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Moi, 40 ans, Paris
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J'avoue F... tu m'attires follement. J'adore nos échanges par sms sur les maths. J'avoue me surprendre a essayer de te draguer, te frôler. Tu me troubles énormément. J'ai envie de sentir ton corps sur le mien, tes lèvres sur les miennes, ta langue, t'enlever ta culotte. J'ose imaginer que tu souhaites la même chose et cela m'excite.
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Alain, 39 ans, Suisse
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J'aimerai avouer une envie venue de nulle part pour une collègue de travail que je trouve super sympa ! Pas besoin d'être une top model, du moment que tu es pas trop mal et en plus vraiment sympa du coup à mes yeux tu es magnifique Ta... J'aimerai bien que tu lises ceci car j'oserai jamais te le dire mais j'ai vraiment envie de toi, il me semble que tu me regardes différemment et j'oserai jamais car une fois tu m'avais dis que jamais avec quelqu'un du travail, ce qui est bien dommage car en fait c'est encore mieux ! Avec moi ça ne se saura jamais, crois-moi. ll te suffit de lire ce message et de me le faire comprendre et moi je ferai le reste. On est "pris" les deux mais je m'en fous. J'ai envie d'être avec toi je suis sur qu'on s'entendrait bien.. Fais-moi signe s'il te plait, tu as toutes les occasions que tu veux surtout je me débrouille pas trop mal pour être le plus souvent près de toi lorsqu'on mange a midi. J'avoue que je suis bien comédien mais la plupart de ce que je dis c'est juste pour amusement. En tout cas je suis bien bien content que tu sois venue bosser dans la même boite. J'avoue sincèrement et j'ai vraiment envie que tu lises ce message...
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Dermi, 26 ans, Paris
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J'avoue que je sais qu'on ne devait pas s'attacher. J'avoue que c'était mon idée, qu'on devait en profiter. J'avoue que je ne tiens plus. J'avoue que j'ai besoin que tu saches ce que je pense avant que ton odeur imprègne une nouvelle fois mes draps, pour plus de deux heures cette fois. J'avoue que je suis amoureux de ta bouche, de ton regard de ta voix. De tout ce que tu n'aimes pas de toi, qui te rend si parfaite à mes yeux. J'avoue que j'ai envie de te voir à chaque instant, de te serrer dans mes bras et te protéger. Si tu le veux, essayons quelque chose tous les deux, je t'attends et j'espère que tu me répondras.
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Bunny77, 35 ans, Paris
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J'avoue avoir dormi sur un canapé avec 2 bichons qui m'ont léché l'oreille toute la nuit. J'avoue avoir rêvé. J'avoue avoir douté. J'avoue avoir eu peur. Avoir eu honte. J'avoue pratiquer régulièrement l'onanisme en pensant à l'homme pour qui j'éprouve des sentiments et que j'ai blessé. J'avoue avoir dormi chez l'une de mes meilleures amies la semaine où l'amoureux est parti, avec une bouillotte qui m'a réchauffé le cœur. J'avoue avoir eu envie d'aller le rejoindre, m'être emmerdée à Amsterdam et avoir pleuré comme une madeleine le soir de Noël.
J'avoue avoir parlé de lui à mes plus proches amis qui m'ont disputé, forcément. J'avoue avoir prié mon père de m'aider pour qu'il revienne. J'avoue avoir envie de lui présenter ma fille (ce qui serait une première). J'avoue m'être attaché à lui sans m'en rendre compte. J'avoue avoir peur de m'en vouloir jusqu'à la fin de mes jours. J'avoue ne jamais avoir eu cette sensation si douloureuse d'avoir fait la pire connerie de ma vie. J'avoue chercher des solutions, me demander si je n'en fais pas trop, analyser les signes qui pourraient m'aider à croire que je suis sur le chemin de la rédemption. J''avoue qu'il me manque. Beaucoup. J'avoue que j'aime ses mains, son sourire et son parfum. Ses petits plats et sa manière de me regarder. Son humour potache et son rire quand il est fier de son bon mot.
