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Nyny, 26 ans, Paris
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J'ai peur du jour où l'amour ne sera plus... On se déchire, se quitte puis on s'oublie ! On a beau dire que cette fois ça sera différent. C'est rarement le cas. Une citation dit que "L'amitié se transforme parfois en amour mais que l'amour ne se retransforme jamais en amitié" ! Vrai ou faux ? Je pense que c'est vrai...
J'ai peur du jour où l'amour ne sera plus... Le jour où il ira dans d'autres bras...C'est dur de laisser à une autre personne celle/celui qu'on a aimé ! La jalousie m'envahit quand j'imagine ses mains sur lui, sa bouche, leurs corps qui se mélangent. La colère pour les mots/gestes doux, les intentions et les envies qu'il aura pour cette autre que moi.
C'est parfois inévitable... L'amour ne dure pas toujours, tôt ou tard les promesses s'envole et ont fini par se faire mal. J'ai peur du jour où il n'aura plus rien pour moi... Le jour où le simple fait de me voir ne plus procurera plus aucuns plaisirs, le goût de mes lèvres plus aucunes envies et mon corps plus aucuns désirs...
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Moi, 31 ans, Montpellier
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J'avoue avoir eu un faible pour toi, être allée au delà de mes limites. J'avoue que c'était le top, un sentiment étrange de jeunesse. J'avoue que tu me manques, ne plus avoir de nouvelles, ne plus te parler me laisse un vide. J'avoue ne pas voir compris la nature de notre brève "escapade", ni de t'avoir compris toi au final. J'avoue me poser pleins de questions dont je n'aurais jamais de réponses. J'avoue, qu'aujourd'hui je tourne une page. J'avoue que j'aurais aimé être une amie pour toi. Bonne route, elle semble être parfaite !
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Pretty20, 24 ans, Bruxelles
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Pierre B., je pense encore à toi parfois et j'ai mal de te savoir avec elle.
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Brokenheartedgirl, 16 ans, Lille
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J'avoue que je t'ai aimé. J'avoue que je t'aime toujours. J'avoue que je t'aimerais encore et encore. J'avoue être jalouse lorsque je te vois avec d'autres filles. J'avoue que tu es le seul, que tu es l'unique, que tu es le maléfique. Celui qui a volé mon coeur, le responsable de mon malheur. C'était toi et moi contre le monde. Nos coeurs étaient liés comme des sondes. Est-ce la fin de S&D ? Je n'arrive toujours pas à y croire, après 4 ans passés. La jalousie, la maladie, l'ignorance, la répugnance, l'amour, la haine sont les sentiments ayant bercé ces 4 dernières années, que ce soit pour moi ou toi mon amour. Mais c'est la fin. Oui,c'est la fin. Ça me tue, ça me consume à petit feu mais c'est la fin de nous, c'est la fin de tout.
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Szerelom, 27 ans, Lyon
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J'avoue que je suis tentée depuis un moment de parler de ça à quelqu'un, mais que je n'ose pas. J'avoue... J'avoue que je commence à me demander si je ne suis pas un peu folle. J'ai rencontré ce garçon le jour de ma rentrée en sixième, et on a été des "amoureux" pendant 2 ans, jusqu'à ce qu'il déménage. Déjà à l'époque nos rapports étaient conflictuels, il fallait toujours qu'on s'embrouille pour un rien, puis on se rabibochait... Ça n'a pas changé quand 10 ans plus tard il m'a retrouvée grâce aux réseaux sociaux. Et c'était reparti pour quelques mois de je t'aime moi non plus. De scènes romantiques dignes de films suivies de larmes, puis de réconciliation sur l'oreiller. Puis finalement, cette atroce scène finale suivie du silence radio. Pourquoi suis-je folle... ? Parce que ça fait plus de 5 ans maintenant. Parce que j'ai toujours une photo de lui dans mon téléphone... Et j'espère qu'un jour il me rappellera et que cette fois on arrivera à ne pas faire tout foirer. Un poil obsessionnelle, complètement amoureuse d'un homme dont je n'ai même pas entendu la voix depuis des années. J'avoue, au bout de 17 ans, je devrais probablement arrêter d'y croire. Mais je ne peux pas. Parce que j'ai cette impression d'avoir rencontré l'homme de ma vie à l'âge de 10 ans.
