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Parpygirl, 25 ans, Paris
J'avais envie de faire comme l'une des avoueuses et faire une rétrospective de mes amours inavoués.
J'avoue que je trouvais Romain, en primaire, très éloquent.
J'avoue que mon cousin Kévin m'a toujours fait de l'effet, je ne saurais expliquer ni comment, ni pourquoi. Il est une sorte d'idéal, de fantasme. On ne s'est jamais parlé. Et je reste persuadée qu'on est les cousins les plus semblables de la famille.
J'avoue pour un autre Kévin, le fils d'amis de mes parents, il m'a aussi toujours fait un peu d'effet, même s'il m'obligeait à jouer aux Action Man pendant des journées entières.
J'avoue pour Valentin, au collège. Mais ma copine Béatrice avait déjà la cote avec lui. Comme toujours. J'avoue qu'aujourd'hui, je n'en ai rien à faire. Tu es sûrement devenu agriculteur et c'est pas mon rayon préféré.
J'avoue pour Pierre, en quatrième. C'est parce qu'il était tout frêle, habillé en aristocrate que, quand il m'a dit qu'il avait un faible pour moi, j'ai préféré écouter les apparences, aussi moche étais-je pourtant.
J'avoue pour Younes, que j'en avais de réels fantasmes.
J'avoue pour Olivier : tu étais vraiment très moche mec !
J'avoue que tous ces types-là, je ne les ai jamais touchés.

J'avoue que pour Soufiane, même si tu m'as trompée, tu restes malgré tout/malheureusement quelqu'un de trop important dans ma vie. Tu as ton chapitre dans ma biographie.
J'avoue pour le mec d'avant, qu'il était trop flippant. Qu'il a aussi droit à un chapitre, mais ce n'est pas par mérite. J'avoue que j'aimerais le voir subir une peine de détention pour tout ça.
J'avoue pour Maiga, que, tu étais vraiment adorable. Mais vieux. Et insensé.
J'avoue pour le yéménite, nous ne nous sommes juste embrassé. J'avoue que c'était totalement anomique, que nous avons cherché un hôtel pour passer la nuit et que personne ne nous a acceptés. J'avoue qu'en voyant ton pantalon trop grand que tu remontais sans cesse, je réalisais la dimension de mon erreur. J'avoue que j'ai un peu honte, mais Dieu soit loué cela ne se passe pas comme ça en France. Sinon je ne serais déjà plus qu'une traînée.
J'avoue pour Younes (un autre) : ton menton était trop saillant. J'ai une question pour toi : t'as déjà remarqué combien ta poitrine virait féminine et comme tes épaules remontaient ?
J'avoue pour Lhadi : tu es complètement fou.
J'avoue pour... Mince, je ne sais plus son nom : il m'a dragué, on a couché ensemble et on ne s'est plus jamais revus. J'avoue que je te trouvais idiot quand tu me parlais de tes projets de thèse en psychanalyse.
J'avoue pour Issam : sais-tu aujourd'hui tenir plus de deux minutes au lit ?
J'avoue pour Renaud : trouve un moyen, mets-toi d'accord avec toi-même : soit sois sympa et clair, soit sois stupide et lâche, mais pas les quatre en même temps. Merci. Parce que j'avoue que toi aussi, tu auras droit à ton chapitre. Sois-en digne, je ne voudrais pas faire de toi quelqu'un d'important si je ne compte pas au même point pour toi.
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M., 19 ans, Dijon
J'avoue que depuis quelques temps, je réalise que j'ai fait une connerie.
Quand je suis sortie avec ce salaud qui au final m'a franchement prise pour une conne, je t'ai mis de côté.
J'avoue que je le regrette amèrement, parce que tu es un mec génial qui mérite d'être heureux. J'avoue même que tu me manques énormément, et que j'aurais aimé réparer cette erreur mais c'est maintenant trop tard.
J'avoue que maintenant tu es en couple et que je ne supporte pas de te savoir dans ses bras, même si tu l'aimes et qu'elle, elle sait te rendre heureux.
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Lili170904, 25 ans, Lissieu
J'avoue que je viens de me marier mais que je suis toujours amoureuse de mon premier amour.
J'avoue que je pense souvent à lui et rêve secrètement de le retrouver.
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Petite-miss, 23 ans, Nantes
Je suis en couple depuis plus de 4 ans et demi. Je dirais pas que je suis malheureuse avec lui même si parfois il me blesse, me vexe, ben j'ai rencontré un gars il y a un mois de cela, et il me fait rire, me donne le sourire au lèvre il m'envoie des texto, et j'ai peur d'être tombée amoureuse de lui.
J'ai peur car je ne sais pas trop quoi faire soit j'avoue à ce mec-là qu'il y a cette attirance ou je me tais et continue avec mon copain actuel je suis perdue.
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Belle, 35 ans, Belgique
'Tain, mais qu'est ce qui t'as pris de déménager !!!
C'est pas possible je vais péter un cable, j'ai envie de hurler, de pleurer... en plus pour l'instant j'arrête pas de penser à toi et la tu te casses. 6 ans qu'on se parle plus mais on avait encore l'opportunité de se croiser dans notre ville, mais là ???