J'avoue l'aimer parce qu'il n'a peur de rien je crois , qu'il aime la vie, qu'il est prêt à tout, tout le temps sans fausse pudeur. J'avoue admirer sa force. J'avoue avoir envie de parcourir le monde à ses côtés. J'avoue qu'il me donne envie d'avoir envie. J'avoue adoré me blottir contre lui quand il vient de me faire (divinement) bien l'amour. Avec la délicatesse, la lenteur et la force que j'aime. J'avoue avoir eu envie, moi aussi, dans un élan de dire ces mots si intimes (et je me suis retenue stupid girl que je suis ). J'avoue avoir envie, encore,... de lui. De moi avec lui. Tout contre. De nous. Aussi longtemps qu'il nous sera permis d'y croire.
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Hypocrite, 40 ans, Lyon
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J'avoue qu'en ce moment j'ai une copine et c'est récent. Elle n'est pas canon mais ça va. J'avoue que son caractère est difficile. Je devrai la quitter mais elle suce trop bien et jusqu'au bout. Elle pense que je suis un homme respectable mais je ne suis qu'une personne accroc au sexe avec des fantasmes que tout le monde ne partage pas. J'avoue que je reste avec elle car j'ai comme fantasme de lui faire une éjaculation faciale. J'avoue que la dernière fois j'ai pas osé jusqu'au bout et j'ai mis tout sur ses seins au dernier moment. J'avoue que la prochaine fois, je ne me dégonflerai pas, et j'honorerai tout son visage comme il se doit. J'avoue qu'en fonction de sa réaction, je continuerai ou pas notre relation. J'avoue que je suis un salop d'hypocrite...
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Rosehurted, 25 ans, Québec
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Est-ce que je suis folle ? Est-ce que je suis folle de t'avoir autant aimé ? D'avoir autant tout donné à toi qui était déjà brisé et qui m'a fait du mal ? Est-ce que je suis folle car même si je t'ai laissé partir je pense encore à toi plusieurs fois par jour. Même si au plus profond de moi je sais que tu es nocif pour moi, j'ai envie d'être avec toi.
J'avoue, je voudrais réciter une formule magique pour que tout mes sentiments et souvenirs avec toi partent. J'ai même déjà pensé que tu m'as aimé. Mais maintenant je sais que non. Moins d'un mois après tu étais avec une autre. Tu ne sais pas comment ça fait mal. J'espère quand même que tu es heureux. Que tu as trouvé ce que tu cherchais. Mais je voudrais juste te dire que ça fait mal de penser que je n'étais pas ce que tu cherchais car je t'ai donnée tout ce que je ne me donne pas à moi même. Je t'ai donner mon argent, mon temps, mon cœur mais rien n'était assez. J'avais besoin d'écrire ma douleur. Je veux juste que tu sois heureux. Sincèrement. J'essaye de me dire qu'on était pas fait pour être ensemble mais j'ai toujours cette pensée pour toi qui ne pars pas. Je m'excuse je suis désolé je voudrais t'oublier.
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Apelite, 22 ans, Dijon
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J'avoue que tu me manques parfois, souvent même. J'avoue que je regrette notre couple, que j'aurais aimé que ça dure plus longtemps. J'avoue que j'ai l'impression que t'es le mec qu'il me faut alors que j'ai rompu. J'avoue que j'aimerais qu'on soit amis mais je sais que c'est pas possible. J'avoue que le fait que tu m'en veuilles ça me soulage d'un côte comme ça tu reviens pas vers moi et je me fais pas de film, je me sens plus libre. J'avoue que je pense souvent à toi dès que je vois des couples, des films d'amour. J'avoue que j'aurais aimé que ça dure encore plus longtemps mais je suis en train de me faire une raison, de t'appeler "mon ex", d'avoir de moins en moins envie d'être avec toi. Alors je te dis Adieu.
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Lucia, 23 ans, Avignon
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J'avoue, je suis actuellement en couple avec un homme de 32 ans et cela fait 3 ans que l'on est ensemble. Mais y a un souci jusqu'à présent Monsieur ne sait toujours pas s'il voudrait faire sa vie avec moi dans le futur et en plus il me considère en tant qu'ami, quand il me parle j'ai l'impression qu'il oublie que je suis "sa copine" et que je l'aime.