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Capricam, 28 ans, Lille
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J'avoue encore et encore... Moi le petit bout de femme que je suis et qui avait pris une sérieuse résolution. J'avoue qu'en ce joli dimanche de juin, j'ai craqué pour toi. Toi et tes allures de brutes, 1.86m ce n'est pas rien, carrure de footballeur d'ailleurs tu en avais la tenue (bon ce n'est pas cela qui m'a fait craqué). J'avoue que par une simple petite phrase taquine tu m'as lancé un de ses sourires qui m'a fait du bien et qui était relativement inattendu. Ce jour-là pourtant j'étais loin d'être habillée en princesse, ni maquillée et ni coiffée. Bref, ce dimanche soir là, tu es parti, vainqueur de ce fameux tournoi en me lançant "tu viens boire un verre avec nous". Gênée et quoique déstabilisée je t'ai dit que je rentrai chez moi. Quelques jours plus tard soit deux, en ouvrant ma boite aux lettres facebook, surprise, un mail de ta part. J'avoue j'étais contente, cela fait peut être puéril voire adolescent surtout que tu ne me demandais juste des stats et finalement la conversation a dévié. Du verre nous sommes passés au repas. J'avoue je m'étais promise ne plus jamais être avec quelqu'un plus jeune que moi. J'avoue dorénavant ça ne me dérange pas. J'avoue je t'ai révélé certains de mes petits secrets tout de suite avec une appréhension certaine. Tu n'as pas fui. Tu m'as entendu et m'as dis des choses que je n'avais jamais entendu même de la part de certaines personnes avec qui j'ai fait un bout de chemin. J'avoue cette rencontre est étrange, due au hasard mais elle me fait du bien comme si toutes mes peurs avaient été effacées. J'avoue tu pars deux mois mais j'ai bien envie de te rejoindre une semaine. J'avoue que tu me manques déjà. J'avoue que j'espère qu'il ne s'agit pas d'une simple relation éphémère. Et si ?
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Gagine, 28 ans, Lille
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Il y a trois ans, je venait avouer sous un autre pseudo... J'étais seule, le coeur en miettes...
Que de chemin parcouru depuis. Juin 2013, une rencontre. Lui. Après des semaines et des mois à parler sur internet. Un coup de coeur, un ami. Dès le début, une histoire compliquée. Mon opposé. Un passé qui fait peur. Toutes ces filles, et ces bêtises...
Je n'ai jamais eu confiance. Ni en moi même ni aux autres. Alors l'aimer lui... Sacré combat entre mon coeur et ma raison.
Premier regard, ça fait tout drôle. Le voilà lui en vrai, en chair et en os devant moi. Tant pis je me lance. Lui et moi c'est le début...
Les semaines passent, puis les mois. Des hauts et des bas. Très vite, on décide de se marier. Un coup de folie. Les premiers mois de mariage furent très difficiles. Mais aujourd'hui je peux le dire, cet homme a tout simplement changé ma vie. Il est doux, attentionné, patient. Il m'a réappris à aimer lorsque je croyais mon coeur mort.
Bilan un an après. Un mariage et un bébé, petite puce prévue pour bientôt.
Tout simplement heureuse...
Gadjo je t'aime.
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Chostakovitch, 36 ans, Paris
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J'avoue être une imbécile notoire ! Trop fort, trop familial, trop de similitude. J'avoue vouloir te revoir, même si désormais tu es en couple et moi aussi. J'avoue trouver ça ridicule depuis 15 ans... Cette valse en Bretagne m'obsède et pourtant, je suis heureuse... J'avoue être une pitoyable neuneu romantique bordel !
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Julien, 34 ans, Paris
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Oui je t'ai aimée au point de tout plaquer. On s'est rencontrés trop tard. Aujourd'hui la vie a repris son cours. Tatiana je penserai toujours à toi, à nos escapades complices. Je reviendrai souvent voir le lien qu'on a noué un jour de saint Valentin. Il flotte au dessus de la Seine, face au pont des arts. Le voir me rappelle tout ce qu'on a partagé, le joie et la tristesse m'emporte.
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Sib29, 40 ans, Brest
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J'avoue que tous les moments passés avec toi, je les attends avec impatience, ils sont absolument magiques. J'avoue que je me sens très bien avec toi comme toi tu te sens très bien avec moi. J'aime ton parfum, j'aime te sentir près de moi, j'aime quand nos genoux se frôlent, j'aime humer ton haleine quand tu me parles tout près de ma bouche. Entre toi et moi, c'est un amour impossible, mais c'est beau tout de même. Tu es très belle et j'admire ton courage et ton intelligence. J'ai hâte de te revoir.
