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Lifeislife, 26 ans, Valenciennes
J'avoue que tu es différente depuis que l'on vit ensemble.
J'avoue commencer à me demander si j'ai fais le bon choix.
J'avoue être attiré par Emmanuelle de B2S.
J'avoue que la seule chose qui me retienne de lui dire ce que je ressens, c'est que je ne veux pas te faire souffrir.
J'avoue qu'à chaque fois que je croise son regard, plus rien d'autre n'existe.
J'avoue que je vais finir par craquer, et lui dire ce que je ressens.
J'avoue qu'à ce moment là, tu ne seras pas la seule à souffrir, car malgré tout, tu fais partie de ma vie.
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Taiss, 30 ans, Barrou
J'avoue, ton sourire, c'est mon soleil. Faire des blagues, t'écouter râler, mettre de la musique rétro, et guetter cette lumière qui illumine ton visage, qui réchauffe la pièce, cette petite fossette sur la joue, c'est la vitamine C de mes journées !
Un sourire de toi me rebooste, me donne un repère, quelque chose de chaud et de sûr, un refuge, comme un secret connu de moi seule, un truc tout doux qui me fait ronronner en silence. Merci pour ça !
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Mathilde, 14 ans, Rennes
J'avoue que depuis le début de l'année j'ai craqué complétement sur Maxime. Un mec magnifique. J'aime les vilains garçons dira-t-on, il fume, il boit, il se bat, mais je trouve ça tellement sexy ! Un homme, un vrai viril qui saurait me défendre si malheur arrivait. J'avoue aussi que le fait que tu ne veuilles sortir avec une meuf rien que pour son cul, me fait plutôt bader, mais bon je fais avec et ne te le dirai sûrement jamais.
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Ayana, 32 ans, Paris
J'avoue que je t'aime de tout mon coeur même si tu me fatigues en ce moment. Je t'adore et tu le sais. Tu en joues.
J'avoue que je pourrais être 10 fois mieux que je ne le suis déjà.
J'avoue que je pourrais faire beaucoup plus d'effort pour te plaire.
J'avoue que je vais en faire et me reprendre en main pour avoir un peu plus de confiance en moi et être mieux, ne plus me prendre la tête.
J'avoue que tu as raison parfois mais pas tout le temps.
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Rouge&Noir, 33 ans, Lille
J'avoue que je ne voulais pas t'embrasser.
J'avoue que lorsque tu as insisté et que tes lèvres ont touché les miennes ma tête a fait "Ouahhhh".
J'avoue que j'ai tout de suite adoré tes câlins.
J'avoue que ton corps me fait vibrer.
J'avoue que j'adore ta virilité, ton machisme hésitant.
J'avoue que la première fois que nous avons fait l'amour je t'ai senti trop timide pour apprécier mais ça m'a laissé une belle envie d'encore.
J'avoue ne pas m'être trompée à ce sujet, aujourd'hui tu me comblerai si j'acceptai de me lâcher.
J'avoue qu'après 4 mois ton odeur me rend dingue.
J'avoue que ton absence me rend dingue.
J'avoue que de ne pouvoir parler de toi à tout le monde, tout le temps me rend dingue.
J'avoue avoir trop de projets avec toi et que ça me rend dingue.
J'avoue avoir peur de vivre à nouveau avec quelqu'un.
J'avoue avoir envie que tu sois ce quelqu'un.
Et enfin oui, j'avoue, je t'aime mais je ne peux pas te le dire...
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AieAieAie, 37 ans, Paris
J'avoue que, subjugué par la beauté de cette jeune femme, et par la chaleur réciproque des regards que nous avons échangé tout ce week end... sans nous parler. Juste lui dire un Bonjour et au revoir fusionnel. J'avoue que j'ai failli foutre ma vie en l'air et faire une énorme bêtise en allant me jeter dans ses bras... et j'en meurs d'envie !
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Jean, 25 ans, Concarneau
J'avoue chercher la femme de ma vie. Si tu me cherches aussi, "coucou, je suis ici", sinon dit moi où tu es !
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Hybiscus, 25 ans, Nantes
J'avoue qu'on était d'accord, que c'était juste pour s'amuser, j'avoue que j'ai aimé ta façon de me prendre, j'avoue que je n'ai jamais autant pris mon pied qu'avec toi.
