| Les aveux ... |
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| Chrysalide, 22 ans, Poitiers |
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J'avoue que c'est fini. J'avoue que ça me blesse moi qui croyais ne pas l'aimer. J'avoue que j'aurais préféré arrêter dès le début. J'avoue qu'il m'a dit que c'était finis par msn... C'est lâche ! J'avoue qu'il a été violent trois fois en un an... Signe de faiblesse et de lâcheté ! J'avoue qu'il m'écrit une lettre avec "moi, je...." à toutes les phrases et qu'il ne fait que de m'incendier sur mes problèmes personnels en sachant que s'il sait tout cela, c'est parce que je lui avait raconté ! J'avoue qu'il n'a pas parlé de lui ou très peu... et il ne s'est pas remis en question du tout se concernant ! J'avoue qu'il était pas ouvert d'esprit et j'aurais du m'en rendre compte bien avant !!! |
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| Sayuri matsuo, 19 ans, Lille |
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J'avoue que je voudrai te rendre heureux comme tu ne l'as jamais été. J'avoue que jusqu'ici j'ai l'impression de ne rien t'apporter. J'avoue que je m'en veux pour ce que j'ai pu te dire lorsque j'avais trop bu. J'avoue que j'ai peur que tu ailles voir ailleurs car c'est ce que les autres avant toi ont fait. J'avoue que j'aimerai avoir confiance en toi mais j'avoue aussi que je n'ai plus du tout confiance en moi même. J'avoue que tu prétends m'aimer mais que je n'arrive pas à y croire. J'avoue que je t'aime mais que je ne sais pas si c'est le mieux pour toi. |
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| L'habitant, 37 ans, Nîmes |
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J'avoue toujours être aussi fou de toi. J'avoue penser à toi tout le temps. J'avoue que de ne pas te voir un jour me rends malade. J'avoue que la couleur jaune me fait penser à toi. J'avoue que ton rire est unique. Julie s'il te plaît reste comme tu es... |
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| Pluie, 32 ans, Lausanne |
| J'avoue que j'ai été stupide. J'avoue que je n'ai porté que trop peu d'attention à mon amie. J'avoue que petit à petit elle c'est distancée et que petit à petit je me suis rapproché. J'avoue que maintenant je l'aime énormément et qu'elle ma quitté hier soir. Depuis je n'arrête pas de pleurer. J'avoue que c'est trop lourd à garder pour soi. J'avoue que j'ai trop besoin d'en parler, je n'ai que ça en tête de toutes façon. J'ai mal au coeur, je me sens seul, j'ai littéralement froid à trembler, j'essaie de boire du thé brûlant mais je gèle toujours. J'ai mal à la tête, je suis comme dans un brouillard, le cerveau embué, je n'ai plus d'équilibre, la réalité est si distante... comme si je voulais partir. Je suis perdu. J'avoue ça fait mal et je n'en peux plus. J'avoue que je te dis un immense merci pour tout ce que on a vécu. |
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| Bretelle, 22 ans, Marseille |
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Ah oui je voulais aussi avouer que ça y est, je lui ai dit que je l'aimais. Et que j'avais parié avec moi-même qu'il me ferait une déclaration. Hum hum j'ai gagné. J'avoue que je suis fière de mes efforts en analyse du comportement humain. |
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| Nouille, 18 ans, Paris |
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J'avoue que l'on s'est rencontrés de façon totalement aléatoire sur internet et que j'ai eu beaucoup de chance de ne pas tomber sur une personne mal attentionnée. J'avoue que nous avons beaucoup de points communs et que tu m'as, de ce fait, plu dès le début. J'avoue que quand le jour J est arrivé et que l'on s'est rencontré pour de vrai, j'ai passé une des plus belles journées de ma vie à tes côtés. J'avoue que j'étais la plus heureuse dans tes bras ainsi que lorsque nous nous sommes embrassés. J'avoue que je rêve encore souvent de ce jour béni. J'avoue que la grande différence d'âge qui nous sépare ne me dérange pas le moins du monde et que je me fiche du regard des autres. |