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Music, 40 ans, Périgueux
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J'avoue qu'il y a 4 ans mon collègue de bureau m'a adressé un sms pour me dire "je t'aime". Je ne lui ai pas répondu parce que je ne savais pas s'il plaisantait ou s'il était sérieux. Je n'en ai pas parlé, ni fait aucune allusion, comme si je n'avais jamais rien reçu. Il n'en a pas parlé non plus. J'avoue que 4 ans après cet épiphénomène je me pose encore la question. Mais comme je n'ai pas envie d'un autre homme que mon chéri, que je ne suis pas une briseuse de ménage, et que je l'aime bien, je préfère garder ça pour moi et pour les millions d'avoueurs qui liront cet aveu.
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C'est moi, 22 ans, Ile-Perrot
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J'avoue que tu occupes toutes mes pensées. J'avoue attendre tes messages avec impatience. J'avoue que j'ai vécu, avec toi, des moments inoubliable. Je pense que tout a commencé le jour d'hiver, quand il pleut. tu m'as apporté l'aide, tu m'as apportée tout une vie, une paradis, une vue différente, tu as colorée ma vie avec la couleur d'espoir. J'avoue que c'est toi l'ange, l'innocent, le drôle, le cultivé, le serviable, à l'écoute... c'est toi le parfait, mon cœur. J'avoue, quand je vois tes yeux, je découvre ces sentiments que j'éprouve pour toi, un sentiment intense. Souviens-toi le jour où tu as touché ma main !!! Je ne me suis jamais sentie aussi fort et étrange, c'était comme une tempête à l'intérieur et j'ai tout fait pour m'évader. J'avoue je te trouve charmant avec tes lunettes, quand chante derrière le volant avec ce sourire plein d'espoir. J'avoue que cela est difficile car je suis peut être avec un autre.
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2222, 19 ans, Paris
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J'avoue. Je m'adresse à toi. Toi dont j'ignore encore tout. Les gens pensent que je suis naïve ou peut être trop stupide de croire qu'en 2014 l'âme sœur existe encore, et pourtant au fond de moi je ne peux m'empêcher d'avoir cette certitude que, peut être, quelque part sur Terre tu es là, et tu attends tout comme moi. Tu attends ce jour où dieu, de sa puissance infinie, fera confluer nos routes. Tu ne seras peut être pas comme je l'imaginais et je ne serai peut être pas ce à quoi tu t'attendais. On aimera peut-être pas les même films, ni la même musique, je ne sais même pas si on parlera la même langue, on se disputera sûrement et parfois tu auras peut être envie de m'étriper. Mais une chose est sûre... nous nous aimerons éperdument. A toi, toi qui me fera frissonner, toi qui connaîtra mes faiblesses, toi qui me fera passer de jeune fille à jeune femme, puis de jeune femme à mère... Sache que je t'attend et que je saurai être patiente, car j'avoue que je sais qu'un jour mon regard croisera le tien, et ce jour là, tout aura changé.
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Osiris33800, 27 ans, Bordeaux
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Mélanie, tu es la plus belle rencontre de ma vie, j'avoue que je t'aime si fort et chaque jour qui passe renforce mes sentiments pour toi. Te regarder me donner des frissons, dans ces moments là j'ai envie de te serrer très fort contre moi et arrêter le temps. J'aime quand on est dans notre bulle d'amour, là où rien d'autre ne compte à part nos rires, nos délires, notre passion, notre complicité. J'aime te faire rire, j'aime te rassurer quand tu vas mal, j'aime te taquiner pour voir tes réactions si adorables, j'aime discuter avec toi, j'aime quand on s'évade ensemble dans nos projets de rêve... Mais parfois la vie n'est pas si rose, et il arrive qu'un monde sépare les deux personnes qui s'aiment. Ces derniers temps, je sentais cela venir et ce soir je viens de le savoir, les choses se présentent très mal pour mes papiers. Parfois on a envie de crier contre le monde entier mais pourquoi faut-il que cela arrive, pourquoi faut-il se séparer de la personne qu'on aime tant... Sache que peu importe ce qui arrive, jamais je ne t'oublierai car tu resteras à jamais dans mon coeur et mes souvenirs. Aussi loin que je pourrai être, je garderai ton teeshirt pour ne jamais oublier ton odeur que j'adore tant, ce sera une partie de toi dont je ne me détacherai jamais, tout comme tes mots sur les cartes postales que tu m'as envoyées, je les lirai tous les soirs pour ne jamais t'oublier. Ne jamais oublier qu'un jour j'ai rencontrer cette fille un peu folle avec qui je partageais les mêmes délires. Cette fille qui m'a fait craqué et avec qui j'ai vécu les meilleurs moments de ma vie. Je t'aime de tout mon coeur, mon ange.