Il me parle souvent de type de femme qui lui plaît avec qui il aimerait sortir etc. le pire c'est que leur profils et le mien sont vraiment différents. Monsieur ne veut jamais rien faire avec moi au niveau sexuel, il faut toujours que j'insiste pendant 2 mois ou 3 avant qu'il accepte. Je me remets en question car je sais qu'il ne voit pas d'autres femme même si je sais que c'est ce qu'il voudrait ! J'avoue, je suis dans une relation bizarre et je n'arrive pas à le quitter, j'ai essayé plusieurs fois mais j'ai pas pu, Je l'aime vraiment, je ne peux même pas songer à voir un autre homme, j'y arrive pas. Quand j'y pense ça me fait un sentiment de dégoût.
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Silwan, 32 ans, Paris
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J'avoue ne pas savoir sur quel pied danser avec toi. J'avoue préférer de loin les moments où on se croise alors qu'il n'y a personne dans les parages, car je sais qu'à tous les coups tu auras un mot gentil ou un sourire. J'avoue que je déprime un peu quand je te vois arriver avec tes potes car avec eux tu deviens moqueuse et hautaine. Je sais que tu protèges ton image, que tu joues un rôle de fille forte qui ne traîne pas avec n'importe qui, et je ferais sûrement de même à ta place. Tu es encore tellement jeune ! J'avoue que je suis à l'ouest et que ça ne changera jamais. Je suis ainsi, c'est à prendre ou à laisser ! J'avoue que tu ne peux pas te permettre de me tourner autour. Ta réputation serait anéantie. J'avoue que c'est dommage, j'avoue que parfois ton attitude me peine mais je sais aussi que je n'essaierai pas de changer pour tes billes. Tant pis si on passe à côté de quelque chose. J'avoue m'être fait des films il y a quelques jours, j'avoue avoir voulu tenter une approche dans la foulée, mais j'ai renoncé au dernier moment.
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Alain, 42 ans, Suisse
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J'avoue que ma collègue et néanmoins amie m'excite à fond mais elle ne le sait pas... je pense. Elle doit penser que j'ai des vues sur d'autres alors que non c'est d'elle que je fais souvent des rêves érotiques et qui n'aboutissent jamais, du coup je suppose que c'est parce que ça doit se réaliser pour de vrai... Le problème avec elle c'est qu'on ne sait jamais si elle dit ou fait des allusions pour taquiner ou si cela peut-être vrai. J'avoue que je ne suis pas trop timide mais le fait de jouer à ce jeu fait que je n'ose pas demander plus. J'avoue que je serai hyper tenté avec elle pour des jeux interdits... Oui car j'avoue elle est mariée et moi aussi et alors ? Mais qu'est-ce qu'on s'en fout c'est juste pour se faire plaisir avec quelqu'un qu'on apprécie. J'avoue j'adore ses yeux ! J'espère qu'elle me lira (vraiment !) et qu'elle fera une allusion claire et pas ambiguë et là oui je me lancerai ça serait tellement plus simple ensuite... J'avoue oui, j'avoue j'adore parler avec et monstre envie d'elle ! Si elle savait ce à quoi je pense à chaque fois que je lui parle !
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Andrea, 18 ans, Arnage
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Chère madame,
Je voulais vous dire que je vous aime au plus profond de moi, je sais que vous êtes ma prof mais je ne peux pas m'empêcher de vous aimer comme une maman.
Même si vous m'avez déçue je voudrais vous revoir bientôt car vous me manquez beaucoup et c'est très dur. J'ai vécue 2 bonnes années avec vous et je ne vous oublierai jamais, vous êtes très belle avec vos yeux bleus qui me font perdre mes moyens, vos beaux cheveux et vos belles tenues qui vous mettent en valeur. Vous m'avez beaucoup aidé et je vous remercierai jamais assez de votre aide pour ces 2 ans.
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émotive en cours d'amélioration, 27 ans, Rennes
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Je me sens perdue. Il m'a posé un ultimatum. Il m'a dit que je le blesse. Il dit que je suis plus désagréable avec lui qu'avec les autres. Il dit que je le fais tout le temps passer pour quelqu'un de mauvais à ses yeux. Je gâche les moments que nous passons ensemble. Il me dit que je me fâche pour rien. Il m'a dit et redit que je lui donne envie de me quitter et d'aller voir ailleurs.