J'avoue que j'aurais voulu plus de nuits, encore et encore, j'avoue que je ne crois pas que je t'aurais aimé longtemps, j'avoue que tu m'enivres mais tu es si différent, j'avoue que tu me manques, j'avoue que je t'ai dit que c'était juste pour le sexe, j'avoue que je t'ai menti, pour que tu me prennes encore et encore sans avoir peur.
J'avoue que maintenant que tu es retourné avec elle, j'ai mal, j'avoue que je ne crois pas une seule seconde à ton bonheur avec elle, elle veut t'enfermer, alors que tu es un esprit libre, tu voles, j'avoue que je ne comprends pas ta décision, j'avoue que je l'envie de t'avoir à ses côtés, j'avoue que je n'arrives pas à m'y résigner, alors que j'ai mon copain à aimer.
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Marie, 18 ans, Paris
J'avoue que je l'ai rencontré par hasard en tombant sur lui dans le métro.
J'avoue que j'ai renversé son sac et volé son porte-feuille.
J'avoue que j'ai cherché son numéro partout pour lui rendre.
J'avoue que j'ai débarqué chez lui sans prévenir juste pour lui rendre son porte-feuille.
J'avoue qu'il m'a accueilli plutôt gêné.
J'avoue qu'il m'a remercié un million de fois au moins.
J'avoue qu'on a discuté pendant des heures.
J'avoue qu'il me plaisait encore plus qu'avant.
J'avoue être une allumeuse et j'avoue l'avoir chauffé.
J'avoue avoir pris mon pied comme jamais.
J'avoue vouloir rester avec lui toute ma vie.
J'avoue l'aimer.
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Ssush, 18 ans, Mulhouse
J'avoue que je ne sais pas où nous en sommes... J'avoue qu'on ne me dit que du mal de toi mais je ne peux m'empêcher de t'aimer. Que sommes-nous au juste ? Sommes-nous amis ou ensemble ?
J'avoue que je suis heureuse comme ça, mais j'avoue que j'ai terriblement peur.
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NicePain, 18 ans, Dijon
Jusqu'alors, je n'avais avoué que des choses dont je n'étais pas fière. Il était temps pour moi de passer à autre chose.
Je peux aujourd'hui avouer que je l'ai rencontré à une soirée entre amis, à laquelle je n'étais même pas conviée. A la base, notre histoire était plutôt mal partie, mais nous avons su passer outre ces quelques barrières pour construire quelque chose.
J'avoue que cela ne fait que quelques mois, mais que lorsqu'il m'a sous-entendu que peut-être nous pourrions vivre ensemble, les larmes me sont montées aux yeux.
J'avoue que dès que je vois un mariage à la télévision, je m'imagine à la place de la mariée, avec lui à mes côtés.
J'avoue que je serais prête à n'importe quoi pour le garder.
J'avoue que je suis folle amoureuse, et que contrairement à ce que j'ai pu en penser avant, c'est bien la première fois.
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Christine, 30 ans, Avignon
J'avoue que je l'aime plus que tout.
J'avoue qu'elle pense que ce n'est que de l'amitié alors que je rêve de l'embrasser.
J'avoue que j'aimerais qu'elle le quitte et vienne avec moi.
J'avoue que lui parler, la serrer dans mes bras, me rend heureuse et malheureuse en même temps.
J'avoue que bien souvent elle me laisse penser qu'elle m'aime de la même façon.
J'avoue que j'aimerais qu'elle s'en rende compte et l'assume.
J'avoue que je patienterais peut être à tord et probablement toute ma vie.
J'avoue être persuadée qu'elle est mon âme soeur.
J'avoue que je suis foutue...
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Zoé, 21 ans, Lille
J'avoue je n'aimais pas faire l'amour, tu m'y a redonné goût. Maintenant je ne pense qu'à la prochaine nuit que l'on passera ensemble même si je le sais, il n'y en aura peut être jamais. J'avoue que tu me manques et que j'ai envie de toi.
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L'habitant, 38 ans, Nîmes
Julie, tu me rends dingue et le plus fort c'est que tu le sais. J'avoue penser à toi très souvent, j'avoue que très vite tu vas le savoir.
Le plus dur est de te le dire.
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Heloise, 23 ans, Besançon
J'avoue que j'ai fait table rase de tout ce que j'ai pu connaitre avant, et j'avoue que maintenant que je suis ouverte aux rencontres, il y a ce type qui me fait baver tous les jours. J'ai peur de baver un peu trop devant lui un jour et de faire une grosse flaque.
