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Hibou, 23 ans, Loiret
J'avoue avoir flashé sur toi dès notre première rencontre.
J'avoue le moment le plus intense et le plus incroyable de ma vie a été quand on s'est embrassé trois ans plus tard lors de ce week-end.
Je sais que je te rendrais heureuse et que tu me rendras heureux mais je sais aussi que je ne t'aurai jamais.
J'avoue tout faire pour que l'on reste ami car j'ai besoin de toi.
J'avoue que tu es la première personne que j'aime dans ma vie.
J'avoue souffrir de cette certitude que nous ne serons jamais ensemble.
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Clémentine, 23 ans, Strasbourg
J'avoue, j'ai mis les pieds dans ce nouvel environnement un peu réticente, comme à chaque nouvelle porte qui s'ouvre, j'analyse ce qui m'arrive en me soumettant le pire, histoire d'entamer la chose avec entrain.
Je me souviens de mes premiers sentiments pour ce travail, je détestais ce que j'y faisais, les gens autour de moi, cette ambiance de 'démerde toi' et cette façon étrange de manquer à tel point d'organisation. Ironie du sort pour une association privée de ce type.
Bref. Tu n'étais personne. Un sourire ou même une ombre ? A vrai dire je ne sais même pas si l'on se croisait souvent. Alors comment, comment ai-je pu en arriver là ?
Comment cette même personne, ce même coeur en toi, pouvait ne pas m'adresser la parole de la journée, sans même que j'y prête attention, tomber malade, et ne pas le remarquer, et des semaines plus tard, être le centre de mes pensées ?

J'avoue, je ne sais pas qui tu es. Tu n'es peut-être qu'un être créé de toutes pièces par mon imagination.
Je n'ai qu'un tiroir de moments désormais classés aux archives dans mon esprit.
On s'est souvent accroché, gentillement, mais tes "Qu'est-ce que ça peut bien te foutre ?", tes deux mains autour de mon cou, "Sache que tu n'avais qu'un mot à dire pour que je bondisse tel un loup sur sa proie", toutes ces fois où tu manifestais une once de susceptibilité et de rancune... C'était quoi... cette bestialité, c'était quoi... A quoi ça sert ? A quoi ça sert, si ta gonzesse partage le même étage qui plus est... Dis moi seulement...
A quoi ça sert...
Je venais travailler en sautillant.. C'était même moi qui réveillait mon réveil.
J'avoue, postuler pour cet autre job était peut-être ce qu'il me restait de mieux à faire. Je me croyais sorti d'affaire.
Sorti de mon champ de vision, sorti de mon esprit.
Bon sang, j'étais loin de m'imaginer que le commerce est un terrain d'ennui qui me laisse grandement le temps de penser et repenser à toi...
Partir sans préavis, c'était pour moi comme me retrouver à l'étranger sans pouvoir dire au revoir à ma famille. Inconcevable. Et douloureusement.
Pourtant, je n'ai pas changé de ville. Et c'est peut-être encore bien pire...

Combien de fois j'ai eu l'envie de m'arranger pour te croiser.. Combien de fois je me suis dis que mes envies sont vaines et qu'il est meilleur pour ma santé mentale de capituler. Capituler à l'idée de t'avoir un jour. Capituler à l'idée de vouloir te voir. T'avoir. Capituler à la simple idée de toi.

"Tu m'as manqué", m'as-tu dis la dernière fois en me serrant dans tes bras... Tu es l'une des pires souffrances qu'il m'ait été donné de rencontrer jusqu'à ce jour.