Il n'a rien vu de mes tentatives de changement. Il ne voit pas mes efforts. Il continue de dire, de redire que je ne fais rien, aucun effort. Je reste dans mon confort. Cela fait des années qu'il se répète, qu'il me dit ce que je ne dois plus faire. Mais je continue.
Je suis découragée. J'ai essayé pas mal de choses. Il m'a dit que toutes mes tentatives étaient mauvaises. Je n'ai plus d'inspiration Je ne sais plus quoi tenter.
J'ai trouvé la respiration pour maîtriser mes émotions, toutefois, la respiration n'est pas une interaction, une communication.
Il fait pleuvoir sur moi des reproches véridiques, il attend une discussion ensuite. Mais je suis sidérée par la douleur. Je lui dis qu'il a raison, il me dit que ça lui fait une belle jambe. Il veut du changement. Immédiatement.
Je dois annuler la douleur pour qu'elle ne me sidère plus.
Du coup, j'ai décidé de me ficher de tous les détails qui me chagrinent, de me persuader que c'est dans ma tête, c'est moi qui me blesse en interprétant mal. Je respire, la douleur s'apaise. Je range mes sentiments au placard, car ce n'est pas le moment. Il veut que je change pour le retenir, je suis désespérée.
C'est avec les épreuves que l'on s'améliore, c'est ma seule consolation.
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M, 30 ans, Paris
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J'avoue, j'ai complètement flashé sur toi. Je n'arrive même pas à l'expliquer. C'est la première fois que je ressens ça. Je ne mange plus, je ne dors plus. Je n'ai que ton image en tête. Ça me terrifie en même temps de perdre autant le contrôle de moi-même. J'ai l'impression que tu as ressenti la même chose quand nous nous sommes regardés droit dans les yeux. Mais est-ce que je suis folle de le penser ? Nous allons bientôt nous revoir et je serais fixée. J'ai hâte et en même temps je redoute ce moment. J'ai peur d'avoir le cœur brisé. J'avoue que je me souviens du moindre détail, la couleur de tes yeux, le son de ta voix, ton sourire si envoûtant. Tellement de charme. Et je suis conquise par ta personnalité, tu as l'air de quelqu'un d'investi, humble, doux. J'ai envie de parler de toi à tout le monde toute la journée. Mais je passerais juste pour une folle. Alors je préfère avouer ici. Je me sens tellement bien et tellement mal en même temps. Je ne sais pas comment faire.
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Lolo, 23 ans, Montpellier
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J'avoue le fond de ma pensée.
Eloïse. Je sais que je ce que suis en train de faire n'est pas la meilleure des manières de te dire à quel point tu compte dans ma vie et à quel point je t'aime. Je sais que je vais avoir l'air d'un malade mental quand tu lira ce texte... Mais je ne cherche pas à te donner une bonne image de moi. Je veux juste vider mon sac. Je veux t'avouer la force de mon amour. Et puis même si ce n'est pas réciproque, au moins je te l'aurai avoué.
Je n'ai pas de mots pour décrire la force de l'amour que je ressens pour toi. On pourrait dire que c'est de l'attachement mais je t'assure qu'il n'en est rien. Je n'ai jamais ressenti quelque chose de la sorte. Je n'ai jamais à la fois autant aimé et autant souffert de ma vie. Tu joues un rôle capital dans mon existence, tu es la personne qui m'a purgé de mes souffrances, qui m'a fait mûrir, grandir, réussir...
Je ne sais pas comment tu vas réagir à la lecture de ce message. Peut-être que tu vas mal réagir, et que tu vas avoir peur, parce que l'amour est une chose effrayante. Peut-être que tu vas pleurer : de joie, d'amour, de reconnaissance ... parce qu'il est difficile de se confier, de dire aux personnes qu'on aime qui on est vraiment. Ou peut-être que tu vas simplement ignorer ce message, parce que la vie est impitoyable, et que nous devons être plus dur qu'elle pour survivre dans ce monde.