Promis, si je te croise, ici, prochainement, j'arrête ta caisse... il faut que je te parle... tu me manques trop, j'en meurs à petit feu... Fais-moi un signe, passe par ici, appelle moi, je sais pas fais quelque chose !!!

Je t'aime encore mon petit coeur...
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Aldine Effilat, 22 ans, Toulouse
J'avoue que cela fait plus de six mois que je cherche l'amour de ma vie.
J'avoue cette fille est grande, élancée, a une voix mélodieuse, une silhouette harmonieuse.
Elle est radieuse sans maquillage, n'utilise aucun subterfuge et est toujours aussi séduisante même quand elle porte un sweat à capuche !
Partante pour bouger, voyager et découvrir le monde... Elle aime rire et vivre la vie.
Elle est honnête, aimante et amoureuse de moi, cela va de soi.
J'avoue qu'elle ne fume pas, elle ne se bouffe pas les ongles et sait être coquette.
Elle est équilibrée et pleine de joie.
Ce brin de femme est un cordon bleu et m'épatera toujours avec ses talents culinaires.
Elle aime vraiment, elle veut fonder une famille et ne pensera pas à prendre ses cliques et claques à la première scène de ménage.
Elle est riche, on peut rêver ?
Je l'avoue ici... Elle est sûrement là, qui sait ?
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Madamoiselle, 18 ans, Lille
Monsieur du bus n°59 en direction de Fort de Mons, riant d'une sonnerie Totally spies et ayant de magnifiques yeux bleus, voulez-vous m'épouser ?!
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P'tite tête, 25 ans, Bayonne
J'avoue que si il ne fait pas un minimum d'effort sur ce coup là... J'arrête !!! Ca va bien d'être à ses pieds comme une conne. J'ai autre chose à faire, à vivre aussi.
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Marie, 16 ans, Toulouse
J'avoue t'aimer comme une folle et être jalouse dès qu'une autre t'approche.
J'avoue essayer de te rendre jaloux juste pour que tu me prouves que tu m'aimes.
J'avoue que tu me manques.
J'avoue être dégoutée de moi même en t'envoyant des messages comme ça.
J'avoue que je t'aime et que j'ai peur de te perdre.
J'avoue que je suis désolée de comment je me comporte avec toi alors que j'serais rien sans toi N.
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Melle_printemps, 21 ans, Paris
J'avoue que je revois mon psy, et que ça n'a pas l'air de m'aider plus que ça.
J'avoue qu'il m'a dit que j'étais un peu trop dans les extrêmes, avec moi c'est tout ou rien. Je veux bien admettre que j'étais comme ça avant, pourtant je ne pense plus l'être, ou plus autant.

Tout ça pour laisser apparaitre le fameux sous-entendu "Vous l'aimez trop, vous vous accrochez et vous ne devriez pas".
Alors, mettons les choses au point : Oui, je l'aime trop, mais non je ne me m'accroche pas. Même s'il y a toujours cette lueur d'espoir de le retrouver un jour, je ne tente pas désespérément qu'on se remettre ensemble.

