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57 aveux trouvés
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Paracétamol, 27 ans, Paris
J'avoue qu'à bientôt 28 ans je ne sais pas trop quoi faire de ma vie.
J'avoue que je me sens toujours un peu "à côté", car je n'ai pas les mêmes envies que la plupart des gens : pas envie de me marier, ni d'avoir des enfants, ni d'être propriétaire...
J'avoue que professionnellement il va falloir que je me bouge si je ne veux pas moisir là où je suis actuellement.
J'avoue que les métiers que j'aimerais faire obligeraient à un changement de vie.
J'avoue que je sais que je ne peux pas rester comme ça, mais que tout bouleverser me fait peur.

J'avoue que je couche toujours avec mon collègue, cela fait presque un an maintenant.
J'avoue que jusqu'à présent, personne ne se doute de rien, et que j'ai parfois peur de lâcher un indice sans faire exprès, tellement le mensonge est devenu naturel.
J'avoue qu'il me fait toujours autant d'effet.
J'avoue qu'il n'a pas une super santé et qu'il a toujours un truc de travers et que ça me gave car du coup cela repousse parfois nos parties de jambes en l'air.
J'avoue que cet après-midi je suis passée chez lui et qu'il m'a donné plusieurs orgasmes comme il sait le faire.

J'avoue que ce matin j'ai quitté le lit d'un autre, et que ce n'est pas la première fois que j'enchaine deux mecs en moins de 24h, voire parfois en une soirée.

J'avoue que je me tape aussi un de mes coachs au sport, qui a un corps de dingue. J'avoue qu'il est marié et papa, mais que je m'en fous.

J'avoue que j'adore draguer, j'adore séduire, j'adore arriver à mes fins, j'adore découvrir une nouvelle façon d'embrasser, j'adore découvrir un nouveau corps, une nouvelle odeur...
J'avoue que je pense tout le temps au sexe.
J'avoue que pour certaines personnes je pourrais passer pour une salope, mais pour moi ce qui compte c'est de prendre son pied.
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Paracétamol, 27 ans, Paris
Suite de mon précédent aveu :
J'avoue que j'ai continué à coucher avec mon collègue, une fois par semaine, ou toutes les deux semaines, jusqu'à cet été.
J'avoue que c'est le meilleur amant de ma vie, et qu'il me fait jouir comme personne.
J'avoue qu'une fois, je lui ai fait une gâterie dans son bureau, et que j'ai adoré.
J'avoue qu'au boulot, il est parfois très difficile de gérer la frustration, de faire comme si de rien n'était.
J'avoue jubiler intérieurement en me disant que personne ne sait, et qu'ils tomberaient tous de bien haut s'ils savaient.
J'avoue que certaines personnes font des sous-entendus, mais nous sommes assez malins pour ne pas nous faire griller.
J'avoue que le mensonge est devenu une seconde nature.
J'avoue que je pense que même si je sortais avec un mec, je ne pourrais pas le lâcher.
J'avoue que c'est la rentrée, et que j'attends avec une impatience dévorante que l'on remette ça.
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Paracétamol, 26 ans, Paris
J'avoue qu'un de mes collègues me met dans tous mes états dès qu'il est dans la même pièce.
J'avoue que cela fait sept mois que je le provoque.
J'avoue que ma persévérance a payé, puisque j'ai passé la nuit chez lui il y a deux jours.
J'avoue que j'ai à nouveau passé la nuit chez lui hier soir.
J'avoue qu'il est marié (mais il ne vit pas avec sa femme, et "est avec sans être avec"), et que nous avons 16 ans d'écart.
J'avoue que je ne culpabilise absolument pas ; j'avoue aussi qu'il pourrait presque être mon père, mais que je m'en fous car je prends bien mon pied avec lui.
J'avoue que devant les collègues et le boss, il va falloir faire comme si de rien n'était et que je trouve cette situation excitante.
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Paracétamol, 26 ans, Paris
J'avoue que je ne suis plus non plus avec le mec de mon précédent aveu.
J'avoue que ça a tenu deux mois et que j'en ai eu marre de son comportement (toujours occupé par 15 000 trucs, pas fiable, toujours des excuses bidons, jamais de temps, on partageait rien, etc.)
J'avoue être bien mieux sans lui.
J'avoue que mon ex m'a dit ne pas arriver à ne pas penser souvent à moi, qu'aucune autre ne trouvait grâce à ses yeux, et qu'il comparait tout le temps.
J'avoue que là je me sens bien toute seule.
J'avoue que malgré tout, je me questionne sur un pote, j'ai du mal à comprendre ce que je ressens pour lui. On se voit très peu mais on communique beaucoup, on peut papoter pendant des heures... Mais lui proposer un rendez vous me stresse, il est si calme... Je le vois dans quelques jours normalement, si son boulot ne l'en empêche pas.
Bref je ne sais pas quoi faire, je crois que j'ai bien envie d'essayer un truc avec lui, même si je suis bien toute seule, je n'ai pas envie qu'il me passe sous le nez...
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Paracétamol, 25 ans, Paris
J'avoue que j'ai effectivement passé la nuit avec mon collègue la veille de mon départ.
J'avoue que le lendemain je rejoignais mon mec, et que j'ai été froide et distante, même si j'ai essayé de prendre sur moi.
J'avoue que nous sommes partis en vacances comme prévu et que cela ne s'est malheureusement pas très bien passé.
J'avoue que je n'avais plus du tout envie de lui et que c'était vraiment dur à vivre.
J'avoue qu'en rentrant de vacances, il a voulu que l'on prenne du recul et que l'on réfléchisse.
J'avoue que sur le coup ça m'a fait un peu mal, mais que finalement j'ai réalisé que moi aussi j'avais besoin de réfléchir.
J'avoue que 9 jours après, je suis sortie danser avec un copain, à qui je plaisais, et qui me plaisait, même si on s'était dit qu'il ne se passerait rien, compte tenu de ma situation.
J'avoue qu'au bout de 3h on a craqué et on s'est embrassés.
J'avoue que j'ai su à ce moment-là que pour moi c'était terminé avec mon mec, et que le collègue avait été le déclic.
J'avoue que le lendemain j'ai appelé mon mec pour que l'on se sépare.
J'avoue que trois jours après je revoyais le copain de la soirée et que l'on décidait de se mettre ensemble.
J'avoue que je suis donc avec lui depuis presque un mois, et que pas une seconde je n'ai regretté ma décision (de toutes façons, même sans lui, j'aurais quitté mon ex).
J'avoue que là il est parti depuis plusieurs semaines et revient dans 12 jours, j'avoue qu'il me manque beaucoup, que j'ai vraiment hâte de le revoir et qu'on puisse enfin commencer plus sérieusement notre histoire (non pas qu'elle ne le soit pas, mais on s'est vus trois fois seulement, et nous n'avons pas encore passé de nuit ensemble, vivement !)
J'avoue que j'espère que cela va donner une jolie histoire avec lui...
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Paracétamol, 25 ans, Paris
J'avoue que j'ai réussi à récupérer mon ex, et que nous sommes de nouveau ensemble depuis environ 10mois.
J'avoue qu'il vit à l'étranger et que ce n'est pas toujours évident mais que je tiens la distance car je l'aime et que je ne veux pas le laisser filer une seconde fois, la première fois m'a servi de leçon.
J'avoue que je suis une "séductrice-addict", que j'adore séduire, plaire, jouer avec les limites, mais sans jamais les dépasser.
J'avoue que pendant des mois j'ai résisté aux nombreux mecs qui me couraient après, disant toujours non non non, je suis amoureuse et fidèle.

