Nous sommes sur la page
18 / 222
Paracétamol, 24 ans, Paris
|
J'avoue que je reviens de mon premier bal des pompiers... J'avoue que j'avais les yeux partout et que j'ai fantasmé comme une dingue sur tous ces pompiers en tenue, leurs jolis fessiers moulés dans leurs pantalons... J'avoue que j'espérais bien réussir à en serrer au moins un... J'avoue que je n'ai pas réussi et que quand je voyais avec quel type de fille ils dansaient, je comprenais pourquoi je ne les attirais pas (je ne suis pas blonde...)
J'avoue que je suis rentrée super frustrée d'avoir vu tous ces mecs bien gaulés et que j'aurais adoré en mettre un paquet dans mon lit.
J'avoue que je connaissais déjà les policiers pour les côtoyer de près, et que le niveau était déjà pas mal, mais j'avoue qu'après avoir vu d'aussi près les pompiers, j'ai choisi mon camp.
J'avoue que c'est d'un commun absolument pas original, mais je rêve de me taper un pompier !
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Daffodil Lament, 24 ans, Paris
|
J'avoue que cela fait plusieurs nuits que je rêve de toi. Ces rêves sont incroyablement vrais. Les détails, le contexte, les répliques. Le seul problème c'est que je ne pense pas que tu daignes à penser à moi, te douter que j'existe ? On était en fac ensemble. Dans certains cours je n'arrêtai pas de te lancer des regards, tu avais l'air de le prendre assez mal, je ne savais pas comment t'approcher, j'ai essayé de lancer la discussion sans grand résultat. Tu as un copain et ce depuis longtemps. J'avoue que je ne sais pas pourquoi je persiste à penser à toi, à rêver de toi.
J'avoue que le plus dur c'est au reveil, quand je prends conscience que tout ceci n'était qu'une divagation. Quelle douleur ! Ca me rend nostalgie tout le jour, je ne fais plus rien, je n'ai plus rien envie de faire. Je pense à toi. J'avoue que je pense à cette phrase de Cendrillon où elle dit qu'elle ne racontera pas son rêve pour qu'il s'exauce un jour... Foutaise ! Je préfère avouer pour que ça aille mieux. J'avoue... Nora, quel dommage, mais vraiment quel dommage.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Lucie, 21 ans, Nancy
|
J'avoue que devant cette page vierge, je me sens désarmée. Car j'écrirais sûrement des choses que je serais incapable de lui dire. J'avoue que ma fierté, parfois, prend le dessus. Que j'ai tout au long de ma vie, un peu trop donné, à des gens qui ne méritaient pas d'en recevoir tant. J'avoue que je suis pas très fière, de ne pas avoir deviner le subterfuge de certain, ceux qui ont su me tuer à petit feu.
Mais il y a lui, qui est entré dans ma vie, à l'autre bout d'un autre pays. J'avoue dire que la distance aujourd'hui n'a pas d'importance, pourtant celle-ci est pesante. J'avoue que j'aimerais savoir ce qu'il pense, sans avoir à lui demander, histoire d'être fixée, et de réfléchir à si je devrais tout lâcher pour lui ou non.
J'avoue que des fois, face à ce genre de situation, je regrette ma tendre enfance. Car durant ces saisons, seul sortir avec des amis et inventer des jeux stupides donnait de l'assurance.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Marie, 50 ans, Paris
|
J'avoue ne plus avoir 20 ans. J'avoue ne pas vraiment comprendre ce que ça change. J'avoue que le sexe est moins important qu'avant. J'avoue pourtant être encore plus sûre de moi et de mes sentiments. J'avoue savoir me protéger. J'avoue pourtant l'aimer, être clouée au téléphone etc. J'avoue que malgré les années il se comporte comme un ado, qu'il est mystérieux, imprévisible et un peu largué. J'avoue que je le trouve beau avec ses rides et ses cheveux blancs. J'avoue que de vos 20 ans vous le prendriez pour un vieux quoi que... J'avoue que ces cache-cache me rendent folle...