Tu as ta vie, ton foyer, tes biens, une femme ou simplement une copine qui partage ta vie personnelle jusqu'à ta vie professionnelle.
La mienne est à construire. Mon permis est à passer. Je ne suis rien. Personne. Et même ce CDI m'est égal.
Tu es probablement un quadra, et moi une minette qui s'apprête à fêter sa 24ème bougie.
Tout nous oppose en somme.
Tu écoutes The Cure, je raffole de R&B. Mais je me fiche de tout ça. Je suis prête à écouter ta musique androgyne, à me mettre à lire des BD pour interpréter tes dessins. Je suis prête à me prendre en main. A voir l'avenir, à me projeter. Je suis prête à cesser de fuir. Et pour la première fois, je suis prête à dire à quelqu'un à haute voix, "c'est toi que je veux". Je suis prête à me faire mal pour te rendre heureux A. Si seulement tu savais le germe de tendresse que j'ai en moi...
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Gnahahaaa, 19 ans, Grenoble
J'avoue qu'il est maintenant 5h du matin et que ça va faire 17 heures que j'ai rageusement jeté tout mon nécessaire à rouler des cigarettes qui font rire à la poubelle.
J'avoue que ça fait très longtemps que j'aurai dû le faire déjà, que je dois me reprendre, me refaire des vrais amis. Pendant quatre ans je suis passé à côté de l'amour, du succès scolaire, de mes sentiments, noyant mes véritables émotions qui me paraissaient insupportables dans une consommation plus qu'excessive.

J'avoue que je ne suis plus le même et j'ai gâché l'amour que m'a avoué me porter, à l'époque, la fille dont je suis toujours amoureux depuis trois ans. J'avoue, j'ai été apathique et me laissais vivre dans une illusion quasi-constante de bonheur, diffusée par le confort de simplement exister, manger, dormir, faire du sport, traîner avec des gens de mon âge, me droguer, pouvoir m'imaginer (sans me douter que j'étais dans le vrai) que c'est moi qu'elle voulait alors qu'elle accumulait les aventures.
J'avoue que les émotions et les sentiments se cachent très bien, même pour celui à qui ils appartiennent... mais ne disparaissent pas, et bien au contraire s'accumulent autant qu'on se les dissimule.
J'avoue que mon "réveil" a été autant progressif que brutal. Elle m'a recontacté par facebook après un an de boudage et d'études chacun dans une ville différente, alors que j'avais abandonné tout espoir et continuais de m'enfoncer dans mon rêve éveillé. On avait enfin recommencé à se parler comme on le faisait au lycée où on arrêtait pas de rire ensemble !

J'avoue, mon cœur s'était remis en marche tout doucement par soubresauts et elle insistait sur une chose : elle voulait que je vienne poursuivre mes études dans la même ville qu'elle car elle comptait rejoindre la même filière que moi. Alors j'avoue que j'ai sauté sur l'occasion, j'ai cherché et trouvé un appart et me suis inscrit à la même fac qu'elle. J'avais de toutes façons raté ma première année et mes parents, à qui je passe mon temps à mentir sur mon état et mes études, ont vu d'un bon oeil ce "changement d'air". Ce qui est vrai, je l'avoue, je pense que si je n'avais pas bougé j'aurais rapidement fini à la rue. Je commençais à reprendre vie, à avoir des désirs, j'avais réduit ma consommation, et j'allais pouvoir la revoir et cette fois pas question de me défiler ! J'allais devoir lui avouer à quel point j'avais besoin d'elle.

En arrivant là bas on s'est retrouvés et elle paraissait aussi heureuse de me revoir. Après quelques jours, où je me suis contenté du bonheur de pouvoir passer des moments avec elle (j'avais même passé une nuit à son appart mais sans qu'elle me fasse de signe quelconque), je me suis jeté à l'eau et je lui ai fais mes aveux. J'avoue que rapporter la longue conversation qui s'en suivit serait extrêmement long et pénible. Toujours est-il que le résultat en est : elle me trouve génial mais il ne pourrait rien se passer cette année, oui il y a trois ans elle était amoureuse de moi et elle vit une relation triangulaire bisexuelle idéale depuis bientôt un an.