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Leeloo19, 22 ans, Paris
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J'avoue être une lesbienne qui ressent, depuis quelque mois, des choses pour un homme qui est un ami depuis 4 ans. J'avoue avoir couché avec lui alors que c'est l'ex de ma meilleure amie, alors que cela ne faisait même pas un mois qu'elle l'avais quitté. A savoir qu'elle l'a quitté pour une femme.
J'avoue qu'il y a 3 ans j'ai couché avec ma meilleure amie.
J'avoue que cet homme et moi avons le même meilleur ami. Et que ce meilleur ami et dingue de moi depuis 4 ans, que je lui ai déjà brisé le cœur deux fois : à mon coming-out et quand je me suis mise avec mon ex.
J'avoue qu'après m'avoir traité de tout les noms ma meilleure amie a réussi à me pardonner. J'avoue aussi qu'elle a trompé sa copine avec mon ex, avec qui elle sort actuellement.
J'avoue que je vais briser de nouveau le cœur de mon meilleur ami quand il découvrira que depuis 2 jours (et 2 mois de bataille pour l'avoir) je sors avec son meilleur ami.
J'avoue que je briserais son cœur mille fois pour être avec cet homme, car tout simplement je l'aime. Et qu'il a décidé "d"ouvrir la boite" et de prendre le risque de perdre son meilleur ami pour moi.
J'avoue que la situation est plus que glauque mais je m'en fou, je sors avec lui, et quand on ressent quelque chose d'aussi fort, qu'elle qu'en soit la mise, ça vaut le coup.
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Nyou, 22 ans, Paris
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Est-ce qu'on peut tomber amoureux de quelqu'un qui vit à des milliers de kilomètres de chez nous ? Si c'est possible alors c'est malheureusement en train de m'arriver.
J'ai récemment rompu avec mon ex, suite à un gros ras le bol généralisé. Puis j'ai "rencontré" un garçon, rien ne prédisait quoi que ce soit la première fois que nous nous sommes parlés. Et les journées passants, les semaines... Je me suis rendue compte qu'il occupait beaucoup plus de place dans mon esprit que je ne l'aurais jamais imaginé. Le problème ? Je vis à Paris, il vit à New York. Aujourd'hui il m'obsède, je pense à lui constamment, quand je vois qu'il ne répond pas à mes messages j'angoisse. J'ai failli le perdre une fois, je m'en suis rendue malade. Je ne me reconnais pas, je ne suis pas le genre de fille à tomber virtuellement amoureuse. Je ne sais plus quoi faire, ni penser.
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Kouki, 22 ans, Grenoble
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J'avoue que je l'ai aimé jusqu'à haïr l'amour... J'avoue que je l'aime toujours. Ses comportements sont responsables de notre rupture. Il est insouciant, fêtard immature et n'a aucun sens de la famille. J'avoue que je reste attachée à lui malgré tout. J'avoue que j'ai été vexée quand il a repris le lendemain avec son ex moins belle et pas très brillante. J'avoue que je ne me remettrais plus jamais avec lui, mais j'aurais toujours une pensée pour lui parce que c'est avec lui que j'ai tout découvert. J'avoue après la lecture de ce que j'ai écrit, retrouver un récit très commun aux histoires de coeurs.
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Petit_coeur, 18 ans, Grenoble
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J'avoue que l'on s'est égaré, qu'il y a eu du flirt durant cet été. Nous avons 10 années qui nous séparent et pourtant je ne ressent pas cette différence quand on se parle, quand on s'embrasse ou bien quand tu me fais l'amour. J'avoue que je n'y croyais plus, que ce qui était à la base une aventure s'est transformé en idylle. Que moi qui n'avais plus la force d'avoir le moindre sentiment, t'ai aimé, maladroitement. Je t'avoue que cela ne sera pas facile tous les jours, que les gens feront tout pour nous séparer. Je t'avoue que je suis un peu folle et que je soupçonne que c'est ce qui te plait chez moi. Mais envers et contre tout, je t'avoue que je suis éperdument amoureuse de toi et que si la vie veux bien nous laisser une chance je ferais tout pour que soyons heureux ensemble.