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| Missprune, 33 ans, Paris |
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J'avoue que je souffre depuis deux jours... J'avoue que je suis bête d'avoir cru qu'il s'intéressait à moi. J'avoue que j'ai été bête de n'avoir pas osé le regardé, de l'avoir éviter comme s'il n'existait pas. J'ai peut être loupé ma chance encore une fois... cette satanée timidité m'a fait rater à la fois des examens, et des amours. Peut-être aussi que je me suis trompée et que ces paroles, ces regards qu'il m'adressait étaient tout simplement de la bienveillance... et c'est ça qui fait mal, de ce dire que je me suis fait probablement des illusions. J'ai 33 ans et je reste une vraie gamine avec les hommes. Vous allez rire mais dès qu'un homme me plaît, et bien je perds tous mes moyens mais tellement que je deviens froide et évitante avec lui ! Quand j'étais plus jeune, je croyais que cela passerait avec l'âge et bien non ! Voilà cela me fait du bien de pouvoir avouer cela, car je le vois tous les jours ce qui rend encore plus difficile le fait de ne plus le voir et donc de ne plus y penser... |
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| Fraise, 30 ans, Lyon |
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J'avoue, quand nous sommes devenus amants je ne pensais pas à autre chose que du sexe entre nous. J'avoue que le temps passant tu as comblé beaucoup de mes fantasmes ! J'avoue avoir pris plaisir à te surprendre aussi et j'avoue que tu fus une libération sexuelle et finalement une libération tout court sur ce que j'attends d'un homme. J'avoue adoré nos conversations, nos délires, nos caresses. J'avoue avoir quitté mon mari en partie pour toi. J'avoue que je ne pensais pas que tu aurais le cran de quitter ta femme pour moi. J'avoue que c'est la plus belle preuve d'amour que tu m'aies donné. J'avoue je suis fière de toi, que tu ne sois pas lâche et que tu assumes tes paroles amoureuses en les concrétisant par des actes plus éloquents encore. J'avoue, aujourd'hui nous vivons ensemble et je suis la plus épanouie des femmes !!! J'avoue je t'Aime mon Amour et je savoure la chance de t'avoir rencontré. Enfin j'avoue ne pas regretter que notre histoire ai commencé par une liaison, non seulement pour le piquant mais aussi parce que si nous avions écouté la société actuelle et sa morale (...) nous serions passé à côté d'un amour extraordinaire !!! J'avoue : je t'Aime, je t'Aime, je t'Aime !!! |
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| Banana, 17 ans, Berck |
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J'avoue que je ne t'oublie pas. Que je ne t'ai pas oublié. Que chaque jour, quand je vois que tu me parles, ça me fait plaisir, j'ai toujours un futile espoir que... J'avoue que je suis jalouse. J'avoue que nous deux ce n'était pas rien, j'ai essayé de te mentir, me mentir, nier cette histoire. Mais je t'aime. Je t'aime, je t'aime, je t'aime. Ca me fait mal de l'avouer. Mais pour moi notre histoire n'est pas finie. Je ne sais que penser. J'avoue que je suis perdue. |
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| Ludo, 27 ans, Bethune |
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J'avoue Mon Amour que tu m'as rendu fou ce samedi soir où tu as pris les choses en main. J'avoue que de m'offrir ce plaisir interdit durant quelques instant m'a retourné l'esprit durant toute la nuit. J'avoue quand j'ai joui et rempli ton être dans ce nouvel endroit m'a fait un bien fou. J'avoue avoir vu durant ma jouissance des étoiles et des petits papillons partout, je t'en remercie... J'avoue je t'aime plus que tout au monde. |