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Yeux grand ouverts, 33 ans, Paris
|
J'avoue qu'après 9 ans de « fréquentation », 6 ans de mariage et 2 enfants depuis mon dernier aveu, je suis toujours aussi amoureux de ma femme. Intelligente, sensible, drôle, fine et pleine d'humour... Pas folle de sexe, enfin pas assez à mon goût, mais je survis, grâce, en général, à un contrôle quasi-total de ma libido et de mes instincts bestiaux. Rentrant un peu tard d'une soirée entre potes, digne, je me couche auprès d'elle et me force à penser à autre chose que ses fesses rebondies que ma main caresse doucement, sans arrière-pensée aucune. Sentant malgré tout l'émotion me gagner, je me prends à imaginer que la journée pourrait décidément bien se terminer. C'était sans compter le pet long et puissant qu'elle lâcha dans son sommeil, et dans ma main... Bouche bée, toute émotion retombée, je me suis forcé à penser à l'avenir d'un monde... -> Meilleur Aveu <-
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Cryptorchid, 18 ans, Marseille
|
J'avoue avoir fait l'erreur de commencer un plan cul avec un gars qui me rend dingue, qui me plait atrocement. J'avoue que j'en souffre, parce que je sais qu'il n'y aura rien de plus. Les deux fois où nous avons couché ensemble, chaque matin était un supplice, pas de tendresse, pas de regard, rien. J'ai dû partir en te faisant la bise avec froideur. Je suis rentré chez moi en pleurant. Je ne suis pas faite pour ce genre de relation, mais je ne peux pas lui résister. J'avoue penser à lui un peu trop souvent, j'attends de ses nouvelles, peut être qu'il ne m'en donnera pas. je ne sais pas. J'avoue avoir fini mon bac, j'avoue n'avoir quasiment pas réviser, j'avoue m'être planté, j'avoue n'avoir pas envie de travailler, j'avoue être une putain de faignante alors que je dis le contraire. J'avoue que je me sens seule, j'avoue que j'ai un pincement au coeur quand je le vois connecté sur facebook et qu'il ne vient pas me parler. Comme en ce moment même. Il faudrait que j'arrête tout. Il faudra que je devienne moins sensible mais ces deux nuits étaient si merveilleuse... je ne sais plus quoi faire de ma vie.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Elite'Girl, 23 ans, Paris
|
J'avoue que ces derniers temps il m'arrive très souvent de rentrer dans une parfumerie juste pour vaporiser ton odeur sur une petite mouillette, la respirer à plein nez, et la glisser précieusement dans mon portefeuille, comme un trésor.
J'avoue que c'est assez pitoyable, je dirais même plus, que c'est absolument masochiste, mais que veux-tu, je suis amoureuse de toi depuis bientôt deux ans. J'avoue que je n'aurais jamais dû coucher avec toi il y a quelques mois de cela, même si c'était ce dont je rêvais, car au final ça n'a fait que me rendre encore plus accro à toi.
J'avoue que comme nous sommes "amis" sur les réseaux sociaux, je suis obligée de voir les photos que tu mets en ligne avec celle dont tu es amoureux. J'avoue que ça me fend le coeur... mais j'avoue que je consulte ta page plus que de raisons. J'avoue que je crève d'envie que l'on se retrouve, seuls. J'avoue que je ne veux plus respirer ton odeur sur une mouillette mais juste pouvoir la retrouver en glissant mon nez dans ton cou, tout en me lovant au creux de ton épaule, comme j'en avais l'habitude. J'avoue que cet aveu est une déclaration d'Amour : Olivier, Je t'aime.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
LTC, 20 ans, Paris
|
J'avoue, je t'aime à la folie.
Mais...
J'avoue que tu me rend dingue parfois, à me faire me sentir nulle, idiote, maladroite. J'avoue que je t'en veux de ne pas penser à m'encourager quand j'ai quelque chose d'important à faire. J'avoue que je t'en veux de ne plus me toucher depuis des mois. J'avoue que je t'en veux de ne pas penser à me dire merci pour tout ce que je fais pour toi. J'avoue que je t'en veux de ne jamais m'offrir de cadeaux, ni à mon anniversaire, ni à Noël, et encore moins en dehors. J'avoue que je t'en veux de ne jamais me faire compliments, que je t'en veux de n'avoir aucun tact et de me blesser si souvent. J'avoue que je t'en veux d'être si sûr de toi et si arrogant, et de sans même t'en rendre compte prendre le dessus sur moi, qui suis si réservée et malléable. J'avoue détester que tu te moques de moi si souvent. J'avoue que si tout ce que tu me reproches est fondé, ce n'est pas si grave et je t'en veux de ne jamais prendre en compte tout ce que je fais de bien. J'avoue être absolument certaine que tu ne te rends pas compte de tout ça et que ce n'est pas intentionnel.