Conclusion : je me suis à nouveau renfermé et ai recommencé à fumer de plus belle, je me suis comporté en gros égoïste sous le coup du "ras-le-bol", on se fait de nouveau la gueule en fréquentant la même salle de cours.
J'avoue qu'heureusement j'ai pas cours demain car au fur et à mesure que j'écris j'entame doucement ma 43ème heure sans sommeil. Je me sens déchiré tandis que mon cerveau et mon coeur renaissent en se débarrassant des couches du passé qui les encrassent. Et j'avoue que F. je t'aime toujours malgré les changement que l'on a subi et l'impression que j'ai de t'être devenu un peu étranger.
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Aieaieaie, 40 ans, Paris
J'avoue que tu as débarqué dans cette pièce et que tu as fait ton show... je t'ai trouvé mignonne au premier abord. Tu m'as fait marrer, t'étais un peu bourrée, tu voulais chanter... mais je n'ai pas voulu. On s'est affronté verbalement, tu m'as un peu insulter, j'ai vraiment failli te dire d'aller te faire foutre... mais je ne l'ai pas fait... tu m'as sorti tes théories à deux balles... je t'ai tenu tête, tu l'as mal pris.

Tu t'es sortie de la pièce en grognant... j'ai croisé mon pote qui sait jouer du piano... je lui ai demandé de jouer pour toi... il a accepté.
Je suis venu te voir, je t'ai proposé de chanter avec lui... il a joué on a chanté un peu ensemble, c'était drôle, futile alcoolisé... un bon délire quand on a 25 ans.

Tu m'as regardé, tu m'as dit que j'étais gentil... je crois que t'étais vraiment pompette. Tu m'as dit que tu allais te marier... quelle erreur, avec ce bouffon déguisé en rocker ?
Puis tu as disparu.

Au moment de partir de ce bar, je t'ai revu par la fenêtre... je suis venu te dire au revoir, je savais qu'on ne se verrait plus jamais. Je t'ai embrassé sur la joue, je t'ai dit que je te souhaitais tout le meilleur qu'il puisse t'arriver.
On s'est regardé...

Je suis sorti, monté dans la voiture... la voiture a démarré, j'ai jeté un dernier regard, tu étais derrière cette fenêtre... tu pleurais un peu... tu étais belle.

La voiture est partie...

J'avoue, depuis je pense à toi chaque jour.

J'avoue que tu aurais foutu ma vie en l'air, tu es sûrement une fille à problème... mais qu'est ce que j'aurai aimé faire l'amour avec toi.
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Myriam, 18 ans, Marseille
J'avoue que j'ai besoin d'écrire..
J'avoue que je tiens encore quotidiennement un journal intime à mon age, mais cette fois, cette chose que je vais vous dire, je n'ai même pas osé l'écrire à l'intérieur.
J'avoue que c'est surement parce que j'ai peur de me l'avouer à moi même, et que mon carnet, c'est comme si c'était moi.
En fait, j'avais enfin réussi à me détacher de ce garçon que j'aimais depuis 3 ans. R. Il ne le savais pas vraiment, mais je préférais vivre comme ça: capter tous ses faits et gestes, et m'en imprégner, capter tous ses regards...
Bref, j'avoue que j'étais folle de lui.
Et puis, mon meilleur ami K. s'amusait de plus en plus à m'envoyer des beaux petits messages ambigus, et au bout de 6 mois, je me suis avoué que j'étais tombé amoureuse de lui.
J'avoue que cette fois aussi, encore j'ai souffert, parce que j'ai encore gardé tout pour moi, et lorsque j'ai appris que lui aussi m'aimait, je me suis jeté à l'eau, cette fois là.
J'avoue que j'ai reçu un coup de couteau dans le ventre quand il m'a dit "je t'aime, mais différemment" Lui m'aimait comme sa petite soeur, comme une partie de lui qu'il protégerait contre tous les malheurs du monde, et moi je l'aimais de cette façon aussi, mais également par amour, et j'avoue qu'à 17 ans seulement, j'imaginais ma vie avec lui. Même avec R., je ne l'imaginais pas, c'est pour vous dire comme c'était différent !
Et puis... On s'est un petit peu éloignés, on s'envoyer moins de messages, et au final, on a perdu toute ambiguïté, et on est de simple très bon amis.