Si ça arrive je dirai que j'ai la rage, ce sera toujours mieux que d'avouer : en fait ce sont tes yeux, ton parfum et tes derrières d'oreilles qui me font cet effet.
J'avoue que je suis un putain de gros coeur d'artichaud mais j'avoue aussi que j'aime bien ce petit effet qui me traverse.
-> Meilleur aveu 2012-04-09 Meilleur Aveu <-
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Shiva, 34 ans, Lyon
J'avoue que je n'aime pas ces histoires d'amour qui finissent bien. J'avoue que si je pleure, ce n'est pas pour les mêmes raisons que la plupart des gens. J'avoue que j'aimerai moi aussi que mon petit ami soit heureux de se montrer à mes côtés. J'avoue que j'aimerai qu'il soit fier de me présenter à sa famille et à ses amis. J'avoue que j'aimerai qu'il vienne quand je le lui demande. J'avoue que je n'ai rien de tout ça. J'avoue qu'il ne prend même pas ma défense face aux autres, j'avoue qu'il ne me présente que comme une simple amie. J'avoue que mon petit ami ne me considère pas comme sa petite amie.
J'avoue que ça fait mal et que faire semblant devant les autres est de plus en plus douloureux. J'avoue, je voudrais qu'il m'aime pour de vrai et qu'il le pense et le ressente quand il me dit ces mots.
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8+V, 27 ans, Paris
J'avoue, que malgré tout le mal qu'il m'a fait, malgré nos engueulades, et malgré ma colère, ma tristesse et déception, je l'aime encore, et ce pour toujours.
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Max, 20 ans, Bruxelles
J'avoue que j'ai une copine alors que je pense vouloir un homme.
J'avoue je devrais lui en parler, lui dire qu'il vaut mieux en rester là.
J'avoue ne pas avoir le courage et préférer laisser continuer un peu...
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Rougepassion, 20 ans, Palerme
J'avoue que quand je t'ai dit que je ne voulais plus te parler je le pensais... Mais j'avoue que je ne pensais pas que tu ne reviendrai pas... Que j'en souffrirai tant...
J'avoue qu'aujourd'hui après 3 mois de silence, ta présence me manque... plus que tout.
Tes conseils...
Tes sourires...
Tes blagues à 2 balles...
Tes regards ...
Ta voix...
Toi tout entier...

Et j'ai peur, peur d'oublier ton odeur...
Peur d'oublier tous ce que j'aime en toi, Peur de te perdre pour toujours...
Peur que tu m'oublies...

Et je dois t'avouer que ma plus grande crainte , c'est de finir par te hair...
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Chut, 21 ans, Lyon
J'avoue que depuis cinq mois, ma vie passe à grande vitesse. Ce nouveau boulot m'envole sur bien des points, et je n'aurais jamais pensé que ça serait dans un contexte pareil, que je ressentirais pour la première fois, l'envie de quelqu'un avec autant d'ardeur.
J'avoue, quinze ans nous sépare, et son attitude adolescente me conforte dans l'idée que nous pourrions nous entendre et nous confondre malgré l'écart qui se laisse entendre. J'avoue me taire à moi-même cette "chose brutale" qui m'implose. Depuis que j'ai appris son départ pour un ailleurs, j'ai l'envie profonde d'accélérer les choses et de lui dire avec des gestes. Il me trouble et il est fait pour être dans ma ligne de mire. Lorsque je pense à lui, j'ai mal. J'ai mal de l'imaginer s'en aller dans l'ignorance, et en colère après moi-même d'être si faible. Il n'a rien fais pour me mériter. Il ne m'est jamais rentré dedans, il n'a jamais fais de sous-entendus.. Ou alors je refuse de les voir, Oui, même les plus microscopiques des "perches tendues", je me refuserais de les voir, car j'ai bien trop peur "d'y croire un instant". Pour mieux me vautrer par la suite. Le complexe est partout dans cette histoire inexistante.
Lorsqu'il arrive à moi, je tiens son regard encore et encore. Et lorsqu'il me suit aussi longuement. Je ne suis plus d'ici. Je souris niaisement à son regard, bien sûr, je m'applique à le faire lorsqu'il n'est plus à proximité. J'aime lorsqu'il me taquine encore et encore... Avec son regard malicieux, que je voudrais heurter au mien des heures durant. J'aime lorsqu'il rigole à mon humour, et que la fissure de nos regards rieurs se donne le change.