J'avoue que j'en veux à moi-même d'avoir été trop conciliante et serviable et de t'avoir habitué à ma docilité depuis des années. J'avoue que je m'en veux de t'aimer si fort que j'ai fait le vide autour de moi. J'avoue que je m'en veux de me rendre compte que si je vais mal, je n'ai plus d'amis à qui parler. J'avoue que je ne sais pas comment sortir de ce cercle vicieux sans te perdre. J'avoue que j'ai des dizaines de reproches à te faire, mais que je n'ai jamais osé te le dire, pour ne pas passer pour la énième petite copine chiante et raleuse, mais pour la copine tolérante et compréhensive en toutes circonstances. J'avoue que je garde tout pour moi, que je souris même quand tu m'as fait si mal que j'en ai les larmes aux yeux. J'avoue que je suis devenue championne pour aller pleurer discrètement dans la cuisine. J'avoue que je sais que je ne changerais pas et toi non plus.
Mais j'avoue aussi que quand tout se passe bien, et qu'on passe des bons moments, ce qui n'est pas si rare que ça, je suis si heureuse que ma poitrine me fait mal. Et que tout ce bonheur me permet de tenir et d'oublier la dernière série de chagrins, de vexations, de blessures... jusqu'à ce que ça recommence.
J'avoue que je pense sincèrement que si tu me tapais dessus, je raisonnerai exactement pareil, et te passerai tout sans broncher. J'avoue être soulagée de savoir que ça n'arrivera jamais, même s'il y a bien d'autres choses que les coups qui peuvent blesser.
J'avoue que je sais que si on se séparait, je serais bien plus malheureuse, et c'est pour ça que je reste.
J'avoue que vraiment, je t'aime à la folie.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Selena, 25 ans, Roma
|
J'avoue que je viens de passer 24h plus que parfaites !
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Colombine, 25 ans, Paris
|
J'avoue que je n'arrête pas de penser à toi. J'avoue qu'il m'arrive aussi parfois de me dire qu'il serait temps que je me fasse une raison. Et c'est encore plus douloureux. J'avoue que je me dis que les choses auraient été plus simples si je ne t'avais jamais rencontré. J'avoue que j'ai craqué face à tes sourires énigmatiques et à ton regard qui essayait de capter le mien. J'avoue que j'ai vite compris que tu étais un homme à femmes, par ton métier, et par goût aussi et surtout, je dois le reconnaitre. J'avoue que tu as tendance à complimenter à tour de bras et que tu as toujours les yeux qui trainent à la recherche d'une belle fille, d'un beau specimen de papillon à mettre sous verre. J'avoue avoir pensé être plus maline que les autres, m'être dit que j'allais prendre mon temps... d'autant plus que "je ne l'avais jamais fait". Et oui, méfiez-vous des filles qu'on dit allumeuses, elles cachent parfois de drôles de secrets.
J'avoue qu'effectivement on a pris notre temps, qu'au début c'était toi qui me courait après et puis petit à petit, quand tu as senti que la résistance faiblissait, tu as commencé à t'éloigner, à te faire plus distant, limite moqueur me rendant encore plus dépendante. J'avoue que la première fois que nous avons échangé un baiser j'ai adoré. Je frissonnais, en partie à cause du froid mais aussi et surtout parce que je crois que j'étais en train de tomber amoureuse. Et qu'au fond de moi j'avais décidé que tu serais le premier. J'avoue qu'on s'est ensuite beaucoup cherchés même si de ton côté tu continuais à faire ton Don Juan et j'en savais tout. Parce que je me renseignais. Et parce que tu ne t'en cachais pas aussi. J'affectais le détachement mais au fond de moi, j'avais la nausée.
Je suis partie pendant quelques mois à l'étranger, je te l'ai annoncé un soir, j'avais un peu bu, j'étais triste, tu avais tes groupies habituelles. Tu avais l'air de t'en foutre. Tu m'as dit que de toute façon je revenais. Je t'ai embrassé, limite en insistant. Je faisais pitié. J'avoue que tu m'as atrocement manqué pendant ces sept mois. Aucune nouvelle si ce n'est une bise passée au téléphone alors que j'appelais un ami avec qui tu étais par hasard.
