Papillon, 18 ans, Paris
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J'avoue que je rêve d'un garçon : - cultivé comme Bernard Pivot - drôle comme Gad El Maleh - sportif comme Yoann Gourcuff - cordon bleu comme Jean de Top Chef - doux comme Winie L'ourson - fort comme Hercule - romantique comme Jack de Titanic - bad boy comme le Prince Harry - rêvant de fonder une belle famille comme Brad Pitt - qui sent bon comme Jude Law - confiant comme Docteur Shepard - dévoreur de livres comme Ali Badou Je rêve trop ? -> Meilleur Aveu <-
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Jackaubidarty, 33 ans, Marseille
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Hier soir, après avoir chassé un moustique pendant une demi-heure dans la chambre des enfants sous leurs yeux attentifs... J'avoue, j'ai fait semblant de l'écraser contre un mur en m'écriant : "Ayé je l'ai eu, bonne nuit !" et je me suis barré dormir. Tant pis, ils se feront piquer mais moi j'ai sommeil ! -> Meilleur Aveu <-
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Puto, 25 ans, Puteaux
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Hier soir, à un diner entre amis, ma copine sort : "De toute façon, en général quand y a un truc qui intéresse personne, moi ça m'intéresse !". Une de ses amies se tourne vers moi et me dis "tu vois... tout s'explique !". -> Meilleur Aveu <-
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Yeux grand ouverts, 33 ans, Paris
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J'avoue qu'après 9 ans de « fréquentation », 6 ans de mariage et 2 enfants depuis mon dernier aveu, je suis toujours aussi amoureux de ma femme. Intelligente, sensible, drôle, fine et pleine d'humour... Pas folle de sexe, enfin pas assez à mon goût, mais je survis, grâce, en général, à un contrôle quasi-total de ma libido et de mes instincts bestiaux. Rentrant un peu tard d'une soirée entre potes, digne, je me couche auprès d'elle et me force à penser à autre chose que ses fesses rebondies que ma main caresse doucement, sans arrière-pensée aucune. Sentant malgré tout l'émotion me gagner, je me prends à imaginer que la journée pourrait décidément bien se terminer. C'était sans compter le pet long et puissant qu'elle lâcha dans son sommeil, et dans ma main... Bouche bée, toute émotion retombée, je me suis forcé à penser à l'avenir d'un monde... -> Meilleur Aveu <-
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Heloise, 23 ans, Besançon
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J'avoue que j'ai fait table rase de tout ce que j'ai pu connaitre avant, et j'avoue que maintenant que je suis ouverte aux rencontres, il y a ce type qui me fait baver tous les jours. J'ai peur de baver un peu trop devant lui un jour et de faire une grosse flaque. Si ça arrive je dirai que j'ai la rage, ce sera toujours mieux que d'avouer : en fait ce sont tes yeux, ton parfum et tes derrières d'oreilles qui me font cet effet. J'avoue que je suis un putain de gros coeur d'artichaud mais j'avoue aussi que j'aime bien ce petit effet qui me traverse. -> Meilleur Aveu <-
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Artemiss, 26 ans, Olympe
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J'avoue que je mélange rarement ma bande de copine avec ma bande de copain, pour la simple et bonne raison que ces derniers sont des gros bourrins. Je les connais depuis assez longtemps pour ne plus m'en offusquer, de toute façon à leurs yeux je ne suis plus tout à fait une fille. J'avoue que dernièrement j'ai gagné mes derniers galons de « vrai mec ».
Crémaillère d'un pote, j'arrive tôt, en voiture, ce pote faisait (à l'époque) pousser de l'herbe magique chez lui, un truc de dingue vraiment fort. Là-dessus quelqu'un ramène une bouteille de champagne, on me met une coupe dans les mains, qui se remplie par magie à chaque fois que je commence à en voir le fond, les pétards tournent et moi j'oublie que je suis venue en voiture...
Vers 22h gros coup de barre, la vision « qui saute » la tête lourde, je décide d'aller m'allonger un peu le temps que ça passe.
22h30 je salive beaucoup trop... je demande qu'on m'apporte une bassine, une première fois, timidement, une deuxième fois avec un peu plus d'urgence dans la voix, j'ai pas eu le temps de demander une 3ème fois... j'ai vomi... dans mes mains. Imaginez quand même que ça fait plus de 10 ans que je fréquente ces garçons et que jamais au grand jamais ils ne m'ont vu vomir. (Si les oiseaux se cachent pour mourir moi je me cache pour vomir).