On en arrive à la fameuse chose dur à avouer :
Alors que j'avais réussi à me détacher de R. et K., je me rapprochais de plus en plus avec un ami, A., mais encore une fois, on se rapprochait de plus en plus, mais cette fois en amitié. L'été est passé, on se parlait tout le temps, je l'aimais vraiment beaucoup, mais en amitié, et lui pareil. A la rentrée on était tout le temps ensemble, et depuis, c'est toujours la même chose.
Mais j'avoue, j'ai un copain avec qui je suis très bien, depuis 2 mois, et que ça devient sérieux (je vous raconte pas les détails) "parallèlement" à mon amitié avec A.
D'ailleurs, j'avoue que la veille du jour où je suis sortie avec mon copain pour la première fois, j'étais à une soirée, avec A., et que tous les deux on a un petit peu bu, et on a passé la soirée ensemble, moi sur ses genoux, dans ses bras, ou quoi, les gens nous croyaient en couple.
J'avoue ce soir que c'était chouette.
En fait, A. aime une autre fille, mais moi ce soir, après m'être encore plus rapproché de A.
J'avoue que dès qu'il m'envoie un message j'ai le coeur qui bat, dès que je suis avec lui, c'est comme si j'étais plus dans moi, je suis ailleurs, que quand il m'a pris dans ses bras pour la première fois hier, c'était super, j'avoue que quand on joue ou quand on est ensemble, je rigole et suis comme une gamine, je souffre quand il me demande des conseils pour son amoureuse.

J'avoue... peut être en me trompant, et je l'espère, que je l'... (non je peux pas)
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R., 28 ans, Paris
J'avoue ne pas t'avoir vu au début.
J'avoue qu'au fil des mois nous nous sommes rapprochés.
J'avoue que nous sommes collègues et que maintenant je t'aime.
J'avoue que tu es en couple et heureuse depuis bien longtemps.
J'avoue que tu ne saura jamais rien de mes sentiments.
J'avoue que dans un mois je change de travail et que personne n'est au courant.
J'avoue que j'en suis heureux et triste à la fois.
J'avoue que c'est un au revoir S.
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Lydia, 33 ans, Niort
Yoann,
J'avoue que je fantasme sur toi depuis longtemps.
J'avoue que tu occupes toutes mes pensées.
J'avoue que cela est difficile car je suis avec un de tes meilleurs amis, pour lequel j'ai de très forts sentiments.
J'avoue être maman depuis peu.
J'avoue attendre chacun de tes messages avec impatience.
J'aimerai tellement sentir ton contact...
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Capricam, 27 ans, Lille
J'avoue, je suis tombée sur le mec. Vous voyez celui vous correspond point sur point.
Sportif, Cultivé, drôle, travailleur, à l'écoute... Bref j'avoue il m'a fait craqué.
J'avoue que je manque de bol car ce charmant jeune est parti dans deux, trois mois. Loin, très loin.
J'avoue qu'on s'est plu.
J'avoue que je suis relativement dégoutée.
J'avoue l'amour et moi ça fait deux.
J'avoue...
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Bierrebrune, 33 ans, Montpellier
Cher Pierre qui roule,