J'avoue que j'ai fini par rentrer. Un soir on s'est croisés. J'avais le coeur qui battait la chamade mais je ne voulais rien en montrer. J'étais distante. Tu faisais ton tactile et je te regardais d'un oeil amusé. Tu m'as confié tes histoires et tu m'as dis que tu avais rencontré une fille qui t'avait finalement quitté et que ça t'avait démoli. Pincement au coeur de mon côté mais je voulais profiter de ma soirée. Tu as fini par littéralement te jeter sur moi. On s'est embrassés longuement... ton odeur, tes mains, j'étais ailleurs... mais je suis rentrée sagement de mon côté. Je ne savais plus trop où j'en étais.
On se reperd de vue et puis un soir j'atterris chez toi par le biais d'amis communs. Tu me demandes avec combien de mecs je suis sorti pendant tout le temps où j'étais loin. Et puis tu me reparles encore de cette fille. J'avoue que j'aurais dû alors prendre mes jambes à mon cou. En tout cas c'était ce que la raison m'ordonnait. Mais vous connaissez tous le dicton, le coeur a ses raisons que la raison ignore: ce soir-là j'ai fini dans ton lit. Et c'était ma première fois. J'avoue que c'est toi qui m'a rappelée, on a remis ça et c'était parfait. J'avoue que pour la troisième, c'est moi qui suis venu vers toi. Mais il n'y a jamais eu de troisième. Tu m'as dit que tu ne pouvais pas, que tu étais avec quelqu'un, plus précisément celle que tu avais traité de tous les noms quelques semaine avant. Le monde s'est effondré autour de moi, je suis rentrée complètement sonnée, humiliée, et avec ma dignité en morceau. Alcool et médicaments, je n'ai pas décollé de mon lit pendant trois jours.
J'avoue que je t'ai revue avec elle. Un très beau spécimen de papillon effectivement. Un beau couple d'amoureux qui s'embrassait... et dont l'homme me jetait parfois des regards par dessus l'épaule de sa bien-aimée, auxquels je répondais par le visage le plus glacial que je puisse afficher. J'avoue qu'il t'arrivait parfois quand tu te retrouvais sans elle en soirée de venir discuter avec moi et d'avoir ce même regard que tu avais les premiers temps où nous nous sommes rencontrés.
J'avoue que je t'ai annoncé que je partais m'installer définitivement sur la capitale pour mon travail. J'avoue que même si c'était en grande partie dû à une opportunité professionnelle, tu n'as pas été étranger à la prise de cette décision. J'avoue avoir pensé au fameux dicton "Loin des yeux, loin du coeur". J'avoue que ce dicton est une foutaise. J'avoue que je crève de te revoir.
J'avoue que la dernière fois où on s'est vus, tu étais seul, tu avais les mains plus que baladeuses et tu m'as dit que tu avais envie de moi mais qu'il ne fallait pas. J'avoue qu'en partant au lieu de nous faire une bise, on s'est effleurés les lèvres. J'avoue que je n'arrive pas à t'oublier. J'avoue que parfois je pense à ce qui pourrait se passer si l'on se revoyait, et j'avoue que c'est en partie à cause de cela que j'ai pris la décision de me reprendre en main et de dire adieu à mes vieux complexes. J'avoue que j'aimerais que tu reviennes vers moi. J'avoue qu'ici j'apprends à me reconstruire et à être heureuse... mais que pour le moment je ne suis pas une très bonne élève. J'avoue que j'aimerais que tu ne m'oublies pas. J'avoue qu'un jour j'aimerais que tu me dises: "Je t'aime."
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Filamie, 25 ans, Bordeaux
|
J'avoue que la première fois que nous nous sommes vus mon compte était déjà fait. J'avoue que les huit mois de correspondance qui ont précédé m'ont fait chavirer. J'avoue avoir été incapable de te le montrer. J'avoue m'être fourvoyée en passant pour une personne détachée. J'avoue t'avoir aimé en secret bien plus que ce que je disais. J'avoue toutes ces larmes qui ont coulé n'étaient que vérité. J'avoue que c'était la première fois que mon coeur saignait. J'avoue y repenser chaque fois qu'un autre espère te remplacer. J'avoue que trois ans après mon coeur est toujours brisé.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Ptite souris, 29 ans, Paris
|
J'avoue que je t'aime comme je n'ai jamais aimé personne. J'avoue que je veux devenir ta femme. J'avoue que je veux un enfant de toi. J'avoue que j'attends que tu fasses le premier pas.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Apocalypso, 24 ans, Paris
|
J'avoue que plus je te vois et plus l'envie de t'embrasser devient forte. J'avoue que tu as vu que ça commence à germer en moi comme une plante, l'envie ardente de t'embrasser. Et je t'admire quand tu me parles, je te regarde, ton nez fin et parfait, tes sourcils bien dessinés, tes lèvres pulpeuses, ton cou à la peau douce et qui appelle aux baisers tendres et sensuels. J'avoue que je rêve de pouvoir te toucher, que tu m'appartiennes. Je résiste encore, mais pour combien de temps.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Mounia, 19 ans, Evry
|
J'avoue que je ne me suis pas encore remise de ma dernière histoire d'amour, que je n'imagine même pas m'engager dans une histoire durable. J'avoue avoir noyé ma peine à travers de nombreuses histoires sans lendemain.