J'avoue, oui, je préfère souffrir de l'aimer en silence que de le lui dire, ou de couper les ponts, ou je ne sais quoi d'autre. Pourtant, je ne suis pas masochiste.

J'avoue je ne sais juste pas aimer à moitié. Mais me demander de passer à autre chose maintenant c'est au-dessus de mes forces. Quand on aime vraiment, on garde des marques indélébiles dans notre cœur. On peut essayer de les dissimuler mais elles seront toujours là ; et selon la force de l'amour porté, elles sont plus ou moins profondes... On empêche pas un cœur d'aimer.

Tous autant que vous êtes, famille, amis, etc., sachez que je ne dis jamais tout ce qui se passe dans ma vie. Alors, acceptez-moi comme je suis et arrêtez de me juger.

Merci Javoue.com de me laisser m'exprimer !
J'avoue, j'aimerais tellement que ça se passe autrement...
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Andro, 29 ans, St Omer
J'avoue que 10 ans ont passé, j'avoue que le temps ne guérit rien, j'avoue que tu me manques affreusement, j'avoue que j'ai fait énorme bêtise en te quittant.
J'avoue ne jamais avoir trouvé de solution et assez de courage pour réparer mes erreurs, j'avoue que tu as, que tu es, et que tu seras la femme de ma vie, et que je t'aime... Ticoeur
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Pantoufle de terre, 16 ans, Arras
J'avoue que je ne sais pas où j'en suis. J'avoue que je souffre terriblement lorsque je sais que tu es avec elle. Et ce, même si tu me répètes que tu n'aimes que moi. J'avoue que je trouve ça injuste que tu n'oses pas la quitter de peur de lui faire du mal. J'avoue que je ne comprends pas, car par conséquent c'est moi qui meurt de chagrin.
J'avoue que malgré tout ça, je reste là à attendre qu'on ne soit plus que tout les deux, car j'aime ce que tu m'apportes. J'avoue que contrairement à ce que je t'ai dit, tu es mon premier vrai copain. J'aime quand tu me dis que je suis un phéromone sur pattes, quand tu me dis que je suis une petite bombe et que tu me ressens de partout. J'avoue aussi que lorsqu'on se voit, j'aime que tu me caresses de partout. Putain, si seulement il n'y avait pas elle... Je serai sereine, je pourrai te faire confiance à cent pour cent. Et il y aurait 80% de prises de tête en moins. Actuellement tu es avec elle, et ça me déchire. J'ignore comment tu te comportes avec elle, tu me dis que tu ne l'aimes pas mais vous ne devez pas enfiler des perles... Je t'en prie. Vire la. Ou je te jure que je partirai, même si ça me fendrait le coeur.
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Noemi, 52 ans, Mar del Plata, Argentine
J'avoue que je t'aime à la folie, mon amour. Je ne pense qu'à toi, qu'à t'embrasser, qu à te faire l'amour de nouveau.
J'avoue que je suis de plus en plus heureuse et amoureuse de toi, chaque jour, depuis deux ans.
J'avoue qu' aujourd'hui, 10.000 km nous séparent, mais un jour, nous serons ensemble.
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Laura, 18 ans, Nantes
J'avoue que j'arrive pas à te sortir de ma tête. Même si il ne s'est jamais rien passé d'officiel entre nous. Tu l'as voulu, une fois, mais je t'ai repoussé, n'étant pas assez mûre ni à l'écoute de mes sentiments. Et c'est moi, maintenant, qui pense à toi quasi tous les jours depuis 2 ans maintenant. J'en ai connu un autre, entre temps, qui m'a fait t'oublier pendant 6 mois, mais peu après qu'il soit parti, tu étais de nouveau dans ma tête. Alors j'attends, et je n'ose pas te reparler, parce que je ne saurai pas quoi te dire.
On m'a dit que mon refus t'avait sérieusement blessé, et que tu avais gardé de la rancune envers moi pendant longtemps. Mais maintenant ? J'avoue que je ne comprends pas trop ce qui m'arrive, et que cette obsession presque maladive commence à peser lourd.
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Deepestmelancholy, 17 ans, Lyon
J'avoue que tu me manques de plus en plus, à chaque jour qui passe. Tout me ramène à toi. Des lieux, des histoires, des amis en commun, des endroits où je passe. Je repense à nos câlins sur ton canapé, en regardant ton film préféré. De notre premier baiser. Tout ces moments qui ont été si heureux en ta présence.