J'aime le sentir près, si près qu'il me parle à demi mots. J'aime l'intonation de sa voix sensuelle, apaisante. Et pourtant.. Exaltée, sa voix sait l'être lorsque ses colères explosent. Et là encore, j'aime lorsque sa voix redevient câline dans un "Tu boudes ?" qui me donne envie de le laisser ramper, ramper... J'aime Tout. Hélas !
Hélas. Oui... Car les choses ne vont pas dans le sens qu'on le souhaite, parfois. Il faut savoir donner les directives à la vie et être son propre chef d'orchestre. Mais jamais ma confiance et l'estime de moi-même ne saura être assez grande pour aller jusqu'à lui de cette façon là. Il est mon idéal, pourtant, je crois que l'on a franchement rien à faire ensemble. C'est un coureur, un sportif, un endurant de la vie. Un bon vivant, un cru. Un excellent joueur. Un Taureau. Avec ses cornes bien aiguisées, il enfonce toutes les portes, et son chemin, il se le créé tout seul. Voilà quelqu'un qui saurait m'apporter beaucoup, si seulement il avait le temps. A côté de sa brutalité impulsive et impatiente, je le ressens implacablement doux et délicat. Je sais, c'est sa voix qui me l'a sussuré. Je sais que ses mains sont capables de plaisirs douloureux car tellement attendus. Je sais, qu'il serait bon d'être calmement étendue contre lui. J'aimerais qu'il dérape lorsqu'il appuie fortement sur mes deux joues. J'aimerais que ses grands yeux verts deviennent explicites, soutenus, messagers... J'aimerais qu'il soit toujours "sur mon dos", et jusqu'à ce qu'il s'en aille.
J'avoue que mon coeur donne naissance à un autre, lorsqu'il m'apparaît sans prévenir. J'avoue être en "érection du coeur", et bien heureusement cela ne se voie pas.
J'avoue que le matin lorsqu'il vient vers moi, je ressens une attraction physique, et j'ai l'envie irrésistible de faire se toucher nos lèvres...
J'avoue que ses grandes mains me font frémir. Tout comme ses fesses bien galbées dans son jean troué.
J'avoue qu'il me plait tout entier, que son style vestimentaire me rend dingue et qu'il sait se mettre en valeur, ou est-ce seulement moi qui voit de la valeur de partout.
J'avoue avoir l'envie de passer ma main dans ses cheveux, dans son cou, dans son dos et faire chevaucher son phalanges. J'avoue qu'il est trop tout et qu'il me transforme en une parfaite personne qui l'adule, refusant de voir autre chose.
J'avoue que son regard sérieux me chavire, et que ses rires, pour moi et uniquement pour moi, me donnent l'envie de me jeter dans ses bras. J'avoue avoir donné naissance a des fantasmes et des envies, de mon côté.
Je n'ai pas eu le temps de m'en faire un ami, pour faciliter le rapprochement.
Voilà ce qui m'aura cruellement manqué, je l'avoue.
"Les histoires que l'on a pas eu le temps de vivre sont les plus belles".
-> Meilleur aveu 2012-04-09 Meilleur Aveu <-
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Capricam, 25 ans, Arras
J'avoue il me rend heureuse, entière, complète...
J'avoue qu'après cette relation assez hard pour moi qui m'a laissé toute abîmée et cabossée dans tout les sens du terme, je ne croyais en rien du tout et surtout pas en une nouvelle relation d'avenir (et ce n'est pas pour autant que j'allais fureter de droite à gauche si lui n'arrivait pas, je ne suis pas une "man eater" !)

J'avoue que je l'ai modéré au début en lui disant "fait attention ça prendra du temps", oui certes ça prendra du temps néanmoins j'ai envie de guérir dans ses bras, avec ses mots, dans ses yeux bleus... oui je sais je suis encore et beaucoup trop fleur bleue mais je veux y croire. Il est si tout et je sais qu'il prendra soin de moi et dieu sait qu'il faut. Il ne me fera jamais de mal volontairement.

J'avoue ça parait bizarre pour moi parce que je ne croyais pas qu'un homme soit ainsi et surtout que je ne pouvais pas refaire confiance aussi vite mais à lui si. Il est passée par des relations aussi chaotiques que les miennes donc il me comprends. Il est tout simplement bon. C'est le terme. Il me donne le sourire qui avait disparu, la tête dans les nuages et cette impression d'être pleine à rabord de bonheur.