Je voudrais commencer par te dire : Merci ! Merci d'avoir croisé mon chemin, merci d'avoir eu la curiosité de intéresser à moi, merci d'avoir sacrifié une partie de ta vie pour moi, merci d'avoir été près de moi, merci de m'avoir donné des défis à relever, merci de m'avoir mis dans la difficulté, merci d'avoir eu les forces que je n'ai pas eue, merci d'avoir été forte et dure quand j'en avais besoin, merci de m'avoir donné ton amour inconditionnel, merci de m'avoir admiré, merci d'être qui tu es, merci d'exister...
A travers toutes mes crises et mes difficultés, à travers toute ma haine et ma peur, je renferme un amour infini, un amour que je protège, un amour que j'entretiens, un amour que je chéris. Cet amour c'est le tient. Ta force de caractère m'a fait comprendre que l'amour est beaucoup plus important que n'importe quelle autre chose dans la vie. Et j'ai compris que je veux vivre pour toi. Réussir ma vie pour réussir avec toi...
Aujourd'hui, grâce à toi je n'ai plus peur de rien. Je n'ai plus peur de rater mes études, de ne pas avoir de travail, de ne pas avoir de logement, de ne pas avoir à manger... J'ai compris que la seule peur qui m'anime et celle pour laquelle je vais évoluer toute ma vie, c'est la peur de ne plus être aimé, et de ne plus aimer. Tu m'as fait me rendre compte à quel point je suis une personne matérialiste, et finalement tu m'a fait changer. Tu m'as fait me rendre compte que l'amour est le plus important. Et qu'à la fin de ma vie la seule chose que je pleurerai c'est la souffrance que je vais faire aux personnes qui m'aiment et que j'aime. Mais pourquoi il faut que je me rende compte de tout ça au moment ou tu n'es plus là ? Sois rassuré, je ne t'en veux pas du tout d'être partie faire tes études, au contraire, je suis vraiment heureux que tu puisse te construire une vie, un avenir. Avant que tu t'en aille, j'étais une personne égoïste, je n'en voulais que pour moi et ma personne. Mais par la force des choses tu m'as appris à être heureux pour les autres, même quand ça ne va pas pour sois-même. Alors crois-moi je ressens du bonheur et de l'espoir pour ta réussite future, même si le chemin est encore long, et même si je ne te le montre pas au quotidien. Je ressens tellement de choses différentes pour toi. Et ce qui me fait souffrir c'est de ne pas savoir pourquoi je les ressens. De ne pas pouvoir les maîtriser, d'être obligé de me laisser aller à mes émotions. C'est encore quelque chose que tu m'a appris. Quand tu m'a connu, tu m'as dit que j'avais la maturité d'une personne de 40 ans. En deux ans tu m'as encore fait gagner 20 ans mon cœur. Grâce à toi je suis en avance sur mon temps, et bientôt je serai prêt à affronter les choses les plus difficiles que l'on peut. Et finalement, je trouverai le bonheur et la sérénité à l'intérieur de moi. Je te le promet. Tu finiras par t'en rendre compte... Si je devais résumer notre relation en un mot, ce serait : grandir. Et je sais que tu es d'accord avec moi. En deux ans, j'ai découvert la vie. J'ai compris un million de choses, j'ai vécu un million de douleurs, de plaisirs, d'expériences... Plus que je n'aurais jamais pu en vivre seul. Tu as joué un rôle fondamental dans ma vie. Dans mon existence. Tu as fait de moi un autre homme. Tu as fait de moi un homme.