J'avoue trouver ton message troublant...
Il me projette quelques mois en arrière. C'était au mois de Mai...
J'ai vécu une histoire ce mois-là ; courte mais remplie d'émotions. Et pour moi, elles restent les plus belles !
Cette personne, très différente de moi (mais peut-être pas aussi différente que ça finalement) a su m'apporter beaucoup de choses dans une période de ma vie dont la "descente aux enfers" était bien proche. Et à ses brefs côtés, j'ai moi-même ressenti ce que l'on appelle ce sentiment de plénitude et de bien-être. Avant, je ne l'avais jamais ressenti...
Tu sais, chez moi on dit souvent que ce n'est pas la destination mais la route qui compte ! (étrange toutes ces similitudes, non ?) Alors à travers ton message, j'en profite pour dire à cette personne : Merci ! Merci à toi d'avoir croisé la mienne, de route ! Merci pour ce fameux "baume au coeur"... Merci pour l'espoir... Tu resteras gravé(e) dans ma mémoire un sacré bout de temps.
Je te souhaite le meilleur dans la vie et même si je ne t'ai pas assez connu, je reste convaincu(e) que tu es quelqu'un de bien. L'intuition très certainement...
Et c'est sur air de Flamenco que je me me permets de t'embrasser une dernière fois tendrement...
S.
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Tophe, 33 ans, Lyon
J'avoue avoir été profondément déçu quand j'ai découvert qu'elle était une fausse blonde.
J'avoue avoir avalé ce fait.
J'avoue avoir été en colère, à l'intérieur de moi, quand j'ai découvert qu'elle avait une poitrine totalement plate.
J'avoue que mon amour pour elle s'est évaporé et que je n'arrivais pas à feindre les sentiments.
J'avoue croire que ce n'était pas de ma faute parce qu'elle m'avait caché les vérités.
J'avoue que je ne cherche pas spécialement une blonde ayant une grosse poitrine mais que quand j'ai été amené à tomber amoureux d'elle, la couleur de ses cheveux et la forme de sa poitrine en firent partie et elle devait être authentique.
J'avoue que je suis très désolé pour elle et qu'on est tous les deux malheureux.
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Nikos33, 25 ans, Nice
J'avoue que je t'aimais plus que tout, Blandine, et que même aujourd'hui, je me demande comment on a pu devenir deux étrangers à ce point.
J'avoue que je ne supportais pas ta consommation de cigarettes, mais c'était parce que j'avais peur qu'elles finissent par me séparer de toi. Au final c'est ma peur qui m'a fait perdre ce que je cherissais le plus.
J'avoue que depuis 6 mois qu'on n'est plus ensemble, j'ai pensé à toi tous les jours, à tous nos bons moments, tous nos rituels.
J'avoue que je n'arrive pas à passer à autre chose, car au delà des regrets, j'ai toujours l'espoir, celui de te partager à nouveau quelque chose avec toi. Pas forcément comme avant, juste quelque chose de bien, de neuf, pour retrouver ce sourire que je vois toutes les nuits dans mes rêves.
Il n'est jamais trop tard pour être heureux, sinon, à quoi bon vivre ?
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Kerlane, 23 ans, Paris
Il y a plusieurs mois, j'avouais être sans cœur et sans sentiment. J'avouais avoir peur d'être si insensible.
Et puis il y a eu M. M, qui m'a plu dès le premier jour et je n'ai rien tenté. Après plusieurs mois à lui tourner autour, j'ai fini par l'avoir.
Il m'a tellement fait évoluer... J'ai laissé tomber J., mon plan cul, pour lui, pourtant ce n'était pas simple, je suis restée plus de cinq ans avec lui et il était devenu mon meilleur ami. Mais les sentiments... Ah ! J'avais entendu dire que ça ne se contrôle pas. Maintenant, je le sais.
Après huit mois de bonheur longue distance avec M, plusieurs vacances ensemble, on a fini par sauter le pas, on a emménagé ensemble... Moi, l'indomptable, la solitaire, j'ai fini par m'engager avec quelqu'un ! Après un mois de vie commune, il n'y a rien a regretter... Je vis un bonheur sans faille.

