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R., 28 ans, Paris
J'avoue ne pas t'avoir vu au début.
J'avoue qu'au fil des mois nous nous sommes rapprochés.
J'avoue que nous sommes collègues et que maintenant je t'aime.
J'avoue que tu es en couple et heureuse depuis bien longtemps.
J'avoue que tu ne saura jamais rien de mes sentiments.
J'avoue que dans un mois je change de travail et que personne n'est au courant.
J'avoue que j'en suis heureux et triste à la fois.
J'avoue que c'est un au revoir S.
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Lydia, 33 ans, Niort
Yoann,
J'avoue que je fantasme sur toi depuis longtemps.
J'avoue que tu occupes toutes mes pensées.
J'avoue que cela est difficile car je suis avec un de tes meilleurs amis, pour lequel j'ai de très forts sentiments.
J'avoue être maman depuis peu.
J'avoue attendre chacun de tes messages avec impatience.
J'aimerai tellement sentir ton contact...
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Capricam, 27 ans, Lille
J'avoue, je suis tombée sur le mec. Vous voyez celui vous correspond point sur point.
Sportif, Cultivé, drôle, travailleur, à l'écoute... Bref j'avoue il m'a fait craqué.
J'avoue que je manque de bol car ce charmant jeune est parti dans deux, trois mois. Loin, très loin.
J'avoue qu'on s'est plu.
J'avoue que je suis relativement dégoutée.
J'avoue l'amour et moi ça fait deux.
J'avoue...
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Bierrebrune, 33 ans, Montpellier
Cher Pierre qui roule,

J'avoue trouver ton message troublant...
Il me projette quelques mois en arrière. C'était au mois de Mai...
J'ai vécu une histoire ce mois-là ; courte mais remplie d'émotions. Et pour moi, elles restent les plus belles !
Cette personne, très différente de moi (mais peut-être pas aussi différente que ça finalement) a su m'apporter beaucoup de choses dans une période de ma vie dont la "descente aux enfers" était bien proche. Et à ses brefs côtés, j'ai moi-même ressenti ce que l'on appelle ce sentiment de plénitude et de bien-être. Avant, je ne l'avais jamais ressenti...
Tu sais, chez moi on dit souvent que ce n'est pas la destination mais la route qui compte ! (étrange toutes ces similitudes, non ?) Alors à travers ton message, j'en profite pour dire à cette personne : Merci ! Merci à toi d'avoir croisé la mienne, de route ! Merci pour ce fameux "baume au coeur"... Merci pour l'espoir... Tu resteras gravé(e) dans ma mémoire un sacré bout de temps.
Je te souhaite le meilleur dans la vie et même si je ne t'ai pas assez connu, je reste convaincu(e) que tu es quelqu'un de bien. L'intuition très certainement...
Et c'est sur air de Flamenco que je me me permets de t'embrasser une dernière fois tendrement...
S.
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Tophe, 33 ans, Lyon
J'avoue avoir été profondément déçu quand j'ai découvert qu'elle était une fausse blonde.
J'avoue avoir avalé ce fait.
J'avoue avoir été en colère, à l'intérieur de moi, quand j'ai découvert qu'elle avait une poitrine totalement plate.
J'avoue que mon amour pour elle s'est évaporé et que je n'arrivais pas à feindre les sentiments.
J'avoue croire que ce n'était pas de ma faute parce qu'elle m'avait caché les vérités.
J'avoue que je ne cherche pas spécialement une blonde ayant une grosse poitrine mais que quand j'ai été amené à tomber amoureux d'elle, la couleur de ses cheveux et la forme de sa poitrine en firent partie et elle devait être authentique.
J'avoue que je suis très désolé pour elle et qu'on est tous les deux malheureux.
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Nikos33, 25 ans, Nice
J'avoue que je t'aimais plus que tout, Blandine, et que même aujourd'hui, je me demande comment on a pu devenir deux étrangers à ce point.
J'avoue que je ne supportais pas ta consommation de cigarettes, mais c'était parce que j'avais peur qu'elles finissent par me séparer de toi. Au final c'est ma peur qui m'a fait perdre ce que je cherissais le plus.
J'avoue que depuis 6 mois qu'on n'est plus ensemble, j'ai pensé à toi tous les jours, à tous nos bons moments, tous nos rituels.
J'avoue que je n'arrive pas à passer à autre chose, car au delà des regrets, j'ai toujours l'espoir, celui de te partager à nouveau quelque chose avec toi. Pas forcément comme avant, juste quelque chose de bien, de neuf, pour retrouver ce sourire que je vois toutes les nuits dans mes rêves.
Il n'est jamais trop tard pour être heureux, sinon, à quoi bon vivre ?
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Kerlane, 23 ans, Paris
Il y a plusieurs mois, j'avouais être sans cœur et sans sentiment. J'avouais avoir peur d'être si insensible.
Et puis il y a eu M. M, qui m'a plu dès le premier jour et je n'ai rien tenté. Après plusieurs mois à lui tourner autour, j'ai fini par l'avoir.
Il m'a tellement fait évoluer... J'ai laissé tomber J., mon plan cul, pour lui, pourtant ce n'était pas simple, je suis restée plus de cinq ans avec lui et il était devenu mon meilleur ami. Mais les sentiments... Ah ! J'avais entendu dire que ça ne se contrôle pas. Maintenant, je le sais.
Après huit mois de bonheur longue distance avec M, plusieurs vacances ensemble, on a fini par sauter le pas, on a emménagé ensemble... Moi, l'indomptable, la solitaire, j'ai fini par m'engager avec quelqu'un ! Après un mois de vie commune, il n'y a rien a regretter... Je vis un bonheur sans faille.