Je n'ai pas envie de m'arrêter d'écrire parce que dans le fond j'ai tellement de belles choses à te dire. Mais je vais finalement de dire une seule chose. Merci. Merci d'avoir été qui tu es. Dans ta beauté, ta joie, ton intelligence, ton ignorance, ta colère, tes problèmes de santé, ta confiance en toi, en la vie, tes objectifs, ta vision du monde, ton amour. Tu as été la personne qui me fallait. Et tu m'as fait plus grandir que quiconque sur cette terre. Et en retour de tout ce que tu as fait pour moi, de tout ce que tu m'as donné, moi j'ai développé de l'amour. L'amour inconditionnel, l'amour avec un grand A, celui qui fait que tu ne veux plus vivre que pour la personne que tu aimes. Celui qui fait que tu veux plus que tout au monde, protéger la personne que tu aime, tu veux la chérir, tu veux l'élever, tu veux faire d'elle une princesse, une reine, la femme la plus heureuse du monde. Et si tu le pouvais, tu donnerais ta vie pour elle, pour qu'elle soit heureuse, tu décrocherais la Lune pour elle. Parce tu as une dette envers elle, une dette infinie... Voilà mon amour ce que j'ai sur le cœur. Je te dis des choses que je pense et que je cache profondément au fond de moi. Aujourd'hui c'est facile pour moi de te les dire, tu me l'a dit toi aussi, j'ai besoin de vider mon sac. Alors je te montre la part qui te revient. A mes yeux tu es la femme de ma vie. Je donnerai toutes les forces que j'ai pour toi, je serais prêt à n'importe quoi pour toi. Je suis là, je te protège. Mais tu as le contrôle total sur moi, parce que je te dois l'infini.
Dans le bonheur comme dans la souffrance tu m'as fait grandir. Je ne l'oublierai jamais, tu es devenu ma raison d'exister. Pour toi je décrocherai l'infini, parce que l'amour n'a pas de prix. Je t'aime... à la vie et à la mort.
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Mysterieuse, 38 ans, Nice
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J'avoue avoir besoin de parler puisque je ne peux rien raconter autour de moi. J'avoue avoir essayé d'enterrer tout ce que je ressentais pour toi. J'avoue avoir pensé que tu m'utilisais, que tu te servais de moi et j'avoue que ça m'a profondément blessée. J'avoue qu'il a fallu que je ravale ma fierté quand je suis venue te demander ce papier qui m'aiderait. J'avoue avoir été très étonnée que tu me le fasses, moi qui pensais n'être qu'une chose à tes yeux. J'avoue avoir été très touchée quand tu as demandé un appui pour moi. J'avoue que tu m'as dégoûtée dès le début que tu as commencé à t'approcher de moi car je pensais aux tiens. J'avoue avoir été très très touchée et agréablement surprise que tu m'appelles le jour de ma soutenance pour savoir comment tout s'était passé. J'avoue avoir changé totalement d'opinion suite à ça. Ça m'a fait beaucoup de bien de voir ton visage s'illuminer à l'annonce de la bonne nouvelle que je t'annonçais, vraiment ! J'avoue t'aimer malgré ce que je montre quand je te vois. J'avoue penser être amoureuse de toi. A chaque fois que tu t'approches de moi, que tu m'embrasses ou que tu me touches, j'ai l'impression qu'on a 18 ans. Je ressens enfin les sensations que tu me décrivais il y a 1,5 an. J'avoue essayer de garder le contrôle à chaque fois parce que j'en souffre et je sais que si je cède, je souffrirais encore plus et probablement toi aussi. J'avoue m'être retenue cette semaine, de ne pas te dire ce que je pensais : dommage qu'on ne se soit pas rencontrés avant. Tu m'as dit que j'étais un amour, tu t'es excusé, j'ai fait l'idiote mais toi aussi, tu es un amour, tu es même merveilleux avec moi mais je ne peux pas, on ne peut pas ni toi, ni moi. J'avoue que depuis que tu m'as fait ce papier, je me lâche, tous mes doutes concernant la potentielle manipulation que j'imaginais de toi, sont partis.
J'avoue penser à toi souvent. J'avoue que tu ne corresponds pas à du tout à mes critères physiques et n'imaginais même pas que ce qui arrive puisse m'arriver. J'avoue espérer que tu ne te rends pas compte de mes sentiments même si je crois que si... Je crois qu'on ressent la même chose. J'avoue que moi non plus, je n'arrive pas à te laisser partir.
J'avoue vraiment regretter de ne pas t'avoir connu avant. J'avoue ressentir de la jalousie quand tu parles des collègues en les décrivant physiquement.