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Perdue, 21 ans, Rennes
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J'avoue que ce garçon me rend dingue. J'avoue, je sais qu'il a une copine et qu'elle me déteste. Et j'avoue qu'elle a raison de se méfier de moi. J'avoue que nous passons toutes nos journées ensemble et que dès qu'il s'absente, il me manque. J'avoue avoir souvent espéré qu'il m'embrasse le soir avant d'aller dormir mais il n'en fait rien. J'avoue que parfois je le trouve un peu bizarre et je le soupçonne de ressentir un petit quelque-chose pour moi. J'avoue que ça me rend malade de savoir que l'an prochain il partira. J'avoue que je l'aime comme je n'ai jamais aimé qui que ce soit et qu'il finira par me tuer.
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Amnesia, 21 ans, Poitiers
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J'avoue. Après avoir lu un encart à propos de ce site dans un magazine il y déjà plusieurs années, je me suis mise à le consulter régulièrement. J'avoue énormément apprécier cet espace de liberté en ligne, d'être anonyme et de pouvoir, enfin, dire ce que l'on a sur le coeur. D'être sans peur. De pouvoir enfin se libérer des secrets, des toutes ces petites manies inavouables à nos proches, de ces moments que l'on ne peut ou ne veut pas partager en face. Alors aujourd'hui, j'avoue.
Il y a plus 4 ans, j'ai rencontré J. Nous sommes tombés amoureux en 5 jours, le temps de mon passage en Irlande du Nord. Un mois et demi plus tard et des centaines de mots échangés en ligne, tu es venu me voir chez moi. Cette connexion que nous avions ressenti était toujours aussi forte, aussi intense. J'avais à peine 17 ans, et toi à peine 20. J'habitais en France, toi en Irlande du Nord. Peu importait la relation à distance, nous étions amoureux, et nous voulions prouver au monde entier que nous étions fait l'un pour l'autre, que l'amour triomphait de tous les obstacles.
Cette histoire n'a pas de fin heureuse, ni malheureuse non plus. Juste la vie, qui est passée par là. Je remercie le ciel de m'avoir fait connaitre l'amour, le vrai, la passion, la routine, la tendresse, le déchirement de l'éloignement. Je remercie le ciel de m'avoir permis de rencontrer une personne aussi merveilleuse que toi.
Nous étions tellement différents : un milieu similaire, mais des familles ô combien différentes, un rapport à nos frères et soeurs qui n'avaient rien à voir, des aspirations et des envies qui ne se ressemblaient absolument pas. Et pourtant, tant de points communs. Tant de passions partagées, de moments de bonheurs au coté l'un de l'autre.
Seulement, 4 ans de relations à distance, à ne se voir que pendant les vacances, une semaine par ci par là, 2 mois l'été, et encore... L'impression de vivre une vie de célibataire même si l'on se parlait chaque jour, le vide créé par ton absence... La distance nous appris à être humble. Mais attendre encore plusieurs années que nous finissions chacun nos études avant de pouvoir, enfin, se rejoindre, n'était plus envisageable. Nous nous étions détachés l'un de l'autre. L'affection, la tendresse étaient toujours de la partie, mais l'étincelle qui brillait si haut au départ était morte. Les sentiments amoureux avaient disparus pour laisser place à une profonde et sincère amitié. Seulement l'amitié.
La rupture n'a pas été douloureuse. J'ai pris l'initiative, et tu as convenu que c'était la meilleure des solutions. Nous restons amis, en se donnant des nouvelles régulièrement.
Tu as retrouvé l'amour. J'en suis heureuse, profondément. car pour moi l'amour c'est vouloir, à tout prix, que l'autre personne soit heureuse. C'est donner, car l'amour n'est pas envieux, l'amour n'est pas égoïste.
Tout cela, je l'ai appris grâce à toi.
Mon seul regret, ce de n'avoir pas pu prouver au monde que notre amour vaincrait tous les obstacles. Je sais que c'est ton unique regret aussi.
J'avoue, j'ai aimé. Et j'espère aimer de nouveau. Car comme a dit Alfred de Musset, "On est souvent trompés en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière et on se dit : j'ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois ; mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui."