J'avoue que quand X. est monté avec un verre d'eau pour savoir si je voulais me rincer la bouche et que je l'ai regardé avec un air de chien battu en lui demandant de me rincer les mains, j'étais au fond du trou, entre deux hoquets, des larmes plein les yeux et de la gerbe plein les mains. « Soo glamourous » il l'a fait avec toute la gentillesse possible et le dévouement surtout. J'ai filé mes clés de bagnoles et réquisitionné deux personnes pour me ramener personne n'a bronché. J'avoue que mes potes sont des amours, beaucoup plus sympa que moi et que je ne les ai jamais entendus ressortir le dossier (ça fait quand même bientôt 3 ans).
J'avoue que si des fois ils m'ont fait honte je les aime tous, même « le jaune ». -> Meilleur Aveu <-
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Chut, 21 ans, Lyon
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J'avoue que depuis cinq mois, ma vie passe à grande vitesse. Ce nouveau boulot m'envole sur bien des points, et je n'aurais jamais pensé que ça serait dans un contexte pareil, que je ressentirais pour la première fois, l'envie de quelqu'un avec autant d'ardeur. J'avoue, quinze ans nous sépare, et son attitude adolescente me conforte dans l'idée que nous pourrions nous entendre et nous confondre malgré l'écart qui se laisse entendre. J'avoue me taire à moi-même cette "chose brutale" qui m'implose. Depuis que j'ai appris son départ pour un ailleurs, j'ai l'envie profonde d'accélérer les choses et de lui dire avec des gestes. Il me trouble et il est fait pour être dans ma ligne de mire. Lorsque je pense à lui, j'ai mal. J'ai mal de l'imaginer s'en aller dans l'ignorance, et en colère après moi-même d'être si faible. Il n'a rien fais pour me mériter. Il ne m'est jamais rentré dedans, il n'a jamais fais de sous-entendus.. Ou alors je refuse de les voir, Oui, même les plus microscopiques des "perches tendues", je me refuserais de les voir, car j'ai bien trop peur "d'y croire un instant". Pour mieux me vautrer par la suite. Le complexe est partout dans cette histoire inexistante. Lorsqu'il arrive à moi, je tiens son regard encore et encore. Et lorsqu'il me suit aussi longuement. Je ne suis plus d'ici. Je souris niaisement à son regard, bien sûr, je m'applique à le faire lorsqu'il n'est plus à proximité. J'aime lorsqu'il me taquine encore et encore... Avec son regard malicieux, que je voudrais heurter au mien des heures durant. J'aime lorsqu'il rigole à mon humour, et que la fissure de nos regards rieurs se donne le change. J'aime le sentir près, si près qu'il me parle à demi mots. J'aime l'intonation de sa voix sensuelle, apaisante. Et pourtant.. Exaltée, sa voix sait l'être lorsque ses colères explosent. Et là encore, j'aime lorsque sa voix redevient câline dans un "Tu boudes ?" qui me donne envie de le laisser ramper, ramper... J'aime Tout. Hélas ! Hélas. Oui... Car les choses ne vont pas dans le sens qu'on le souhaite, parfois. Il faut savoir donner les directives à la vie et être son propre chef d'orchestre. Mais jamais ma confiance et l'estime de moi-même ne saura être assez grande pour aller jusqu'à lui de cette façon là. Il est mon idéal, pourtant, je crois que l'on a franchement rien à faire ensemble. C'est un coureur, un sportif, un endurant de la vie. Un bon vivant, un cru. Un excellent joueur. Un Taureau. Avec ses cornes bien aiguisées, il enfonce toutes les portes, et son chemin, il se le créé tout seul. Voilà quelqu'un qui saurait m'apporter beaucoup, si seulement il avait le temps. A côté de sa brutalité impulsive et impatiente, je le ressens implacablement doux et délicat. Je sais, c'est sa voix qui me l'a sussuré. Je sais que ses mains sont capables de plaisirs douloureux car tellement attendus. Je sais, qu'il serait bon d'être calmement étendue contre lui. J'aimerais qu'il dérape lorsqu'il appuie fortement sur mes deux joues. J'aimerais que ses grands yeux verts deviennent explicites, soutenus, messagers... J'aimerais qu'il soit toujours "sur mon dos", et jusqu'à ce qu'il s'en aille. J'avoue que mon coeur donne naissance à un autre, lorsqu'il m'apparaît sans prévenir. J'avoue être en "érection du coeur", et bien heureusement cela ne se voie pas. J'avoue que le matin lorsqu'il vient vers moi, je ressens une attraction physique, et j'ai l'envie irrésistible de faire se toucher nos lèvres... J'avoue que ses grandes