J'avoue avoir contacté mon ex dans le but qu'il me détourne de toi et de cette passion qui nous anime. J'avoue me demander si je suis normale de ressentir ces sensations bizarres, qu'on ressent quand on est amoureux, je suis attirée vers toi comme un aimant, j'aime quand tu me sers contre toi, quand tu m'embrasses, quand je sens ton souffle sur ma nuque, c'est délicieux. J'avoue penser tout le temps à arrêter et j'imagine comment on se comportera après, j'espère que ce sera simple.
J'avoue ne rien attendre car je ne veux rien changer à nous ou à vous, surtout pas. J'avoue malgré moi que je pense toujours à comment ça se serait passé si ton statut marital n'était pas le même et que je t'avais connue avant.
Ça me fait du bien d'avouer.
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Coeurdartoutchaud, 22 ans, Toulon
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Je ne sais pas par quoi commencer. L. J'avoue t'aimer infiniment, les événements on l'air tellement de nous précipiter dans les bras l'un de l'autre. Le fait que on arrête quasi-simultanément nos relations respective de 4 ans, que on se comprenne si bien... Tu me dis que tu ne veux pas de relation maintenant, que tu as besoin d'amis... Je te comprends et te respecte, mais comment ne pas avoir d'attentes après ce week-end ? Tu étais si douce, tout coulait de manière si simple. J'avoue avoir adoré t'attacher, te frustrer, cette façon que tu as de t'abandonner à moi. L, je t'aime, et je te laisse dans ton entière liberté, tu as le droit de voir qui tu veux, te faire tout ce que tu veux. J'avoue que je crois avoir un peu peur au fond de moi que tu m'abandonnes. J'ai peur d'être comme tous les autres gars que tu as connu, de t'imposer un cadre que tu ne désires pas, de te limiter et de ne pas être à ton écoute... Ne laisse personne te prendre ta liberté, pas même moi. Soit la lumière et la paix. J'ai encore envie de toi, j'ai soif de toi. Je t'aime, je t'adore, ma meilleure amie, mon amante, mon amour.
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Wesley, 45 ans, La Roche-sur-Yon
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J'avoue que ce matin, quand tu étais en face de moi, très belle comme d'habitude, je t'admirais et j'avais envie d'éjaculer dans ta bouche... J'ai aussi envie que tu jouisses dans mes bras. J'aime fantasmer sur toi car je ne t'aurai jamais, il faut que je fasse avec mais je suis dingue de toi.
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Scorpion15, 36 ans, Paris
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Mon Zorro, Si tu tombes sur cet aveu, saches que je t'aime encore malgré les années qui passent. Malgré que je sois mariée et malgré le fait d'avoir deux enfants. Je pense à toi si souvent et notre amour a été inachevé. J'attends un signe de toi, je l'espère et le souhaite secrètement.
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Scorpion, 34 ans, Paris
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Mon Zorro, j'avoue que je ne t'ai jamais oublié malgré les années qui passent. Tu as fait ta vie, j ai fait la mienne mais je rêve secrètement du jour où l'on se retrouvera. La nostalgie est séductrice dit-on, dans mon cas, elle m'a littéralement encerclée. Il m'arrive de rêver de toi et pourtant je suis mariée. Appelle-moi, parce que moi je n'aurai jamais le courage de le faire.
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Fixette, 38 ans, Paris
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J avoue que la première fois qu'on s est rencontré, ben... Il ne s'est rien passé ! Puis quand on s'est revu, il y a si longtemps, j ai su que je t'aimerai jusqu'à la fin de ma vie. J'avoue qu'on a jamais su se coordonner. J avoue enfin que c'est peut être mieux comme ça finalement, tu auras été ma plus belle pas histoire d'amour.