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Hibou, 23 ans, Loiret
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J'avoue avoir flashé sur toi dès notre première rencontre. J'avoue le moment le plus intense et le plus incroyable de ma vie a été quand on s'est embrassé trois ans plus tard lors de ce week-end. Je sais que je te rendrais heureuse et que tu me rendras heureux mais je sais aussi que je ne t'aurai jamais. J'avoue tout faire pour que l'on reste ami car j'ai besoin de toi. J'avoue que tu es la première personne que j'aime dans ma vie. J'avoue souffrir de cette certitude que nous ne serons jamais ensemble.
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Clémentine, 23 ans, Strasbourg
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J'avoue, j'ai mis les pieds dans ce nouvel environnement un peu réticente, comme à chaque nouvelle porte qui s'ouvre, j'analyse ce qui m'arrive en me soumettant le pire, histoire d'entamer la chose avec entrain. Je me souviens de mes premiers sentiments pour ce travail, je détestais ce que j'y faisais, les gens autour de moi, cette ambiance de 'démerde toi' et cette façon étrange de manquer à tel point d'organisation. Ironie du sort pour une association privée de ce type. Bref. Tu n'étais personne. Un sourire ou même une ombre ? A vrai dire je ne sais même pas si l'on se croisait souvent. Alors comment, comment ai-je pu en arriver là ? Comment cette même personne, ce même coeur en toi, pouvait ne pas m'adresser la parole de la journée, sans même que j'y prête attention, tomber malade, et ne pas le remarquer, et des semaines plus tard, être le centre de mes pensées ?
J'avoue, je ne sais pas qui tu es. Tu n'es peut-être qu'un être créé de toutes pièces par mon imagination. Je n'ai qu'un tiroir de moments désormais classés aux archives dans mon esprit. On s'est souvent accroché, gentillement, mais tes "Qu'est-ce que ça peut bien te foutre ?", tes deux mains autour de mon cou, "Sache que tu n'avais qu'un mot à dire pour que je bondisse tel un loup sur sa proie", toutes ces fois où tu manifestais une once de susceptibilité et de rancune... C'était quoi... cette bestialité, c'était quoi... A quoi ça sert ? A quoi ça sert, si ta gonzesse partage le même étage qui plus est... Dis moi seulement... A quoi ça sert... Je venais travailler en sautillant.. C'était même moi qui réveillait mon réveil. J'avoue, postuler pour cet autre job était peut-être ce qu'il me restait de mieux à faire. Je me croyais sorti d'affaire. Sorti de mon champ de vision, sorti de mon esprit. Bon sang, j'étais loin de m'imaginer que le commerce est un terrain d'ennui qui me laisse grandement le temps de penser et repenser à toi... Partir sans préavis, c'était pour moi comme me retrouver à l'étranger sans pouvoir dire au revoir à ma famille. Inconcevable. Et douloureusement. Pourtant, je n'ai pas changé de ville. Et c'est peut-être encore bien pire...
Combien de fois j'ai eu l'envie de m'arranger pour te croiser.. Combien de fois je me suis dis que mes envies sont vaines et qu'il est meilleur pour ma santé mentale de capituler. Capituler à l'idée de t'avoir un jour. Capituler à l'idée de vouloir te voir. T'avoir. Capituler à la simple idée de toi.
"Tu m'as manqué", m'as-tu dis la dernière fois en me serrant dans tes bras... Tu es l'une des pires souffrances qu'il m'ait été donné de rencontrer jusqu'à ce jour.
Tu as ta vie, ton foyer, tes biens, une femme ou simplement une copine qui partage ta vie personnelle jusqu'à ta vie professionnelle. La mienne est à construire. Mon permis est à passer. Je ne suis rien. Personne. Et même ce CDI m'est égal. Tu es probablement un quadra, et moi une minette qui s'apprête à fêter sa 24ème bougie. Tout nous oppose en somme. Tu écoutes The Cure, je raffole de R&B. Mais je me fiche de tout ça. Je suis prête à écouter ta musique androgyne, à me mettre à lire des BD pour interpréter tes dessins. Je suis prête à me prendre en main. A voir l'avenir, à me projeter. Je suis prête à cesser de fuir. Et pour la première fois, je suis prête à dire à quelqu'un à haute voix, "c'est toi que je veux". Je suis prête à me faire mal pour te rendre heureux A. Si seulement tu savais le germe de tendresse que j'ai en moi...