Mais j'avoue aussi que j'ai été une vraie garce en te larguant de cette manière. Surtout pour un manque de sentiments qui ne datait que d'une semaine. Si je n'avais pas été aussi conne, cela ferait bientôt sept mois que nous aurions été ensemble. Mais non, tu sors avec une de mes amies proches. Vengeance ? Qui sait, mais je l'ai bien mérité.
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Oxymoriste, 43 ans, Paris
J'avoue que je suis tombé sous son charme.
J'avoue que je l'ai vraiment aimé.
J'avoue qu'en sa présence plus rien ne comptait.
J'avoue que jamais je n'ai ressenti autant pour une femme.
J'avoue qu'elle vient de me quitter.
J'avoue que je suis inconsolable.
J'avoue que tout me parait bien fade à présent.
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À la gare j'ai perdu mon mouchoir, 32 ans, Strasbourg
J'avoue que depuis quelque temps je vie une histoire magique ! J'avoue que cette personne me fait rêver, trembler, aimer, fantasmer. J'avoue que nous nous sommes revus plusieurs fois. J'avoue qu'elle m'a bluffé en me déposant une lettre à un guichet SNCF avec pour mission de la récupérer auprès d'une agent complice ! Merci encore pour cette fabuleuse surprise et merci aussi aux agents SNCF complices.
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Lailoun, 25 ans, Rome
J'avoue que je suis amoureuse d'un garçon que je dis presque à tout le monde que je le hais.
J'avoue qu'on a passé, lui et moi, les plus beaux moments de toute notre vie et que c'est comme ça que je l'ai beaucoup apprécié.
Il m'a embrassé à plusieurs reprises oui je l'avoue et je n'ai pas pu dire non puisque je l'aime.
J'avoue aussi que je suis très jalouse d'une fille qui m'accompagne beaucoup durant nos voyages en France habituellement (je suis tout le temps là-bas).
J'avoue que je la hais cette fille et qu'elle est toujours là pour gâcher mon bonheur et ma vie et j'en ai marre ; j'en peux plus et je ne veux plus la voir à mes cotés.
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Bretelle, 25 ans, Marseille
J'avoue que j'ai appelé mon ancien opérateur pour annuler la résiliation de mon contrat afin de garder le même numéro plutôt que d'en avoir un nouveau comme je le souhaitais... parce que j'ai donné mon numéro à un garçon complètement affolant et dont je suis folle d'impatiente qu'il m'appelle !
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Zougoulou, 25 ans, Lille
Je ne sais pas vraiment pourquoi j'y pense comme ça. Le fait est que depuis deux ans maintenant, je crois bien que pas un jour n'est passé sans que son prénom me vienne en tête.
J'avoue que depuis mon précédent aveu, j'en suis plus ou moins toujours au même point. Peut-être un peu plus forte en apparence.

Je ne lui écrit plus même si parfois je voudrais qu'il sache combien il me manque et combien son visage me hante. Je ne m'explique pas pourquoi, après toute cette souffrance il est encore la, enfoui dans un coin de mon coeur.

Parfois je me surprend à imaginer son amour, à rêver sa tendresse et ses baisers... Pourtant je sais bien qu'il n'y aura pas de retour en arrière.

Avancer et oublier c'est tout ce que je devrais faire. Mais comment le dire à mon coeur qui est bien plus fort que la raison ?

J'avoue je ne veux plus laissé filer le présent et passer à coté de choses qui pourraient me rendre si heureuse.