Alors aujourd'hui, je viens tout vous avouer. Rien n'est éternel. Le piment d'une vie existe toujours, il suffit de le trouver.
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Cathyzelder, 26 ans, Bruxelles
J'avoue que mon copain a cessé toute consommation d'alcool depuis 11 jours maintenant.
J'avoue que je suis fière de lui et que je ferai n'importe quoi pour le soutenir.
J'avoue que j'avais perdu tout espoir qu'il parvienne à arrêter un jour.
Après mes mises en garde, il avait promis de ne plus se saouler en ma présence mais j'avoue que je savais qu'il le faisait encore les soirs où il était seul.
J'avoue, je comptais les vidanges et les canettes dans le sac.
J'avoue que c'est bien qu'il arrête pour lui, et pas pour moi ou à ma demande.
J'avoue que je trouve mon amoureux beaucoup plus sexy depuis qu'il est sobre. L'alcool donne le teint rouge et la peau vitreuse, en fait. Et finalement, faire l'amour avec quelqu'un de bourré, ce n'est vraiment pas agréable.
J'avoue que je pense que beaucoup des problèmes rencontrés dans notre couple venaient de sa consommation d'alcool.
J'avoue que l'alcool était la raison n°1 qui nous empêchait d'emménager ensemble.
J'avoue que quand il m'emmenait dans les bars du centre où il était un habitué, je sentais les regards de pitié des tenanciers : "mince alors, lui, il a une copine, et elle a l'air toute gentille".
J'avoue être peut-être un peu naïve mais je pense vraiment que l'alcool ne l'a jamais poussé à la tromperie. C'était l'alcool lui-même, mon rival.
J'avoue que ça faisait mal, tout ça.
J'avoue bannir le vin de ma cuisine pour lui, car j'ai peur de la moindre chose qui pourrait le faire flancher.
J'avoue me dire pour me rassurer, que c'est mieux de se reconnaitre alcoolique à 30 ans qu'à 50 ans. En tout cas, c'est plus facile, j'espère. La route est encore longue... mais je serai là !
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Sebg45, 25 ans, Briare
Ca m'a touché que tu m'ais parlé de tes soucis. merci pour ta confiance. Depuis j'arrête pas de penser à toi en espérant que tu t'enfonce pas.
Une chose m'importe maintenant t'accompagner dans ses moments difficiles, être à tes cotés par contre malheureusement je crois que tu as ravivé ma flamme.
La seule chose qui m'intéresse en ce moment c'est d'avoir de tes nouvelles rien d'autre n'a d'importance.
Ton ami qui t'aime.
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Kithana, 22 ans, Toulouse
J'avoue que malgré le fait que tu m'aie jetée pour une autre, trompée ou encore mentis je t'aime toujours comme au premier jour.
J'avoue que j'aimerai que tu reviennes et vite...
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Yann, 30 ans, Annecy
J'avoue, G., je craque depuis trop longtemps sur toi.
J'aimerai te dire tout ça de vive voix, mais j'ai peur de ta réaction, pourtant ton regard ne trompe pas. Réponds-moi sur javoue.com, fais moi un signe que je puisse te sauter au cou.
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Lululaberlue, 30 ans, Paris
J'avoue que je pense à toi.
J'avoue être en couple et toi aussi.
J'avoue qu'il s'est rien passé mais que j'y pense souvent.
J'avoue être insignifiante à tes yeux mais pas grave, j'en verrais d'autre.
Et j'avoue... il faut que je te sorte de mes pensées, et pour le moment ça me parait compliqué...
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It's me, 39 ans, Nangis
J'avoue attendre l'amour en restant chez moi.
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M.o.w., 31 ans, Suisse
J'avoue que depuis quelques jours tu es à nouveau dans mes pensées, toi que j'appelais "Petite fleur". J'avoue avoir de la peine à tourner la page et chercher le courage de le faire. C'est sans doute la période de l'année qui provoque cela. J'avoue également que tu ne cesseras de me faire faire des bulles et que lorsque je te vois sur des photos quelque chose se noue en moi.

J'avoue que j'espère que tu te souviennes encore de ce site que je t'avais fait découvrir à l'époque et que comme moi tu y fasses un tour de temps en temps.