Alors aujourd'hui, je viens tout vous avouer. Rien n'est éternel. Le piment d'une vie existe toujours, il suffit de le trouver.
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Cathyzelder, 26 ans, Bruxelles
J'avoue que mon copain a cessé toute consommation d'alcool depuis 11 jours maintenant.
J'avoue que je suis fière de lui et que je ferai n'importe quoi pour le soutenir.
J'avoue que j'avais perdu tout espoir qu'il parvienne à arrêter un jour.
Après mes mises en garde, il avait promis de ne plus se saouler en ma présence mais j'avoue que je savais qu'il le faisait encore les soirs où il était seul.
J'avoue, je comptais les vidanges et les canettes dans le sac.
J'avoue que c'est bien qu'il arrête pour lui, et pas pour moi ou à ma demande.
J'avoue que je trouve mon amoureux beaucoup plus sexy depuis qu'il est sobre. L'alcool donne le teint rouge et la peau vitreuse, en fait. Et finalement, faire l'amour avec quelqu'un de bourré, ce n'est vraiment pas agréable.
J'avoue que je pense que beaucoup des problèmes rencontrés dans notre couple venaient de sa consommation d'alcool.
J'avoue que l'alcool était la raison n°1 qui nous empêchait d'emménager ensemble.
J'avoue que quand il m'emmenait dans les bars du centre où il était un habitué, je sentais les regards de pitié des tenanciers : "mince alors, lui, il a une copine, et elle a l'air toute gentille".
J'avoue être peut-être un peu naïve mais je pense vraiment que l'alcool ne l'a jamais poussé à la tromperie. C'était l'alcool lui-même, mon rival.
J'avoue que ça faisait mal, tout ça.
J'avoue bannir le vin de ma cuisine pour lui, car j'ai peur de la moindre chose qui pourrait le faire flancher.
J'avoue me dire pour me rassurer, que c'est mieux de se reconnaitre alcoolique à 30 ans qu'à 50 ans. En tout cas, c'est plus facile, j'espère. La route est encore longue... mais je serai là !
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Sebg45, 25 ans, Briare
Ca m'a touché que tu m'ais parlé de tes soucis. merci pour ta confiance. Depuis j'arrête pas de penser à toi en espérant que tu t'enfonce pas.
Une chose m'importe maintenant t'accompagner dans ses moments difficiles, être à tes cotés par contre malheureusement je crois que tu as ravivé ma flamme.
La seule chose qui m'intéresse en ce moment c'est d'avoir de tes nouvelles rien d'autre n'a d'importance.
Ton ami qui t'aime.
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Kithana, 22 ans, Toulouse
J'avoue que malgré le fait que tu m'aie jetée pour une autre, trompée ou encore mentis je t'aime toujours comme au premier jour.
J'avoue que j'aimerai que tu reviennes et vite...
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Yann, 30 ans, Annecy
J'avoue, G., je craque depuis trop longtemps sur toi.
J'aimerai te dire tout ça de vive voix, mais j'ai peur de ta réaction, pourtant ton regard ne trompe pas. Réponds-moi sur javoue.com, fais moi un signe que je puisse te sauter au cou.
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Lululaberlue, 30 ans, Paris
J'avoue que je pense à toi.
J'avoue être en couple et toi aussi.
J'avoue qu'il s'est rien passé mais que j'y pense souvent.
J'avoue être insignifiante à tes yeux mais pas grave, j'en verrais d'autre.
Et j'avoue... il faut que je te sorte de mes pensées, et pour le moment ça me parait compliqué...
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It's me, 39 ans, Nangis
J'avoue attendre l'amour en restant chez moi.
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M.o.w., 31 ans, Suisse
J'avoue que depuis quelques jours tu es à nouveau dans mes pensées, toi que j'appelais "Petite fleur". J'avoue avoir de la peine à tourner la page et chercher le courage de le faire. C'est sans doute la période de l'année qui provoque cela. J'avoue également que tu ne cesseras de me faire faire des bulles et que lorsque je te vois sur des photos quelque chose se noue en moi.