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Ptite pomme, 17 ans, Paris
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J'avoue que tu me rends malheureuse. Je sais que ce n'est pas de ta faute, que tu n'y es pour rien et que tu ne dois même pas t'en douter ne serait-ce qu'un peu, mais tu me fais souffrir comme on m'a rarement fait souffrir. Je pensais pas m'attacher autant à toi. C'est bête je sais, on ne connait pas plus que ça, mais au fil du temps j'ai commencé à développer des sentiments pour toi. Je sais que ce n'est pas réciproque et que tu ne t'intéresseras jamais à moi, de toute manière, tu ne regardes même pas les filles comme moi. Tu me rends malheureuse car je sais que tu ne veux pas me faire de mal. Mais je sais aussi que je n'ai pas autant d'importance dans ton coeur que tu en as dans le mien. Je sais que je ne suis qu'une vague connaissance, une fille sympa parmi tant d'autres, que tu oublieras aussitôt que le lycée sera terminé. Mais toi, pour moi, tu es bien plus que ça. Tu m'obsèdes, je pense à toi tout le temps, et je ne sais pas quoi faire. Je souffre tellement, je n'ai jamais vécu ça. Je veux juste que tu sortes de ma tête. Je déprime à cause de toi tu sais ? Non, tu ne le sais sans doute pas. Te doutes-tu au moins que j'ai des sentiments pour toi ? Est ce que ça se voit à la manière dont je te regarde ? Tu me diras, tu me regardes si peu que tu ne l'auras sans doute jamais remarqué. Après tout, tu ne me considères pas même comme une de tes amies. Je suis juste une fille sympa. Ou peut-être que tu ne me trouves pas sympa en fin de compte ? Ça m'est égal, tout ce que je sais, c'est que tu ne m'aimes pas comme je t'aime. Tu t'en fous de moi. Le lycée est bientôt fini et tous les jours j'attends ce moment où tu m'enverras ce long message où tu me déclares tes sentiments, en vain. Tu continues juste à me sourire vaguement de l'autre bout du couloir lorsque tu me croises. J'avoue que je te hais Léo. Je te déteste de me faire ressentir des choses pareilles à ton égard alors que toi, tu vis tranquillement ta vie sans te soucier de moi. J'avoue que je te déteste pour m'avoir dit que j'étais jolie ce jour là sans te douter de l'effet que ça a pu me faire. J'avoue que je te déteste de ne pas d'être douté de ô combien j'ai pleuré le jour où j'ai su que tu t'étais remis avec elle. J'avoue que je me suis bêtement attachée à toi, toi et ton sourire, ton intelligence, ton charisme naturel. Moi qui était pourtant si difficile en amour. Maintenant je veux juste t'oublier. Pourquoi est-ce si difficile ? Plus que trois mois à tenir avant la fin du lycée. Peut-être qu'après ça, tu sortiras de ma vie pour de bon. Peut-être...
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Carton, 27 ans, Paris
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J'avoue que je l'aime toujours, que malgré le mal qu'il a pu me faire, malgré le fait que ça fasse un an que tout s'est arrêté, je ne cesse de me dire qu'il était le seul. Il était mon homme de très très longtemps... Il me manque énormément. Et le pire dans tout ça, c'est que je sais que jamais nous ne serons à nouveau ensemble et ça me fait mal. J'avoue que jamais je n'oublierais ce que j'ai pu vivre avec lui.
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Lola, 16 ans, Paris
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J'avoue que j'ai cru pendant longtemps que tu m'aimais et que toi tu pouvais voir la beauté en moi malgré mon masque. J'avoue que j'ai espéré que tu viennes me parler, me dire que tout ira bien et qu'il ne voient simplement pas cette beauté comme tu la vois. J'avoue que j'ai espéré que tu sois mon sauveur et qu'ensembles on soit heureux, j'avoue avoir eu le cœur brisé quand j'ai su que c'était ma sœur que tu voulais.
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Luimoinous, 45 ans, Saint Étienne
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J'avoue que je suis amoureuse de toi. J'avoue que je ne devrais pas. J'avoue que c'est dur de ne pas se dire que nous nous aimons alors que nous nous aimons physiquement, mentalement, avec le cœur, c'est tellement évident. J'avoue que nous avons transgressÉ toutes les règles, surtout les tiennes, mais avoue que ça vaut la peine de s'aimer comme ça.
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Chuuuttt, 45 ans, Montbrison
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Je suis mariée... Et je suis folle amoureuse d'un autre, folle amoureuse je crois... Et je crois que lui aussi... J'aime faire l'amour avec lui, il est si doux, si tendre, si fou.. J'ai envie de jouer avec lui... J'ai envie de dormir dans ses bras... Vendredi je vais le voir.
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