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| Clove, 18 ans, Paris |
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J'avoue que tu comptes tellement pour moi, je n'arrive pas à poser de mots sur ce sentiment... Tu me donnes tellement le meilleur de toi, et te voir faire de ton possible pour que je sois heureuse et comblée à tes cotés, je trouve ça magnifique. En pensant à tout ça j'ai juste envie de te serrer tellement fort dans mes bras jusqu'à que respirer te soit impossible ! Pourtant tellement de choses nous séparent : notre âge, notre culture, notre passé, elle... mais le regard qu'on pose l'un sur l'autre me donne simplement envie de croire que c'est possible. Une relation avec moi n'est pas un cadeau je l'avoue, pourtant tu as toujours été patient, compréhensif et tolérant. Tu m'as fait mûrir et tu as fais de moi une personne meilleure. Tout simplement, mon amour, merci. |
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| Yasm, 36 ans, Alsace |
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J'avais rendez-vous avec lui. Cela faisait deux mois qu'on ne se voyait que par caméra interposée. J'avais tellement imaginé ces retrouvailles, j'étais tellement impatiente de le voir, de le serrer dans mes bras et de passer un bon moment avec lui. C'est un amour interdit car je suis épouse et mère. J'ai lutté au début, mais pas assez fort certainement et il m'a conquise il y a bientôt 5 ans malgré une forte culpabilité face à ma famille. Hier, j'ai réussi à briser les chaînes. J'ai explosé. J'étais de bonne humeur, je ne voulais pas que quelque chose vienne gâcher cette soirée. Mon temps était compté : on avait deux ou trois heures au plus. Il n'avait rien organisé pour nous : pas de table au resto, ni de lieu intime. Au lieu de cela, il me propose d'aller dans les bois pour faire l'amour : j'ai halluciné ! Ensuite, son portable sonnait et sonnait et il répondait, répondait : il ne cessait d'être sollicité par ses amis avec qui il avait en fait prévu de passer la soirée ! Je lui en ai voulu, j'ai fait la tête, puis il m'a dit des mots doux et je me suis dit : profite du moment présent. Malgré mes efforts, j'ai explosé quand il a dit : "Dès que je finis, ça durera pas longtemps, j'arrive". Il faisait noir, après avoir tourné comme une imbécile à la recherche d'un resto dans un village paumé pendant un quart d'heure, j'ai garé la voiture dans une rue sombre, près d'un petit bois. Le téléphone a de nouveau sonné. Encore une phrase blessante entendue et là je suis sortie de la voiture comme une furie. Il m'a suivi me demandant ce que j'avais, j'ai pris ses affaires (quelques courses qu'il venait de faire), je les ai balancées au loin je ne sais où, puis j'ai claqué violemment toutes les portières, j'ai démarré en trombe et je l'ai laissé en plan dans ce petit bled pourri. C'est fini. Je ne referai plus 60km pour ce con. On n'en est pas à notre première dispute. Moi j'étais amoureuse, mais ça y est, il me détruit, je ne peux plus supporter son égoïsme et son manque de tact. Qu'il aille voir ailleurs. Je n'arrive pas à croire ce que j'ai fait. Pour un macho comme lui, c'est ce qu'il pouvait arriver de pire ! Je suis de nature plutôt calme. Je m'énerve et je pleure en général. J'ai pété un câble hier. C'était le point de non-retour... |
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| Lili, 40 ans, Bergerac |