J'avoue que je l'ai rencontré lui, qu'il est parfait, si doux et si attentionné. J'avoue qu'il me soigne jours après jours avec toute sa patience et son amour. J'avoue je voudrais l'aimer autant que toi mais ce passé m'en empêche...

J'avoue mon cher passé, je voudrais te dire te amo une dernière fois et te laisser derrière moi...
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Lola, 25 ans, Metz
J'avoue que je t'aime encore... Envers et contre tout... J'avoue que me dire que tu t'intéresse maintenant à une autre me brise le coeur... Tu deviens de plus en plus distant avec moi, me parle mal mais pourtant mon coeur n'est pas guéri de toi... J'aimerais tellement que tu m'aimes à nouveau. J'avoue que je t'ai fais du mal et que je le regrette amèrement. Je voudrais effacer mon erreur. Etre celle que tu attends.

J'avoue que tout cela est impossible car tu ne m'aime plus...

Alors je souffre, en silence, d'avoir perdu l'homme de ma vie... Je t'aime.
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Babey-babey, 26 ans, Paris
J'avoue que même après tout ce temps, je suis encore folle amoureuse de toi. Personne ne le sait clairement, tu ne devais pas être mon amant.
J'avoue que tu me manques terriblement et j'avoue que ça me bouffe d'avoir laissé ma place à une autre et tout ça c'est de ma faute.
Mais j'avoue qu'il y a 3 ans, j étais plus jeune et pas prête pour toi, pour ton histoire, tes bagages.
J'avoue que j'en ai encore ce nœud au ventre au moment de notre au revoir.
J'avoue que j'aurais aimé te rencontrer aujourd'hui, j'ai le recul nécessaire pour pouvoir t'aimer et que tu m'aimes sans avoir peur baby.
J'avoue que j'espère qu'un jour tu réapparaîtra dans ma vie. J'avoue que c'est méchant pour ta copine car ça voudrait dire qu'elle ne le serait plus... Mais j'avoue que j'm'en fou de cette fille qui, elle, dort dans tes bras à cette heure-ci.
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Izzie, 21 ans, Toulouse
J'avoue qu'on est sacrément complices toi et moi et que je ne pensais pas que tu t'intéresserais à moi.
J'avoue que je te pensais être l'un de ces tombeurs, que je n'allais pas revoir le lendemain. Mais j'avoue que je m'étais trompée.

J'avoue avoir été étonnée que tu m'intègres aussi facilement dans tes différents groupes d'amis. J'avoue qu'on a les mêmes délires un peu crades tous les deux, qu'on rigole des mêmes choses et surtout beaucoup de nous. Mais aussi de l'infidélité, de l'échec, du sexe sale... avec toi, je ris constamment même des thèmes les plus noirs. J'avoue qu'on prend plaisir à se taquiner, à se dire des choses faussement méchantes mais c'est ce qui fait partie de notre complicité.

J'avoue qu'il y a aussi un violent désir charnel entre nous, que tu es le seul à m'avoir fait atteindre l'orgasme et le seul qui m'a fait ressentir ce besoin quasi étouffant, presque douloureux de t'avoir près de moi. Et au-delà de ça, je sens aussi beaucoup d'attentions de ta part.

Je crois qu'aucun de mes copains n'a eu autant de pensées pour moi. J'avoue que le coup des viennoiseries au réveil, le jour de mon anniversaire avec son collier mignon mais pas kitch, a fait son effet. Mais j'avoue qu'il y a pleins d'autres instants comme ça où je me dis que tu es l'homme parfait.

J'avoue que tu es sacrément sexy, même si tu ne le sais pas, drôle et surtout généreux. Mais j'avoue que notre humour piquant et notre relation de couple indépendant, cool et sans fioriture, ne m'aide pas à te dire que je tiens à toi plus que de raison.

J'avoue que lorsque j'ai reçu ces messages de toi en pleine nuit, alors qu'on ne s'était pas vus pendant trois semaines et qu'il n'est pas prévu qu'on se voit avant septembre, j'ai eu le coeur qui battait fort : "Je crois que je suis raide dingue de toi et tu me manques furieusement."