J'avoue qu'il y a 4 jours, un collègue m'a smackée suite à un défi. J'avoue que sur le coup j'ai eu un mouvement de surprise et de recul, mais que ça ne m'a pas dérangée plus que ça.
J'avoue que ce collègue m'a plu dès que je suis arrivée dans la boite, il y a presque un mois, mais que je m'étais promis de rester sage cette fois, de ne pas draguer, de ne pas chercher à le séduire.
J'avoue que suite à ce smack nous avons pris le RER ensemble et que nous avons fini par nous embrasser.
J'avoue que le lendemain, nous avons passé deux heures et demies ensemble, et que nous avons passé notre temps à rire et nous embrasser.
J'avoue que là, il est passé en horaires de nuit au boulot, et que pour ma part, mon contrat se termine à la fin de la semaine, et qu'après je pars en vacances avec mon chéri. Nous ne devions donc pas nous revoir avant mi-septembre, mais j'avoue que nous ne pensons pas tenir, et que nous allons probablement nous voir la veille de mon départ.
J'avoue qu'il a une copine, et qu'on est sacrément dans la merde si ça continue ainsi...
J'avoue que je pensais ne jamais être infidèle, que j'avais un avis très tranché sur la question, mais je pense qu'il faut vraiment se retrouver dans la situation avant de juger...
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Paracétamol, 24 ans, Paris
J'avoue qu'hier j'ai revu mon ex, après deux mois sans s'être vus... J'avoue que ça a commencé dans les larmes (les miennes) et que ça a fini au lit...
J'avoue que je lui ai dit que je le laissais réfléchir à tout ça et qu'on en reparlait dans quelques jours.
J'avoue que j'ai tout fait, tout dit, pour le récupérer (coucher avec n'était pas prémédité, et à mille lieux de ce que je pouvais imaginer !).
J'avoue qu'il me manque, que ce n'est pas une présence qui me manque, mais bel et bien lui. J'avoue que mon plus grand souhait est que l'on se remette ensemble.

J'avoue que depuis ce matin je suis super angoissée car je suis persuadée qu'il ne va pas nous laisser de seconde chance.
Et j'avoue que déjà que c'était dur de regretter d'avoir rompu, j'avoue que s'il refuse encore de revenir, je vais encore bien morfler...