J'avoue qu'on a commencé à se voir dans cette optique. J'avoue qu'on a fait une erreur en se voyant si souvent, en discutant si longtemps et en parlant sincèrement. J'avoue que je regarde ses photos en souriant, que j'écoute ses chansons en rêvant, juste pour entendre sa voix. J'avoue ne pas changer les draps après son départ pour pouvoir dormir avec son odeur. Je sais qu'il pense encore à son ex, qu'il en est encore amoureux et j'avoue que ça me rend folle. Que j'aimerai qu'il se rende compte qu'il fait des choses qui veulent beaucoup dire, qu'il a des attentions particulières...
J'avoue que je rêve qu'il me dise qu'il m'aime mais que ça me terroriserai sûrement. Et j'avoue que j'ai vu un autre homme pour me détacher un peu de lui, pour ne pas tomber amoureuse, mais que pendant que j'étais avec l'autre il n'y a qu'à lui que je pensais. J'avoue que je ne sais plus où j'en suis, que la seule chose dont je sois sûre c'est que je voudrai être avec lui. J'avoue que je voudrais tout lui dire mais j'ai trop peur que ça mette un terme à notre histoire. Je ne lui dirai surement rien, j'attendrai simplement qu'il réalise ses sentiments.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
AQuoiBon, 19 ans, Paris
|
J'avoue qu'au début ce n'était que pour le sexe. J'avoue que depuis ça a évolué. J'avoue qu'on a consenti ne pas s'engager. Mais j'avoue que je pense à toi à chaque instant, que j'ai envie de te dire que je t'aime. J'avoue ne plus vouloir m'engager, mais j'avoue que pour toi je pourrais changer...
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Ariel, 25 ans, Bordeaux
|
J'avoue avoir avoué il y a maintenant quelques années de cela que j'adorais déstabiliser les hommes par mon regard et que cela marchait plutôt pas mal. J'avoue que j'étais à l'époque vierge. J'avoue avoir perdu ma virginité il y a un peu moins d'un an à un âge où cela fait bien longtemps que la plupart des filles ont vu le loup. J'avoue que cette attente était en partie le fruit d'un choix mais également celui de circonstances et d'épreuves que la vie m'a faites traverser... J'avoue que plus je prends de l'âge, plus je me rends compte à quel point le temps passe terriblement vite. J'avoue lutter quotidiennement face à l'angoisse que suscite en moi ce défilement du temps, qu'il me fait parfois envier les filles plus jeunes que moi parce que je me dis que quand j'avais leur âge, j'étais juste atrocement repliée sur moi-même.
J'avoue aussi que cela peut parfois s'apparenter à de la jalousie mais que je m'efforce de combattre au mieux ce sentiment qui me fait parfois envier les uns et les autres, les filles plus jolies que moi selon moi, les gens brillants dans leurs études etc.
Bref tous les jours, je lutte contre cette horreur de jalousie, cette affreuse maladie. Mais connaitre ses maux nous donne les moyens de les combattre. J'avoue justement que ces derniers temps, ma jalousie est mise à rude épreuve. En effet, l'homme à qui j'ai donné ma virginité est, en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, retourné avec son ex, sur qui il m'avait pourtant déblatéré les pires horreurs. J'avoue avoir du coup l'impression de devenir parfaitement schizophrène : j'ai l'impression d'un côté d'être folle amoureuse de cet homme... et de l'autre, d'avoir commis la plus grosse ânerie de ma vie d'avoir attendu si longtemps pour au final coucher avec un ****** pareil.