J'avoue que ce message est une bouteille lancée dans une mer infinie. J'avoue espérer que tu la trouves car, alors, cela voudrait vraiment dire quelque chose.
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Capricam, 27 ans, Lille
J'avoue A, je suis raide dingue de toi encore et toujours bien que tu sois parti encore une fois.
J'avoue, je n'ose pas m'avouer que tu en aimes une autre.
J'avoue que pour toi, je plaquerai tout.
J'avoue j'ai encore rêvé de toi cette nuit, encore, c'est la deuxième fois cette semaine.
J'avoue ce rêve était relativement érotique.
J'avoue, je me suis réveillé et à mes côtés ce n'était pas toi.
J'avoue j'étais un peu déboussolée.
J'avoue, tu me manques, relativement terriblement.
J'avoue, je pense venir te voir en Allemagne mais j'ai un peu peur de ce qui pourrait se passer.
J'avoue on verra.
On a une seule vie.
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Claraa, 21 ans, Narbonne
J'avoue être amoureuse de lui depuis bientôt un an, mais j'avoue que ces petits mensonges à répétition et surtout pour rien me saoulent.
J'avoue que je ne sais plus où j'en suis même si j'avoue que j'ai envie d'y croire. Au final, j'avoue ne pas savoir quoi vouloir ni quoi faire.
J'avoue que je t'aime comme personne mais j'avoue que tu m'as horriblement déçue.
J'avoue, je ne sais plus quoi penser ni où j'en suis...
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Chloé, 20 ans, Biarritz
J'avoue que je suis toujours amoureuse de toi, que ça fera 2 ans si on ne compte pas nos pauses. Voilà 2 mois que je n'ai plus de nouvelles de toi et tu me manques terriblement. Je me vois pas avancer sans toi, j'avoue que je ne sais pas où on notre vie va nous mener tous les deux.
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Anne Laure, 27 ans, Paris
Patrice, je t'aime.
Toi non.
Ou en tout cas pas assez.
Pas comme il faudrait...
Je le sais.
J'essaye de me détacher de toi.
Mais je n'y parviens pas.
Je ne sais pas pourquoi...
Pourtant, je dois me préserver.
Notre dernière soirée ne va pas m'aider...
Tout était magique.
Je me sens si bien avec toi.
Et il y a tant de choses que j'aime en toi.
En voici une liste non exhaustive.
Danser chez toi, danser chez toi sur de la Newwave, boire avec toi, parler de trésors, rire avec toi, ton visage, faire l'amour, discuter de n'importe quoi... Tu m'émerveilles.
J'aimerai vraiment t'oublier. Ce serait tellement plus reposant...
Pourtant, il m'est difficile de t'effacer.
De toute façon, peu importe mes sentiments ou tes sentiments, notre différence d'âge ne permet pas - tragiquement - un avenir entre nous. J'avoue que tu me manques.
J'avoue que je suis amoureuse de toi. Et uniquement de toi. J'avoue que ton indifférence me fait souffrir.
J'avoue que je suis perdue.
J'avoue que je voudrais te sortir de ma tête mais rien à faire, je ne distingue que toi.
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Fame, 45 ans, Montpelliers
J'avoue avoir succombé au désir de cet homme. D'avoir, contrairement à mes principes, eu un flirt poussé avec lui dès la première rencontre, et j'avoue avoir couché avec lui dès le lendemain.
J'avoue que j'avais très "faim" après 1 an de disette sexuelle post divorce mais j'avoue que c'est son désir pour moi qui a été contagieux.
J'avoue que l'on se voit quand on le peut - c'est à dire rarement, il est loin et marié - uniquement pour le sexe et la tendresse. Il peut faire très longtemps l'amour et j'avoue que j'adore ça.
J'avoue que ma meilleure amie - qui me l'avait présenté - a fini par le savoir et que maintenant elle n'est plus du tout ma meilleure amie : jalousie, hélas.
Mais j'avoue que je ne regrette rien.
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Sonar, 25 ans, Belgique
Chère amie de 23 ans de Cassis,

Par nostalgie de mon adolescence et de ses prétendus mystères à confesser en des lieux sûrs et intimes, j'ai tapé « javoue » dans google, dans l'espoir de retrouver ce fameux site qui, jadis, permettait à nos jeunes âmes d'épancher nos ardents méfaits et brûlantes culpabilités sans que nul ne fût à même de deviner la provenance desdits aveux.

