai pas envie de cette vie à laquelle je suis promis malgré tout le confort que ça peut apporter. J'avoue vouloir ne pas exister tout simplement.
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Zut, 23 ans, Cannes
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J'avoue ne plus avoir d'énergie. Je n'ai plus d'énergie pour rechercher du travail et entendre dire que je suis trop jeune et pas assez expérimentée. Je n'ai plus d'énergie pour contredire des potes égoïstes qui passent leurs envies sans se soucier des envies des autres. Je n'ai plus d'énergie pour dire ce que je pense réellement aux personnes qui m'entourent de peur de me retrouver dans de nouveaux conflits. Je n'ai plus d'énergie pour aller à la rencontre de nouvelles personnes.
Et pourtant, j'avoue avoir envie d'un travail qui me plait mais dans une ville qui me plait vraiment. J'avoue avoir peur de perdre mes amis. J'avoue avoir besoin de mes proches. J'avoue que je garde tout pour moi, je ne parle plus et que je deviens petit à petit une bombe à retardement.
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Lo, 23 ans, Clermont-Ferrand
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J'avoue que je suis coutumière du trop plein de vérité qui finit mal car au final qui aime la vérité ? J'avoue que ma vie n'est pas aussi simple et belle que je l'aurai souhaité. J'avoue que déménager tous les 6/10 mois ne me fait plus rire.
J'avoue, en relisant mes anciens aveux, que j'ai laissé beaucoup de monde derrière moi et qu'encore aujourd'hui je me demande si c'était une bonne chose. J'avoue que je désespère de rencontrer des amis, des gens sur qui compter, des gens qu'on puisse inviter à boire un verre, à manger, des gens avec qui on puisse rire de tout et de rien, des gens qui habiteraient près de chez nous et pas à 300 kilomètres comme actuellement.
J'avoue qu'à 23 ans j'ai l'impression de vieillir trop vite, de vouloir des choses qui ne sont pas de mon âge.
J'avoue avoir détesté notre période Lyonnaise qui m'a fait réaliser à quel point je n'étais plus la fille insouciante, fêtarde et délurée de mes études. Et je ne sais même pas si cette fille me manque ou non. J'ai maintenant une vie bien rangée, un grand appartement avec une chambre d'amis, une cuisine aménagée pour devenir la parfaite femme au foyer et j'en ai peur. J'ai peur qu'on s'enferme dans une routine qui nous coûtera tout.
J'avoue que toi et moi on est bien ensemble et que si tu es et reste ma seule histoire d'amour je n'ai pas peur.
J'avoue que j'aime notre autarcie mais je n'en peux plus de nous porter à bout de bras, je n'en peux plus de subir ta mauvaise humeur pour les autres alors qu'ils n'en pâtissent pas, je ne suis pas un punching ball verbal sur lequel tu peux déverser ta colère, tes angoisses journalières. Je suis une cocotte minute et si pour le moment je ne fais que siffler. Va venir un jour ou je vais exploser. J'ai peur de baisser les bras et de tout perdre.
Quand je vois la vie des autres je ne peux m'empêcher d'envier certains aspects et de me réjouir de ne pas en connaître d'autres.
A. si tu savais comme je me suis inquiétée pour vous, comme j'ai espéré qu'elle vive bien et longtemps et comme je suis soulagée que son cas ne soit pas le pire qu'il puisse arriver, je ne sais pas comment j'aurai pu gérer cette situation, je ne sais pas si j'ai les épaules pour le faire, mais je me sens capable d'être ta bouée de secours si besoin.
M. si tu savais comme ta vie ne me passionne plus, si tu savais comme ton attitude me désole et à quel point je ne te considère plus comme une vraie amie. Ta course à la victoire en toute circonstance me laisse maintenant de marbre et si à 25 ans tu n'as que ça en tête d'être mieux que tout le monde par tous les moyens alors tant mieux pour toi ! Ça doit être tellement épuisant pour toi de mentir sans arrêt sur tout pour te croire supérieure que je te plains mais si pour toi la vie c'est ça alors je te souhaite le meilleur, loin de moi, car je crois que je vais finir par craquer et te balancer tes 4 vérités et on est toutes les deux sûres et certaines que ça ne te fera pas plaisir.
Merci au Pacha pour ce site, ça fait du bien de se laisser aller !
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Sweet swiss, 27 ans, Vincennes
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J'avoue que je me suis remise avec toi parce que je t'aime et que je crois en notre relation malgré le fait que tu ne sois pas amoureux après 10 mois.
J'avoue que je me pose encore de questions quant à savoir si toi aussi tu veux vraiment rester avec moi ou partir à la 1ère occase.
J'avoue te voir sous un jour différent.
J'avoue que suite à ma situation professionnelle précaire, je ne correspond pas à tout ce que tu attends et que je ne serai jamais cadre.
J'avoue que des fois, je me sens stupide à côté de toi quand je parle ou explique un événement historique que je crois juste alors qu'en réalité je dis n'importe quoi et tu me corriges sur un ton condescendant que je déteste.
J'avoue ne pas avoir une intelligence académique et que je ne serai peut être jamais aussi cultivée que toi.
J'avoue que je continuerai de raconter des conneries et que je suis comme ça.
J'avoue que suite à tes non-sentiments pour moi, je ne veux plus trop te donner si je ne dois rien recevoir en retour.
J'avoue avoir peur que tu trouves une femme qui t'excite sexuellement, que tu aimeras, qui sera super intelligente et qui aura un travail stable avec tous les avantages.
J'avoue que le jour où tu décides que notre relation n'avance plus, je rentre dans mon pays et coupe les ponts.
J'avoue, je souhaite que toi aussi tu fasses des efforts et me retiennes car pour moi, tu es l'homme avec qui je veux être.
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Melle_printemps, 22 ans, Paris
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J'avoue que moralement je me débrouille maintenant mais que LUI me manque toujours... IL s'est trouvé une "copine" dont il "se fout complètement" et a continué de me faire des avances (alors qu'il était avec elle depuis un bail) jusqu'à ce que je mette un gros stop en lui faisant remarquer. Mais il dit s'en ficher de moi, c'est très ambivalent comme attitude : dire quelque chose et faire l'inverse. J'ai tenté de me disputer avec lui pour passer à autre chose mais je suis toujours bloquée et ne veux que lui...
Sinon j'ai un stage et je poursuis toujours les études mais j'ai une peur bleue de rater mon année car j'ai du mal à travailler et rester concentrée avec tout ce qui s'accumule autour de moi... Problème de famille, de voiture (toujours), et même d'amitié.
En effet, j'avoue je me sens en décalage complet avec mes amis depuis un moment. Ils sont tous plus âgés que moi mais je trouve leurs centres d'intérêts puérils pour la plupart. Je ne dis pas que je me sens supérieure, c'est plutôt que je n'ai pas vraiment le temps de faire "des choses de mon âge"... Et que je ne supporte pas qu'on essaie de me changer ou qu'on m'oblige à faire des gamineries ou m'intégrer dans un groupe (je suis plutôt solitaire).
J'avoue je suis toujours un peu perdue et j'aimerais juste m'évader et partir voir la mer. J'avoue, je devrais revenir plus souvent sur j'avoue.com
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