J'avoue que j'espère que tu te souviennes encore de ce site que je t'avais fait découvrir à l'époque et que comme moi tu y fasses un tour de temps en temps.

J'avoue que ce message est une bouteille lancée dans une mer infinie. J'avoue espérer que tu la trouves car, alors, cela voudrait vraiment dire quelque chose.
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Capricam, 27 ans, Lille
J'avoue A, je suis raide dingue de toi encore et toujours bien que tu sois parti encore une fois.
J'avoue, je n'ose pas m'avouer que tu en aimes une autre.
J'avoue que pour toi, je plaquerai tout.
J'avoue j'ai encore rêvé de toi cette nuit, encore, c'est la deuxième fois cette semaine.
J'avoue ce rêve était relativement érotique.
J'avoue, je me suis réveillé et à mes côtés ce n'était pas toi.
J'avoue j'étais un peu déboussolée.
J'avoue, tu me manques, relativement terriblement.
J'avoue, je pense venir te voir en Allemagne mais j'ai un peu peur de ce qui pourrait se passer.
J'avoue on verra.
On a une seule vie.
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Claraa, 21 ans, Narbonne
J'avoue être amoureuse de lui depuis bientôt un an, mais j'avoue que ces petits mensonges à répétition et surtout pour rien me saoulent.
J'avoue que je ne sais plus où j'en suis même si j'avoue que j'ai envie d'y croire. Au final, j'avoue ne pas savoir quoi vouloir ni quoi faire.
J'avoue que je t'aime comme personne mais j'avoue que tu m'as horriblement déçue.
J'avoue, je ne sais plus quoi penser ni où j'en suis...
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Chloé, 20 ans, Biarritz
J'avoue que je suis toujours amoureuse de toi, que ça fera 2 ans si on ne compte pas nos pauses. Voilà 2 mois que je n'ai plus de nouvelles de toi et tu me manques terriblement. Je me vois pas avancer sans toi, j'avoue que je ne sais pas où on notre vie va nous mener tous les deux.
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Anne Laure, 27 ans, Paris
Patrice, je t'aime.
Toi non.
Ou en tout cas pas assez.
Pas comme il faudrait...
Je le sais.
J'essaye de me détacher de toi.
Mais je n'y parviens pas.
Je ne sais pas pourquoi...
Pourtant, je dois me préserver.
Notre dernière soirée ne va pas m'aider...
Tout était magique.
Je me sens si bien avec toi.
Et il y a tant de choses que j'aime en toi.
En voici une liste non exhaustive.
Danser chez toi, danser chez toi sur de la Newwave, boire avec toi, parler de trésors, rire avec toi, ton visage, faire l'amour, discuter de n'importe quoi... Tu m'émerveilles.
J'aimerai vraiment t'oublier. Ce serait tellement plus reposant...
Pourtant, il m'est difficile de t'effacer.
De toute façon, peu importe mes sentiments ou tes sentiments, notre différence d'âge ne permet pas - tragiquement - un avenir entre nous. J'avoue que tu me manques.
J'avoue que je suis amoureuse de toi. Et uniquement de toi. J'avoue que ton indifférence me fait souffrir.
J'avoue que je suis perdue.
J'avoue que je voudrais te sortir de ma tête mais rien à faire, je ne distingue que toi.
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Fame, 45 ans, Montpelliers
J'avoue avoir succombé au désir de cet homme. D'avoir, contrairement à mes principes, eu un flirt poussé avec lui dès la première rencontre, et j'avoue avoir couché avec lui dès le lendemain.
J'avoue que j'avais très "faim" après 1 an de disette sexuelle post divorce mais j'avoue que c'est son désir pour moi qui a été contagieux.
J'avoue que l'on se voit quand on le peut - c'est à dire rarement, il est loin et marié - uniquement pour le sexe et la tendresse. Il peut faire très longtemps l'amour et j'avoue que j'adore ça.
J'avoue que ma meilleure amie - qui me l'avait présenté - a fini par le savoir et que maintenant elle n'est plus du tout ma meilleure amie : jalousie, hélas.
Mais j'avoue que je ne regrette rien.
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Sonar, 25 ans, Belgique
Chère amie de 23 ans de Cassis,