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Gnahahaaa, 19 ans, Grenoble
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J'avoue qu'il est maintenant 5h du matin et que ça va faire 17 heures que j'ai rageusement jeté tout mon nécessaire à rouler des cigarettes qui font rire à la poubelle. J'avoue que ça fait très longtemps que j'aurai dû le faire déjà, que je dois me reprendre, me refaire des vrais amis. Pendant quatre ans je suis passé à côté de l'amour, du succès scolaire, de mes sentiments, noyant mes véritables émotions qui me paraissaient insupportables dans une consommation plus qu'excessive.
J'avoue que je ne suis plus le même et j'ai gâché l'amour que m'a avoué me porter, à l'époque, la fille dont je suis toujours amoureux depuis trois ans. J'avoue, j'ai été apathique et me laissais vivre dans une illusion quasi-constante de bonheur, diffusée par le confort de simplement exister, manger, dormir, faire du sport, traîner avec des gens de mon âge, me droguer, pouvoir m'imaginer (sans me douter que j'étais dans le vrai) que c'est moi qu'elle voulait alors qu'elle accumulait les aventures. J'avoue que les émotions et les sentiments se cachent très bien, même pour celui à qui ils appartiennent... mais ne disparaissent pas, et bien au contraire s'accumulent autant qu'on se les dissimule. J'avoue que mon "réveil" a été autant progressif que brutal. Elle m'a recontacté par facebook après un an de boudage et d'études chacun dans une ville différente, alors que j'avais abandonné tout espoir et continuais de m'enfoncer dans mon rêve éveillé. On avait enfin recommencé à se parler comme on le faisait au lycée où on arrêtait pas de rire ensemble !
J'avoue, mon cœur s'était remis en marche tout doucement par soubresauts et elle insistait sur une chose : elle voulait que je vienne poursuivre mes études dans la même ville qu'elle car elle comptait rejoindre la même filière que moi. Alors j'avoue que j'ai sauté sur l'occasion, j'ai cherché et trouvé un appart et me suis inscrit à la même fac qu'elle. J'avais de toutes façons raté ma première année et mes parents, à qui je passe mon temps à mentir sur mon état et mes études, ont vu d'un bon oeil ce "changement d'air". Ce qui est vrai, je l'avoue, je pense que si je n'avais pas bougé j'aurais rapidement fini à la rue. Je commençais à reprendre vie, à avoir des désirs, j'avais réduit ma consommation, et j'allais pouvoir la revoir et cette fois pas question de me défiler ! J'allais devoir lui avouer à quel point j'avais besoin d'elle.
En arrivant là bas on s'est retrouvés et elle paraissait aussi heureuse de me revoir. Après quelques jours, où je me suis contenté du bonheur de pouvoir passer des moments avec elle (j'avais même passé une nuit à son appart mais sans qu'elle me fasse de signe quelconque), je me suis jeté à l'eau et je lui ai fais mes aveux. J'avoue que rapporter la longue conversation qui s'en suivit serait extrêmement long et pénible. Toujours est-il que le résultat en est : elle me trouve génial mais il ne pourrait rien se passer cette année, oui il y a trois ans elle était amoureuse de moi et elle vit une relation triangulaire bisexuelle idéale depuis bientôt un an.
Conclusion : je me suis à nouveau renfermé et ai recommencé à fumer de plus belle, je me suis comporté en gros égoïste sous le coup du "ras-le-bol", on se fait de nouveau la gueule en fréquentant la même salle de cours. J'avoue qu'heureusement j'ai pas cours demain car au fur et à mesure que j'écris j'entame doucement ma 43ème heure sans sommeil. Je me sens déchiré tandis que mon cerveau et mon coeur renaissent en se débarrassant des couches du passé qui les encrassent. Et j'avoue que F. je t'aime toujours malgré les changement que l'on a subi et l'impression que j'ai de t'être devenu un peu étranger.
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Aieaieaie, 40 ans, Paris
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J'avoue que tu as débarqué dans cette pièce et que tu as fait ton show... je t'ai trouvé mignonne au premier abord. Tu m'as fait marrer, t'étais un peu bourrée, tu voulais chanter... mais je n'ai pas voulu. On s'est affronté verbalement, tu m'as un peu insulter, j'ai vraiment failli te dire d'aller te faire foutre... mais je ne l'ai pas fait... tu m'as sorti tes théories à deux balles... je t'ai tenu tête, tu l'as mal pris.
Tu t'es sortie de la pièce en grognant... j'ai croisé mon pote qui sait jouer du piano... je lui ai demandé de jouer pour toi... il a accepté. Je suis venu te voir, je t'ai proposé de chanter avec lui... il a joué on a chanté un peu ensemble, c'était drôle, futile alcoolisé... un bon délire quand on a 25 ans.