J'avoue avoir du coup une terrible envie de me venger. Je me sens comme délaissée, abandonnée, trahie, raillée, humiliée, le vilain petit canard, la pauvresse à qui on a volé le seul trésor qu'elle possédait et qu'elle avait réussi à mettre à l'abri de ses créanciers toutes ces années durant. Je me sens souillée, tournée en ridicule, et je me sens coupable. Coupable de m'être donnée à cet homme, de l'avoir choisi -car oui je le connaissais depuis un certain moment- alors qu'il s'est ouvertement foutu de moi. Et coupable aussi, malgré tout ça, d'éprouver encore des sentiments à son égard. J'avoue que la dernière fois où je l'ai vu, j'ai senti qu'il avait envie de moi, comme n'importe quel homme peut potentiellement je pense avoir envie d'une nana avec qui il a déjà couché et avec qui ce n'était pas trop désagréable selon ses dires, qui plus est s'il lui a fait perdre sa virginité... mais en même temps il maintenait ses distances et moi je ne savais trop quoi faire car je manque affreusement de confiance en moi. J'avoue que j'ai envie de me venger, plus précisément j'ai envie de lui faire perdre l'ascendant qu'il a pris sur moi et de lui faire payer les diverses humiliations qu'il m'a faites subir. J'avoue que je n'ai pas envie d'être méchante ou cruelle mais je veux simplement ne pas faire mentir les différents proverbes suivants à savoir : la roue tourne, tout vient à point à qui sait attendre, rira bien qui rira le dernier etc.
J'avoue que je me fais le serment et mieux encore, je jure que je vais tout faire pour que cet homme revienne vers moi, je veux être le vilain petit canard transformée en cygne, je veux que la prochaine fois que le destin nous amène à nous recroiser, qu'il se dise "M****, cette fille me rend dingue, qu'est-ce que j'ai fait de la laisser partir ?", je veux qu'il pense à moi comme je pense à lui, je veux lui faire perdre la tête. Je veux qu'il m'aime. J'avoue que je ne mettrai aucune cruauté aux fins de réaliser ce dessein là, je vais juste faire un énorme travail sur moi. J'avoue vouloir faire de ce rêve une réalité. J'avoue vouloir le faire pour ceux qui me sont chers car je sais que cela sera entre autre une des clefs pour avoir des relations apaisées avec eux, mais également le faire pour moi afin d'être en paix avec moi-même... et le faire pour toi aussi donc, qui m'a fait et qui continue à me faire tellement souffrir et qui l'ignore très sûrement. Mais tu seras l'antidote au propre poison que tu m'as inoculée, celui de l'Amour trahie, pour toi je me transcenderai, je dépasserai mes limites, je t'ensorcellerai et ton éblouissement sera le remède à ma blessure.
Un remède qui je sais sera difficile et long à obtenir mais j'y parviendrai, je persévérerai, je m'armerai de courage, je travaillerai sur moi, je travaillerai tout court, pour que mes rêves deviennent réalité et pour que j'apprenne à être heureuse. J'en fais le serment en ce jour.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Sunshine, 20 ans, Paris
|
J'avoue que je pense à toi H-24. Surtout depuis que je t'ai revu. J'avoue que tu me fais tellement de bien et tellement de mal à la fois. Mais, je pense sincèrement que l'on est lié par quelque chose... que je ne saurais décrire. Enfin, j'avoue que je t'aime !
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
SexyNatla, 22 ans, Clermont
|
J'avoue que je pensais qu'il était à moi, même si nous n'étions plus ensemble. Le savoir avec quelqu'un d'autre m'a fait comprendre que même si on restait ami je ne serai plus jamais la première dans son coeur. J'avoue que moi qui pensais avoir un coeur de pierre ça m'a fait beaucoup plus d'effet que je ne le pensais et pas en bien ! J'avoue que j'espère que maintenant je vais pouvoir avancer et ne plus me bercer d'illusions.
J'avoue que je ne comprends pas pourquoi les gens font passer l'amour avant tout. Quand une amie a un copain, ça y est, elle oublie notre existence, dans sa bulle toute rose avec son petit chéri, mais après, dès que son cher amour lui a brisé le coeur elle se souvient de nouveau de nous... Je sais que je suis une des rares personnes à penser comme cela, et à ne pas comprendre l'amour, et à avoir trop peur d'être brisée pour me lancer...