Par nostalgie de mon adolescence et de ses prétendus mystères à confesser en des lieux sûrs et intimes, j'ai tapé « javoue » dans google, dans l'espoir de retrouver ce fameux site qui, jadis, permettait à nos jeunes âmes d'épancher nos ardents méfaits et brûlantes culpabilités sans que nul ne fût à même de deviner la provenance desdits aveux.

Le premier message qu'il me fût donné de lire, il n'y a même pas une heure, fut le tien, qui me paru étonnamment à propos compte tenu des confessions qui me titillaient et des expressions qu'il me tardait de faire.

Tout comme toi, j'éprouve un violent amour pour un homme, en concubinage depuis moins d'une quinzaine d'année et père de deux enfants, de vingt ans mon aîné. Je n'ai que peu de considération pour sa situation familiale – il fait ses choix, il les assume - , et j'en ai encore moins pour son âge qui, à défaut de n'être qu'une donnée numérique sur une carte d'identité, n'a d'importance que dans l'idée que nos collègues, nos comparses, se font d'inconcevable de notre union.
Pour autant, l'inaccessibilité fondamentale de nos relations est le fondement même de mes états d'âme, autant qu'elle facilite ma vie, autant qu'elle apaise mon cœur parfois - alors longuement - meurtri de son absence, de son évanescence, de son incoercibilité.

C'est une passion que j'ai pour lui depuis 3 ans, et dont les modalités, « l'envie irrépressible et incompréhensible que j'ai pour lui » comme tu dis, ne s'altèrent ni avec le temps, ni avec l'ennui, ni avec la distance qui nous sépare chaque fois un an durant, ni avec la nonchalance qui caractérise notre abandon, nos ébats comme notre raison.

Je suis moi-même engagé dans une relation amoureuse depuis 3 ans, qui a commencé juste un peu après l'avoir quitté pour la première fois pour de vrai pour mieux le retrouver un an plus tard, dans une bulle protégée hors du temps et de la réalité, parfaitement loin de mes aspirations élémentaires et de mes ambitions véritables, et dans laquelle je n'éprouve pas une once de culpabilité pour cet amour sauvage et insoumis qui m'attire irrémédiablement, m'indispose, m'oublie et disparaît dans le tourbillon des évidences réelles, des volontés assumées et des constructions établies.