J'avoue que ça ne te ressemblait pas, mais qu'à cet instant j'étais la plus heureuse des femmes et que j'ai souris bêtement pendant trois minutes mais que comme d'habitude, j'ai répondu un truc à la con par peur de t'en dire trop. "Drague d'autres filles :)" Et que ta réponse m'a surprise mais ô combien fait plaisir "T'es nulle... je suis en boite là et il n'y en a aucune qui t'arrive à la cheville... voilà ! Je t'aime et j'ai pas été foutu de te le dire jusque là. Donc si tu avais été tenté par quelqu'un d'autre, dis-le moi maintenant...".

J'avoue que je ne savais pas quoi répondre à part que tu me manquais. Mais je ne suis pas sûre que c'est ce que tu attendais et ce que j'attendais non plus. J'avoue surtout que je suis juste une handicapée des sentiments qui n'a pas été fichue de te rassurer et de te crier ce que j'avais sur le cœur depuis longtemps. J'avoue que je t'aime aussi et que tu es la meilleure chose qui me soit arrivée jusqu'à présent.
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Ohèvhayim, 30 ans, Paris
J'avoue que ces trois mois ont été inattendus.
Trois mois magiques passés à tes côtés...
J'avoue que notre relation n'était pas légitime, tu avais quelqu'un de ton côté, tu me l'avais dit et c'est pour cela que je pensais que rien ne se passerai.
Or, ce soir-là, tu m'a charmé, tu m'a envouté, je suis tombé amoureux de toi.
J'avoue que nous avons passés des moments inoubliables, des moments tendres où j'ai découvert un amour de femme en toi.
J'avoue que j'ai pensé que tu étais la femme de ma vie.
J'avoue que tu sais être adorable mais que tu sais être capricieuse et ne sais pas apprécier des belles choses qui nous entourent. J'avoue ne pas te comprendre...
J'avoue qu'on ne se voit plus et que je suis très étonné de voir comment tu as pu passer de la femme amoureuse à la femme insensible qui me laisse tomber comme une serpillère.
J'avoue que je t'aime encore et j'ai du mal à t'oublier A.
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Melle_printemps, 21 ans, Paris
J'avoue que je ne sais plus comment agir. Avec toi, avec les autres. Je dis à tout le monde que ça va, mais dès que je suis seule, je ne fais que pleurer. J'avoue que personne ne m'a jamais manqué à ce point là, j'avoue que je n'ai jamais aimé personne comme ça.

J'avoue que je ne comprends pas pourquoi je n'arrive pas à te parler malgré tout ce que j'aimerais te dire. Tu penses que "c'est mieux comme ça" mais j'avoue que je n'arrive pas à m'y faire... J'ai tout le temps envie de te câliner dès que je te vois, c'est tellement difficile de ne pas le faire !

J'avoue que même si je le voulais, je ne peux pas me passer de toi, de nos discussions, de nos câlins...
Le peu de personnes avec qui j'ai voulu en parler m'ont dit "ça passera blablabla..."
Mais j'avoue que je ne vois pas très bien où la vie peut me mener sans toi. C'est con je sais, mais je t'aime et je n'y peux rien. Tu me manques tellement...
Quoiqu'il arrive, je pense que jamais plus je ne vivrais quelque chose comme ça (Je ne suis pas fataliste, juste réaliste, quand on casse un objet et qu'on essaie de le réparer, il ne retrouve pas exactement son aspect de départ, on voit les marques...).

J'avoue que je fais ma vie en essayant de ne pas penser à ce qui pourrait arriver, je ne m'attends plus à ce que tu reviennes...
Mais j'ai tant besoin de toi, j'avoue que j'aimerais qu'on reste très proches...

J'avoue que je suis complètement perdue mais tant qu'on sera là l'un pour l'autre, ensemble ou pas, je m'en fous complètement.
J'avoue que même si ne plus être avec toi me rend malheureuse, je suis vraiment contente de te connaitre, d'avoir la chance d'être là pour toi, et j'espère pour longtemps.
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