1 aveu trouvé
Nous sommes sur la page 1 / 1
Jinx, 44 ans, Metz
|
J’avoue qu’après notre première rencontre, je n’étais pas sereine à l’idée de travailler avec toi. Je te trouvais assez intimidant, froid, et peu enthousiaste à l’idée de m’avoir dans l’équipe…
J’avoue m’être trompée ! Tu es drôle, mais vraiment, à un point ! J’adore ton humour irrévérencieux, j’ai rarement autant ri de ma vie qu’avec toi. Tu es prévenant et attentionné. J’ai remarqué tes efforts pour m’intégrer après que tu m’aies entendue dire à quel point mes anciens collègues me manquaient, et ça m’a beaucoup touché. Ton côté râleur et bougon, brut de décoffrage, ne suffisent pas à cacher ton cœur en or et ta sensibilité.
J’avoue que tu as rebattu les cartes dès notre premier jour de travail ensemble et que c’est un bonheur de bosser avec quelqu’un avec qui je partage tellement de goûts.
J’avoue que quand nos collègues me disent qu’on est trop mignons tous les deux, que tu as changé depuis mon arrivée ou que je semble t’apaiser, ça me fait quelque chose.
J’avoue que je suis plus que sensible à ton sourire de fauve, à ton odeur, à la lumière dans ton regard quand tu me parles. J’adore quand tu t’assois près de moi, quand on se frôle par accident, quand tu me tapotes la tête en disant « elle est gentille » et que ta main reste une seconde de trop sur mes cheveux.
J’avoue, j’ai très, très envie de toi. Je ne peux qu’imaginer l’alchimie que nous avons déjà, transposée dans un lit. Ou sur ton bureau. Où tu veux, quand tu veux, autant que tu veux. Que ce soit sage, sale, fou, plein de tendresse ou très vilain, je suis certaine qu’on saurait se faire jouir à en perdre le souffle. Tu n’imagines pas combien de fois par jour je pense à ce que je te ferais si….
… si nous n’étions pas tous deux mariés et heureux dans nos vies de couple, si tu n’étais pas mon chef, si nous n’étions pas l’un comme l’autre des gens raisonnables et avant tout professionnels.
Alors j’avoue, je garde pour moi mes envies, je fais taire mes sentiments, et je me contente de mesurer la chance que j’ai de t’avoir, toi mon « mari de bureau » (comme te surnomme le mien), en tant qu’ami.
Et j’avoue n’avoir pas du tout hâte de venir dîner chez vous ce week-end, de peur que ne saute aux yeux de ceux qui partagent nos vies depuis si longtemps, ce que toi et moi faisons mine d’ignorer depuis toujours.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
© 1998 - 2025 Javoue.com - tous droits réservés
- Haut de page
Développement assuré par Gilou
|