Et pourtant chaque année j'ai le cœur broyé de le quitter encore une fois, lui échapper comme on se réveille d'un doux et intense rêve, la poitrine toute endolorie des délices immatériels dont on aurait du mieux s'abreuver, des tendres histoires fécondes dans lesquelles on aurait du plus longtemps se réconforter. J'ai le cœur piétiné, lapidé, immolé. J'ai les entrailles qui se retournent et j'ai beau oublier, j'ai beau oublier, son visage, son odeur !, me reviennent mille fois et m'évanouissent encore de leur splendeurs, de leurs voluptés, comme des drogues romantiques et exotiques qui font chavirer l'esprit et le corps dans des endroits secrets, les secrets des dieux violés au nom de la Beauté.

Voilà ce que je ressens vraiment. Je n'y peux rien, ça me désespère, même, et je ne lui demande rien. Je ne lui demanderai jamais rien. Une bribe de son parfum et l'écume de son regard embaumés dans un souvenir éternels, voilà tout ce que je veux posséder. Voilà tout. Je ne le voudrais pas au quotidien, je ne l'aimerais pas assez pour lui manquer, ce tournis ralentirait jusqu'à s'éteindre dans la routine, les lieux communs, les évidences. Je veux conserver ces moments enflammés et embellis, je veux éclore encore dans ces mensonges et dans ces précipices et le prix à payer est celui de la mémoire défaillante qui vivra de nouveau un an plus tard. Et c'est terrible, de l'oublier. C'est une terrible délivrance.

Chère amie de 23 ans de Cassis, vois-tu à quoi tu échappes, si tu n'as pas encore goûter à sa chaleur, à ses exhalaisons, à ses regards pétris de plaisir... dont tu ne te remettrais pas, ne voudrais pas te remettre... et ferais mieux de vivre pour mieux en mourir.
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Anco, 27 ans, Strasbourg
Tu étais la perle rare que je cherchais pour m'évader de cette vie trop fade et sans sensualité, et la seule personne avec qui je peux vivre ce genre d'expérience.
Je suis passée à côté malgré tes appels flagrants pour tout le monde. J'espère juste que tu voudras bien me revoir et m'accorder une session de rattrapage.
Je brûle encore de tes regards et n'ai jamais vibré de la sorte. Tu as réveillé une passion en moi que je ne soupçonnais pas. Tu m'as réveillé. Le réveil est brutal, mais un changement va s'opérer. Mon sang coule enfin dans mes veines. Les larmes aussi d'ailleurs et toi seul pourras les arrêter.
Te quiero.
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Pandouillette, 20 ans, Amiens
J'avoue, je n'arrête pas de penser à toi. Je suis tombée amoureuse de toi beaucoup trop vite et je n'arrive pas à passer à autre chose. Tu m'as vite oubliée, mais j'ai hâte de retourner à la fac pour te revoir et t'attirer dans mes filets car je ne supporte pas notre situation actuelle. Tu seras mien, un point c'est tout !
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Lilo, 28 ans, Paris
J'avoue je t'aime. J'avoue tu m'aimes. C'est joli et mignon. Mais j'ai tellement peur qu'un jour quelque chose se produise.
J'aimerai qu'on me montre un couple qui n'a jamais failli. Parce qu'autour de moi, je n'ai vu que des tromperies et séparations.
L'amour éternel existe-t-il ? Pouvez-vous me le prouver ?
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Kim, 18 ans, Montpellier
J'avoue que je l'aime mais je le hais, que quand je le vois il m'énerve, mais que je pleure quand je me rend compte qu'il n'est plus à mes côtés, j'avoue que je l'ai quitté et que je regrette parfois, alors que d'autres fois je suis sûre de ma décision.
J'avoue que je l'aime, qu'il m'aime mais que j'ai du mal à le supporter, que malgré toutes les bonnes choses qui me sont arrivées récemment, je suis perdue, je doute... et je pleure.
J'avoue que ça fait du bien de dire les choses.
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Pierre qui roule, 30 ans, Montpellier
J'avoue que je n'y croyais plus et que notre rencontre, trop brève à mon goût, me refait croire à cette belle légende qu'est le coup de foudre.
Je sais que ce n'est pas le moment pour toi, qu'on ne se reverra sans doute jamais, mais je voulais par cet aveu te dire merci pour ces moments si doux et si intéressants, merci pour la complicité, merci pour l'abandon, merci pour ce sentiment de plénitude. Finalement je me dis que peut-être l'important ce n'est pas la destination...
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