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J'avoue que depuis 2 ans j'aime un homme qui a 20 ans de plus que moi, qu'il me fait rêver moi qui ne rêvais plus depuis si longtemps. J'avoue qu'il est beau, élégant et s'occupe des personnes en difficultés, sans jamais rien attendre en retour. Mes copines s'ennuient dans leurs couples, elles parlent mal à leur mari ou à leur compagnon. J'avoue que les femmes qui n'aiment plus attendent la retraite ou la mort et c'est une partie d'elles-mêmes qui est morte ; sans doute leur capacité à voir ce qui est beau chez l'autre. Elles aiment leurs enfants ce qui est normal mais savent qu'ils partiront un jour et elles aiment le shopping il faut bien se faire plaisir. J'avoue que je ne leur dis rien, je cache ma relation pour ne pas m'attirer d'ennuis. Les gens heureux doivent se cacher et se taire. Mon amoureux est l'homme de ma vie et de ma mort, je ne le quitterai jamais. Mon amoureux me traite comme une princesse et tout ce que je fais c'est pour lui être agréable. J'avoue que grâce à cet homme merveilleux j'ai ressuscité, je suis amoureuse, quand on aime on est sur un nuage, ce sont des sentiments fabuleux mais tout le monde n'est pas apte au bonheur. |
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| Coquillette, 19 ans, Périgueux |
| J'avoue sourire quand je reçois un message de lui... |
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| Ninon, 23 ans, Nord |
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J'avoue, "amour fou", c'est tout à fait ça : c'est insensé. J'avoue que ça fait quelques temps que je te l'ai avoué. Je t'aime. Plus que tout. Depuis des années. J'avoue que même ce que tu m'as répondu n'y change rien. J'avoue que je sais que je pourrais rencontrer quelqu'un d'autre, qui me correspondrait aussi. Mais j'avoue que ce sont mes tripes, mon coeur, mon cerveau, le creux de mon estomac et le noeud dans ma gorge qui m'empêchent de t'oublier et me disent que c'est toi. J'avoue que je ne peux m'empêcher de croire que je sais que tu changeras d'avis. Je sais que la meilleure façon de ne pas avancer, c'est de suivre une idée fixe. Alors j'avoue que je mets tout ça de côté, en apparence, et que j'avance. J'avoue que c'est en espérant que j'avance vers toi. J'avoue que, même si c'est stupide, je n'abandonnerai pas. Je t'aime. |
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| Lullaby, 28 ans, Paris |
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J'avoue que je t'aime, on n'est sortis que 3 semaines ensemble, j'ai honte, j'ai l'impression d'être une adolescente... Ces quelques jours à Barcelone étaient magiques, j'ai vraiment cru à la naissance d'une belle histoire... C'est toi-même qui me parlais d'amour passion, c'est toi qui me disais qu'on retournerait à Barcelone, c'est toi qui me disais que tu viendrais vivre à Paris en partie pour moi... J'adorais nos conversations, nos délires, notre complicité, quand tu me chuchotais des mots en espagnol... Je t'aime... Je t'aime... Tu as pas idée comme je t'aime... Et j'ai honte... 3 semaines... et Psssht !!! Tu as disparu, tu t'es envolé. J'en ai assez d'interpréter, d'attendre, d'espérer, je me taperais la tête contre les murs par moments... J'étais convaincu que tu étais mon âme soeur... Rencontrerai-je un jour autant de bonheur avec quelqu'un ? Alors qu'avant de te rencontrer je ne voulais me mettre avec personne... La vie est cruelle... Ca va faire un mois et quelques maintenant que tout ça est terminé, mais la douleur est de plus en plus violente... Je devrais t'en vouloir, je te déteste parfois... Mais dans le fond, si je te revoyais, je n'aurais qu'une envie : que tu me serres dans tes bras. La vie est cruelle... Et pourtant, c'est tellement banal tout ça... |
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| Anne-laure, 26 ans, Paris |
| J'avoue, comme chaque début de semaine, je sens comme une boule dans mon ventre. Cette sensation, je la ressens lorsque je suis dans le métro, lorsque je me dirige vers chez toi pour prendre mon cours particulier. Car tu es mon prof... Et chaque semaine, j'avoue que j'ai du mal à me concentrer et tu me reproches souvent d'être stressée. Mais chéri, petit mec, tu ne vois pas que c'est toi qui me plaît ! |
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| Caroline, 24 ans, Paris |