Tu m'as regardé, tu m'as dit que j'étais gentil... je crois que t'étais vraiment pompette. Tu m'as dit que tu allais te marier... quelle erreur, avec ce bouffon déguisé en rocker ? Puis tu as disparu.
Au moment de partir de ce bar, je t'ai revu par la fenêtre... je suis venu te dire au revoir, je savais qu'on ne se verrait plus jamais. Je t'ai embrassé sur la joue, je t'ai dit que je te souhaitais tout le meilleur qu'il puisse t'arriver. On s'est regardé...
Je suis sorti, monté dans la voiture... la voiture a démarré, j'ai jeté un dernier regard, tu étais derrière cette fenêtre... tu pleurais un peu... tu étais belle.
La voiture est partie...
J'avoue, depuis je pense à toi chaque jour.
J'avoue que tu aurais foutu ma vie en l'air, tu es sûrement une fille à problème... mais qu'est ce que j'aurai aimé faire l'amour avec toi.
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Myriam, 18 ans, Marseille
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J'avoue que j'ai besoin d'écrire.. J'avoue que je tiens encore quotidiennement un journal intime à mon age, mais cette fois, cette chose que je vais vous dire, je n'ai même pas osé l'écrire à l'intérieur. J'avoue que c'est surement parce que j'ai peur de me l'avouer à moi même, et que mon carnet, c'est comme si c'était moi. En fait, j'avais enfin réussi à me détacher de ce garçon que j'aimais depuis 3 ans. R. Il ne le savais pas vraiment, mais je préférais vivre comme ça: capter tous ses faits et gestes, et m'en imprégner, capter tous ses regards... Bref, j'avoue que j'étais folle de lui. Et puis, mon meilleur ami K. s'amusait de plus en plus à m'envoyer des beaux petits messages ambigus, et au bout de 6 mois, je me suis avoué que j'étais tombé amoureuse de lui. J'avoue que cette fois aussi, encore j'ai souffert, parce que j'ai encore gardé tout pour moi, et lorsque j'ai appris que lui aussi m'aimait, je me suis jeté à l'eau, cette fois là. J'avoue que j'ai reçu un coup de couteau dans le ventre quand il m'a dit "je t'aime, mais différemment" Lui m'aimait comme sa petite soeur, comme une partie de lui qu'il protégerait contre tous les malheurs du monde, et moi je l'aimais de cette façon aussi, mais également par amour, et j'avoue qu'à 17 ans seulement, j'imaginais ma vie avec lui. Même avec R., je ne l'imaginais pas, c'est pour vous dire comme c'était différent ! Et puis... On s'est un petit peu éloignés, on s'envoyer moins de messages, et au final, on a perdu toute ambiguïté, et on est de simple très bon amis.
On en arrive à la fameuse chose dur à avouer : Alors que j'avais réussi à me détacher de R. et K., je me rapprochais de plus en plus avec un ami, A., mais encore une fois, on se rapprochait de plus en plus, mais cette fois en amitié. L'été est passé, on se parlait tout le temps, je l'aimais vraiment beaucoup, mais en amitié, et lui pareil. A la rentrée on était tout le temps ensemble, et depuis, c'est toujours la même chose. Mais j'avoue, j'ai un copain avec qui je suis très bien, depuis 2 mois, et que ça devient sérieux (je vous raconte pas les détails) "parallèlement" à mon amitié avec A. D'ailleurs, j'avoue que la veille du jour où je suis sortie avec mon copain pour la première fois, j'étais à une soirée, avec A., et que tous les deux on a un petit peu bu, et on a passé la soirée ensemble, moi sur ses genoux, dans ses bras, ou quoi, les gens nous croyaient en couple. J'avoue ce soir que c'était chouette. En fait, A. aime une autre fille, mais moi ce soir, après m'être encore plus rapproché de A. J'avoue que dès qu'il m'envoie un message j'ai le coeur qui bat, dès que je suis avec lui, c'est comme si j'étais plus dans moi, je suis ailleurs, que quand il m'a pris dans ses bras pour la première fois hier, c'était super, j'avoue que quand on joue ou quand on est ensemble, je rigole et suis comme une gamine, je souffre quand il me demande des conseils pour son amoureuse.
J'avoue... peut être en me trompant, et je l'espère, que je l'... (non je peux pas)
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