Le premier message qu'il me fût donné de lire, il n'y a même pas une heure, fut le tien, qui me paru étonnamment à propos compte tenu des confessions qui me titillaient et des expressions qu'il me tardait de faire.

Tout comme toi, j'éprouve un violent amour pour un homme, en concubinage depuis moins d'une quinzaine d'année et père de deux enfants, de vingt ans mon aîné. Je n'ai que peu de considération pour sa situation familiale – il fait ses choix, il les assume - , et j'en ai encore moins pour son âge qui, à défaut de n'être qu'une donnée numérique sur une carte d'identité, n'a d'importance que dans l'idée que nos collègues, nos comparses, se font d'inconcevable de notre union.
Pour autant, l'inaccessibilité fondamentale de nos relations est le fondement même de mes états d'âme, autant qu'elle facilite ma vie, autant qu'elle apaise mon cœur parfois - alors longuement - meurtri de son absence, de son évanescence, de son incoercibilité.

C'est une passion que j'ai pour lui depuis 3 ans, et dont les modalités, « l'envie irrépressible et incompréhensible que j'ai pour lui » comme tu dis, ne s'altèrent ni avec le temps, ni avec l'ennui, ni avec la distance qui nous sépare chaque fois un an durant, ni avec la nonchalance qui caractérise notre abandon, nos ébats comme notre raison.

Je suis moi-même engagé dans une relation amoureuse depuis 3 ans, qui a commencé juste un peu après l'avoir quitté pour la première fois pour de vrai pour mieux le retrouver un an plus tard, dans une bulle protégée hors du temps et de la réalité, parfaitement loin de mes aspirations élémentaires et de mes ambitions véritables, et dans laquelle je n'éprouve pas une once de culpabilité pour cet amour sauvage et insoumis qui m'attire irrémédiablement, m'indispose, m'oublie et disparaît dans le tourbillon des évidences réelles, des volontés assumées et des constructions établies.

Et pourtant chaque année j'ai le cœur broyé de le quitter encore une fois, lui échapper comme on se réveille d'un doux et intense rêve, la poitrine toute endolorie des délices immatériels dont on aurait du mieux s'abreuver, des tendres histoires fécondes dans lesquelles on aurait du plus longtemps se réconforter. J'ai le cœur piétiné, lapidé, immolé. J'ai les entrailles qui se retournent et j'ai beau oublier, j'ai beau oublier, son visage, son odeur !, me reviennent mille fois et m'évanouissent encore de leur splendeurs, de leurs voluptés, comme des drogues romantiques et exotiques qui font chavirer l'esprit et le corps dans des endroits secrets, les secrets des dieux violés au nom de la Beauté.

Voilà ce que je ressens vraiment. Je n'y peux rien, ça me désespère, même, et je ne lui demande rien. Je ne lui demanderai jamais rien. Une bribe de son parfum et l'écume de son regard embaumés dans un souvenir éternels, voilà tout ce que je veux posséder. Voilà tout. Je ne le voudrais pas au quotidien, je ne l'aimerais pas assez pour lui manquer, ce tournis ralentirait jusqu'à s'éteindre dans la routine, les lieux communs, les évidences. Je veux conserver ces moments enflammés et embellis, je veux éclore encore dans ces mensonges et dans ces précipices et le prix à payer est celui de la mémoire défaillante qui vivra de nouveau un an plus tard. Et c'est terrible, de l'oublier. C'est une terrible délivrance.

Chère amie de 23 ans de Cassis, vois-tu à quoi tu échappes, si tu n'as pas encore goûter à sa chaleur, à ses exhalaisons, à ses regards pétris de plaisir... dont tu ne te remettrais pas, ne voudrais pas te remettre... et ferais mieux de vivre pour mieux en mourir.
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