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Paris, métro ligne 1 Franklin Roosevelt, samedi 5 novembre 2011. J'avoue avoir eu un coup de cœur pour toi. Je monte dans le métro direction La Défense. J'étais avec 2 amies. Quand le train a démarré, j'ai failli tomber sur toi ! Je t'ai lancé un grand sourire et tu me l'as rendu. J'ai, malheureusement, dû te tourner le dos. Une amie m'a dit que tu continuais à me regarder et sourire. Je suis descendue à Charles de Gaulle Étoile. Je suis brune et je portais un manteau gris. J'avoue que j'aimerais vraiment te revoir ! |
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| Chocolat, 30 ans, Lyon |
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J'avoue, lorsque j'ai trompé mon mari avec toi je ne pensais pas que ça durerait si longtemps. J'avoue tu m'as donné la force nécessaire pour le quitter en douceur. J'avoue tu m'as permis de libérer mon corps, de comprendre ses envies auxquelles tu réponds si bien. J'avoue j'adore faire l'amour avec toi. J'avoue tu as une femme et tu hésites entre nous deux. J'avoue je ne t'aime que parce que tu représentes le fruit défendu. J'avoue que contrairement à ce que je te dis, je ne supporterais pas de faire ma vie avec toi. J'avoue on a 18 ans d'écart. Tu en as profité au début puis tu es tombé amoureux, j'ai cru tomber amoureuse de toi au début mais maintenant je sais que c'est de l'attrait charnel, un bon moment mais... pas plus ! J'avoue tu m'as aidé à franchir un cap mouvementé mais capital cette année et que rien que pour ça, je t'aime. J'avoue te voir torturé entre ta femme et moi m'amuse et je trouve que c'est un juste retour des choses toi qui a tant fait souffrir les autres juste pour passer un bon moment. J'avoue, tout ce que je te dis, tous mes mots d'amour c'est simplement pour faire l'amour avec toi... et c'est tout. |
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| Laaaaure, 25 ans, Paris |
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J'avoue que lorsque tu es en face de moi, j'ai du mal à cacher ce que j'éprouve. C'est aussi gros qu'une 4x3. J'avoue que tu m'impressionnes, tu as du charisme et tu le sais. J'avoue que tu es un tout petit peu plus jeune que moi, et je sais que tu n'es pas vraiment un garçon sérieux. J'avoue que j'ai du mal à m'arrêter de m'imaginer que je t'embrasse et que tu me prennes dans tes bras. J'avoue que tu me plaîs et ça, ce n'était pas du tout prévu. Je vois bien que je ne te laisse pas indifférent, mais je vois aussi que tu t'amuses un petit peu de moi. J'avoue qu'on a une relation un petit peu étrange. |
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| Zougoulou, 25 ans, Lille |
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J'avoue notre histoire fut brève et éphémère. Quelques semaines à peine il y a une année de cela. J'avoue, je pensais que je finirais par t'oublier mais malgré le temps qui passe, pas un jour ne s'écoule sans que ton prénom me revienne en tête. Tu m'as fais tellement mal pourtant, moi qui suis la première à dire qu'aucun homme ne mérite qu'on se prenne la tête pour lui. Mais chaque soir, dans la solitude de la nuit, je repense à toi, à ton sourire, à tes bras et je me rends compte que tu me manques. Oui, malgré mon semblant d'indifférence et mon silence je ne t'ai pas oublié... Peut-être qu'un jour en passant par là, tu te reconnaitras et sans aucun doute je nierai être l'auteur de cet aveu, mais parce que ça fait du bien de le dire ici : Je t'aime toujours mi amor... |
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| Row, 20 ans, Strasbourg |