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Petite-bulle, 24 ans, Paris
|
J'avoue que plus j'apprends à te connaître plus j'ai des sentiments. Je sais que tu as quelqu'un alors je ne dirais rien, car je ne veux pas gâcher ton histoire, et que rien que le fait que tu me souris, qu'on rigole bien ensemble, pour l'instant je n'en souffre pas et que ça me fait du bien.
T'es la gourmandise dont je n'ai pas le droit, et j'en salive rien qu'en imaginant la savourer. J'ai succombé, je sais pas du tout où ça va mener mais je verrais bien, je mettrais sûrement mon amour de côté, ne surtout pas te le montrer.
Mais je veux pas qu'on me prive de rêver de toi, de tes mains qui pourraient me toucher, de ses lèvres que j'aimerai tant goûter. Humm ma gourmandise j'aimerai tant te croquer, te savourer, te faire vibrer, que ton corps frémit d'envie, de désir, de folie qu'il en crie, que ton coeur devienne fou par mes baisers...
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Regina, 27 ans, Lille
|
J'avoue que j'ai établi tout un plan pour le séduire, ça n'a pas été si dur pour qu'il tombe dans mon piège.
J'avoue que physiquement je me trouve plus belle que sa copine, c'est superficiel, je sais, mais je me demande comment il a pu supporter sa tronche pendant 9 ans !
J'avoue que je suis folle de lui, que mon coeur bat si fort qu'il risque d'exploser dans ma poitrine dès que je le vois. Il évite de croiser mon regard par moment, il plonge dans des silences interminables, je le sens désarmé face à toutes les tentations que je lui offre... Il a fini par succomber...
Il trompe sa moitié à présent, mais j'ai peur qu'après tout ce que je fais il ne la quitte pas ! Après tout, peu importe si notre aventure n'aboutit à rien de sérieux, je vais juste semer la discorde dans son couple, ça sera mon occupation, je n'ai rien d'autre à faire...
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Ptitbiscuit, 17 ans, St Pierre et Miquelon
|
J'avoue l'aimer. J'avoue qu'elle me fait ressentir quelque chose, j'avoue qu'elle me met mal à l'aise. J'avoue que c'est ma voisine, J'avoue que je n'ai pas assez confiance en moi pour lui dire que je l'aime. J'avoue que suis amoureux, j'avoue et je regrette d'être moi...
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Diaboliqua, 17 ans, Belgique
|
J'avoue être amoureuse de lui mais je ne sais pas comment lui dire... Je le soupçonne d'être lui aussi amoureux de moi. Seulement il est trop timide pour me le dire, il essaie de me le montrer. J'essaie à mon tour, le seul soucis c'est que rien avance, j'aimerai tellement être avec lui, je voudrai lui dire mais j'ai peur de perdre son amitié qui m'est tant chère à mes yeux ...
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Gecko, 23 ans, Liège
|
J'avoue t'avoir tellement aimé que maintenant je te hais !!!
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Ninoucha, 29 ans, Paris
|
J'avoue que j'ai toujours la sensation de ta langue humide parcourant ma chatte et j'avoue que que ça me rend dingue. J'avoue que rien que d'y penser je mouille, ça m'excite grave. J'avoue que mon chéri tu es un expert de la lèche et je suis folle de ça !
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Paracétamol, 24 ans, Paris
|
J'avoue que j'ai quitté mon mec il y a deux mois et demi environ. J'avoue que cela faisait trois ans que l'on était ensemble. J'avoue que je l'ai quitté car je ne me sentais plus épanouie.
J'avoue qu'au début, c'était cool, d'être seule, de faire tout ce que je voulais, quand je voulais, avec qui je voulais. J'avoue que je me sentais bien, seule. J'avoue que j'ai déménagé car nous habitions ensemble.
J'avoue qu'aujourd'hui, et depuis plus d'une semaine, je me sens triste. J'avoue que chaque jour qui passe me rend encore plus triste. J'avoue que je regrette ce que j'ai fait, que je m'en mords les doigts. J'avoue qu'il me manque, lui, son odeur, ses bras, sa présence, son humour, tout ce que l'on partageait... J'avoue qu'il va très probablement partir travailler à l'étranger en septembre et que l'apprendre m'a foutu un coup.
J'avoue que je veux le récupérer, mais que j'ai peu d'espoir.
J'avoue que je l'aime et que je donnerai beaucoup pour qu'il revienne...
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Page Précedente Page Suivante
© 1998 - 2025 Javoue.com - tous droits réservés
- Haut de page
Développement assuré par Gilou
|