mains me font frémir. Tout comme ses fesses bien galbées dans son jean troué. J'avoue qu'il me plait tout entier, que son style vestimentaire me rend dingue et qu'il sait se mettre en valeur, ou est-ce seulement moi qui voit de la valeur de partout. J'avoue avoir l'envie de passer ma main dans ses cheveux, dans son cou, dans son dos et faire chevaucher son phalanges. J'avoue qu'il est trop tout et qu'il me transforme en une parfaite personne qui l'adule, refusant de voir autre chose. J'avoue que son regard sérieux me chavire, et que ses rires, pour moi et uniquement pour moi, me donnent l'envie de me jeter dans ses bras. J'avoue avoir donné naissance a des fantasmes et des envies, de mon côté. Je n'ai pas eu le temps de m'en faire un ami, pour faciliter le rapprochement. Voilà ce qui m'aura cruellement manqué, je l'avoue. "Les histoires que l'on a pas eu le temps de vivre sont les plus belles". -> Meilleur Aveu <-
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Cacahuette, 22 ans, Rennes
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J'avoue que jusqu'à présent la seule personne qui m'ait fait avoir un orgasme, c'est moi même... -> Meilleur Aveu <-
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Antibiotik, 38 ans, Paris
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Depuis que j'ai fait poser un attelage de remorque à mon véhicule, je cogne beaucoup plus souvent quand je me gare (muret, poteau ...), avec une large préférence pour les véhicules de mes collègues sur le parking du bureau. D'habitude, ça fait juste un petit "poc" et ça ne laisse pas de trace. Mais l'autre jour, en revenant de déjeuner, je me garais en téléphonant en même temps car ma dulcinée aux cheveux roux souhaitait que je passe au supermarché ... et je n'avais pas très envie, donc je négociais un "vas-y à ma place, je n'aurais pas le temps". Au même moment, un choc assez important à l'arrière me rappelle à l'ordre. - "J'ai encore tapé !" Pas de témoin sur le parking, je me gare 10 mètres plus loin histoire de ne pas me désigner comme étant le coupable. Je regarde la voiture pour contempler l'ampleur des dégâts : pare-choc défoncé, capot du moteur légèrement soulevé, un phare sorti de son axe, à moitié cassé. "Quelle voiture en carton pourtant j'avais pas l'impression de reculer vite". Finalement je change d'avis et je compte assumer mes bêtises. Je cherchais dans mes poches crayon et stylo pour laisser mon numéro au propriétaire quand je vois un collègue de réputation pas aimable sortir du bâtiment d'un pas rapide. Aussitôt je me suis dit que ça doit être le propriétaire en question, il m'a vu de son bureau et ça va être ma fête. Je reste près de ma voiture, prêt à dégainer le constat. Mais il me passe devant et pousse un cri de rage en voyant les dégâts. Il vient vers moi et commence à s'agiter : - "T'as vu qui a fait ça ? t'as vu qui a fait ça ?" - "Non je viens d'arriver, je regardais justement ta voiture. Je croyais que t'avais eu un accident ce matin en venant moi" - "Noon putain c'est arrivé entre midi et deux, si je choppe l'enculé qui m'a fait ça !" - "On dirait que le coupable n'a pas laissé son adresse en plus. Ça doit être un 4x4 ou une camionnette de livraison qui t'a défoncé comme ça ..." - "Faut que je le choppe ! Faut que je le choppe ! Putain comment je vais faire, j'ai une réunion chez un client cet après-midi !" - "Tu veux que je demande à l'accueil la réservation d'un taxi pour l'après-midi ?" - "Oui ok, fais vite !" - "J'y vais tout de suite." Il était hystérique. Cela dit, si je l'avais apprécié, j'aurais avoué mes méfaits. Mais je suis bon prince, je lui ai commandé son taxi et je préfère avouer ici qu'à un collègue hystérique. -> Meilleur Aveu <-
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Madinette, 21 ans, Montpellier
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Maman, l'autre jour dans le bus tu me demandais où je comptais manger le soir... J'avoue que quand je t'ai dit : "ché ap" et que tu m'as répondu : "chez qui ? Je ne connais pas c'est où ?" je n'ai jamais eu aussi honte quand j'ai vu les passagers pouffer de rire et glousser dans leur barbe. Maman, j'avoue qu'il faudrait que tu te mettes sérieusement au français moderne ou songer à parler moins fort dans les transports. -> Meilleur Aveu <-
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