J'avoue il sait ce que j'ai, ce truc en plus que je ne lui ai pas caché (cf. précédent aveu) néanmoins il ne s'en préoccupe pas. il n'en a cure !

Il me trouve belle alors que je tout à fait normale enfin ça va je n'ai pas à me plaindre, drôle, cultivée et sans prise de tête.

Que demander de plus mis à part que tout reste ainsi, que mon ex me fiche la paix car après tout c'est lui qui me met à la porte et celui qui fait me sentir bien revienne de ses vacances ! ça j'ai hâte il me fait tout simplement vibrer.
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M, 19 ans, Marseille
J'avoue que j'ai eu un accident de voiture, j'avoue que l'on a du appeler les pompiers. J'avoue aussi que c'est la seule chose de réconfortante dans cet accident. J'avoue que ce pompier aux yeux bleus était beau. Rien que de le regarder ça m'a aidé.
J'avoue que j'aurais bien aimé avoir son numéro, mais j'étais pas vraiment en position pour draguer. J'avoue aussi qu'il a compris qu'il me plaisait. J'avoue que j'en étais gênée.
J'avoue que je ne le reverrais peut être jamais.
Enfin j'avoue que niveau relation sentimentale j'ai vraiment du mal, mais que j'aurai pu oublier tout ça rien qu'en le regardant.
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Laurel, 22 ans, Marseille
J'avoue que depuis ce jour de septembre où je t'ai vu pour la première fois j'ai craqué.
J'avoue que comme avec tous mes précédents coups de coeur je n'espérais pas que ça soit réciproque.
Et puis nos regards se sont croisés de plus en plus souvent, donc une lueur d'espoir commençait à naitre en moi. Quand j'ai compris que je ne te laissais pas indifférent je n'ai pas osé t'approcher de peur de te décevoir. Les rares fois où tu es venu me parler mon coeur battait tellement fort que j'en avais mal et je n'osais même pas te regarder dans les yeux. D'ailleurs je n'ai jamais vraiment osé te regarder dans les yeux ! Quand je t'ai vu trainer de plus en plus souvent avec l'autre pouffiasse j'ai su que je n'aurais plus aucune chance. Puis j'ai appris qu'elle avait un copain, ce qui me rassura.
Souvent quand je repense à toi, je me rappelle de toute les tentatives de premier pas que tu faisais vers moi, et qu'en pauvre idiote je repoussais à chaque fois, par peur.
Parfois j'aimerais avoir une machine à remonter le temps pour voir ce qui se serait passé si j'avais réagi autrement. La semaine dernière pendant les partiels j'ai essayé de te parler mais sans succès car tu finissais toujours avant moi. Ce week end je t'ai envoyé un mail pour te faire comprendre que tu me manquerais trop cet été et que je voudrais bien avoir ton numéro de téléphone, histoire qu'on se revoit en dehors de la fac. Tu ne m'as jamais répondu. Je suppose que j'ai dû me faire des films ou alors que toi aussi je t'ai fait peur ? Bref, mon témoignage était ridicule mais j'avais besoin de me confier quelque part.
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Ninoucha, 29 ans, Paris
J'avoue qu'hier soir, je ne savais plus où me mettre, de honte !
Nous étions dans le feu de l'action, et j'avoue que c'était chaud même très très chaud.
Quand soudain, ma belle-mère (la mère de mon chéri) fait irruption dans la maison... J'avoue que j'étais morte de honte !!!
J'avoue que j'aimerai qu'on remette ça à ce soir ! Mais cette fois-ci la clé fermée à triple tours.
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Jérèm, 13 ans, Athis-Mons
Je suis fou amoureux d'une fille qui ne m'aimera probablement jamais.
Je suis pas beau, gros et, étant donné que je n'ai pas de jardin et que j'ai 3 chiens et que du coup ma maison sent mauvais, je ne sens pas bon (pourtant je me lave tous les jours et avant d'aller à l'école, je mets soit du déodorant soit du parfum. Elle, elle est super belle, intelligente (moi aussi par ailleurs), gentille (moi aussi), cool (pas moi). Elle a beaucoup d'amis (moi j'en ai que 2 ou 3). C'est une fille presque parfaite (j'dis ça car personne n'est parfait). Je sais qu'elle ne ressent rien pour moi mais je ne peux pas n'empêcher de l'aimer même si c'est peine perdu.
Je suis tellement absorbé par elle que, il y a peut être une fille qui m'aime et que je ne le sais même pas (mais ça m'étonnerai qu'une fille m'aime).
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