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J'avoue n'avoir jamais été amoureuse à ce point, j'avoue même avoir cru que cela était impossible. J'avoue t'aimer à en crever, jusqu'à être capable de t'offrir mon coeur encore chaud et ensanglanté sur un plateau si tu me le demandais. J'avoue n'avoir qu'une seule idée en tête depuis quelques mois, celle que tu me fasses l'amour comme un dingue jusqu'à tomber d'épuisement. J'avoue que le simple fait d'évoquer publiquement ton prénom me donne des palpitations telles que cela parfois m'inquiète sérieusement. J'avoue ressentir souvent le besoin d'écorcher vif les personnes avec lesquelles tu passes tes journées quand je ne suis pas là. Mon dieu A., j'avoue que tu es ma plus grande faiblesse. |
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| Rikyky, 20 ans, Toulouse |
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J'avoue qu'au début, tu m'as intimidé. J'avoue que tu as été un vrai gentleman. J'avoue que t'entendre parler ta langue maternelle me fait vibrer. J'avoue que tu es un travailleur acharné et que parfois, je suis déçue que tu ne passes pas plus de temps avec moi. J'avoue que je suis jalouse (sans le montrer) des filles que tu fréquentes amicalement... mais Chéri, avec tes antécédents de Grand Don Juan, j'ai de quoi m'inquiéter un peu, non?! J'avoue, j'avais le choix : être une copine sur-protectrice et jalouse à mort ouvertement ou être une copine tolérante et qui respecte son homme. J'ai pris le deuxième choix. Tu vois, je te laisse libre comme l'air, je ne te fais pas de crise de jalousie, nous ne nous sommes d'ailleurs jamais disputés. J'avoue, par amour pour toi, et parce que tu as 10 ans de plus que moi, je t'ai laissé voler de tes propres ailes. J'avoue que je t'avais dit avant que tu ne partes au bout du monde, que tout ce que tu vivras, tu le vivras sans moi, puisque tu ne m'as pas invité à t'accompagner. J'avoue que je t'ai dit que tous les souvenirs que tu auras, tu ne pourras jamais vraiment les partager avec moi, jamais tu ne pourras me dire "souviens-toi quand on était là bas !". J'avoue, tu ne me croyais pas avant ton Départ. J'avoue qu'aujourd'hui, tu me supplies de venir te rejoindre, j'avoue que tu as enfin compris à quel point je t'aime, j'avoue que tu es enfin accro à moi... mais Chéri je n'ai pas les moyens de venir te voir ! Pourquoi, quand j'ai pleuré dans tes bras la veille de ton Départ, ne m'as tu pas demandé de t'accompagner ? J'avoue que tu es loin, que tu me manques jour après jour, que je compte les mois, les semaines, les jours, les heures sans toi. J'avoue que je passe des heures à me remémorer nos souvenirs, notre vie passée, nos éclats de rire, nos peurs, nos rêves. J'avoue, je te laisse et te laisserai toujours libre Chéri, n'oublie pas ta promesse. J'avoue qu'un seul faux pas de ta part m'anéantirai. |
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| Missdeparis, 23 ans, Paris |
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J'avoue que je commence à m'attacher à toi. J'avoue que je ne sais pas si de ton côté c'est le cas. J'avoue que ça serait beaucoup, beaucoup, plus simple si on était pas tous les deux en couple. J'avoue que cette situation me rend dingue ! J'avoue que je ne peux me détacher de toi car tu me plais trop. |
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| Mw1909, 28 ans, Grenoble |
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J'avoue t'aimer depuis le 1er jour, j'avoue t'avoir fait beaucoup de mal, j'avoue avoir passé les 10 dernières années à m'en vouloir et à me punir pour ce que j'avais fait, j'avoue n'avoir jamais aimé personne après toi. J'avoue t'aimer encore plus que tout, j'avoue ne vouloir sentir que tes lèvres sur les miennes, que tes mains sur mon corps, j'avoue que tu es le seul à qui je pourrais dire "oui". J'avoue que te revoir me rend heureuse, j'avoue ne plus jamais vouloir être séparée de toi, j'avoue que je comprends tes craintes, mais je sais au fond de moi qu'elles disparaitront avec le temps et que je pourrais panser les blessures que je t'ai moi-même infligées. Je t'aime. |
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