J'avoue que je t'aime et que je regrette de t'avoir quitté...
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Paracétamol, 24 ans, Paris
J'avoue que je reviens de mon premier bal des pompiers...
J'avoue que j'avais les yeux partout et que j'ai fantasmé comme une dingue sur tous ces pompiers en tenue, leurs jolis fessiers moulés dans leurs pantalons...
J'avoue que j'espérais bien réussir à en serrer au moins un...
J'avoue que je n'ai pas réussi et que quand je voyais avec quel type de fille ils dansaient, je comprenais pourquoi je ne les attirais pas (je ne suis pas blonde...)

J'avoue que je suis rentrée super frustrée d'avoir vu tous ces mecs bien gaulés et que j'aurais adoré en mettre un paquet dans mon lit.

J'avoue que je connaissais déjà les policiers pour les côtoyer de près, et que le niveau était déjà pas mal, mais j'avoue qu'après avoir vu d'aussi près les pompiers, j'ai choisi mon camp.

J'avoue que c'est d'un commun absolument pas original, mais je rêve de me taper un pompier !
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Paracétamol, 24 ans, Paris
J'avoue que j'ai quitté mon mec il y a deux mois et demi environ.
J'avoue que cela faisait trois ans que l'on était ensemble.
J'avoue que je l'ai quitté car je ne me sentais plus épanouie.

J'avoue qu'au début, c'était cool, d'être seule, de faire tout ce que je voulais, quand je voulais, avec qui je voulais.
J'avoue que je me sentais bien, seule.
J'avoue que j'ai déménagé car nous habitions ensemble.

J'avoue qu'aujourd'hui, et depuis plus d'une semaine, je me sens triste.
J'avoue que chaque jour qui passe me rend encore plus triste.
J'avoue que je regrette ce que j'ai fait, que je m'en mords les doigts.
J'avoue qu'il me manque, lui, son odeur, ses bras, sa présence, son humour, tout ce que l'on partageait...
J'avoue qu'il va très probablement partir travailler à l'étranger en septembre et que l'apprendre m'a foutu un coup.

J'avoue que je veux le récupérer, mais que j'ai peu d'espoir.

J'avoue que je l'aime et que je donnerai beaucoup pour qu'il revienne...
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Paracétamol, 24 ans, Paris
J'avoue que j'ai quitté mon copain après trois ans de relation... J'avoue que ça n'a pas été une décision facile à prendre, et que je ne suis pas sûre qu'elle soit la bonne...

J'avoue avoir rencontré sur mon lieu de stage (un commissariat) un garçon très très charmant, très à mon goût, et moi très au sien... J'avoue que l'on s'est rapidement tournés autour et que nous avons rapidement commencé à flirter, pour finalement coucher ensemble.
J'avoue que dès que je le vois j'ai envie de lui, je suis excitée comme une folle.
J'avoue que j'adore sa façon de me regarder lorsque je l'excite, j'adore sa façon de me toucher, de m'embrasser, de me caresser et de me prendre.

J'avoue qu'avec mon copain, le sexe était devenu rare et plutôt monotone, et qu'avec ce mec là, j'ai de nouveau ressenti l'envie, le désir, la bestialité...

Mais j'avoue également que ces deux fois risquent de ne pas être suivies d'une troisième, car les choses sont compliquées de son côté, et qu'à priori il souhaite que je redevienne simple 'collègue de travail'.
J'avoue que cela me fait mal au coeur, d'autant que je n'attendais rien d'autre de lui que du plaisir au lit.

J'avoue que j'espère bien qu'il changera d'avis.

J'avoue qu'en attendant, je vais partir en chasse ailleurs, j'ai quelques occasions ratées à rattraper...
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Paracétamol, 23 ans, Paris
J'avoue qu'il y a 4 ans, j'ai avoué sur ce site avoir flirté avec un de mes collègues de bureau, qui était en couple et avec un enfant.
J'avoue qu'à ce moment-là, nous n'avions pas couché ensemble car - raison honteuse - je n'étais pas épilée ce jour-là.
J'avoue que cet été, je bosse à nouveau dans cette même boite. Lui y est toujours, mais sur un autre site à plusieurs kilomètres de là.
J'avoue que l'on s'est revus début juillet, quatre ans après, donc, et qu'à la seconde où nos yeux se sont croisés, nous avons su tous les deux que tout était pareil qu'il y a 4 ans. Que nous avions toujours autant envie l'un de l'autre. Que dès que nous sommes dans la même pièce, nous ressentons une terrible tension sexuelle entre nous. Que nous n'avons qu'une envie, c'est de bai*ser sur l'instant.
J'avoue qu'il m'a raccompagnée en voiture ce jour-là, et que cela a été très difficile à gérer car nous av(i)ons très envie de reprendre les choses là où nous les avions laissées, mais le détail qui a son importance est qu’aujourd’hui, je suis en couple, et qu’il m’est impossible d’être infidèle. J’avoue qu’il m’a dit qu’à l’époque j’avais un peu foutu le bordel dans sa tête et son couple ; que lui et sa copine s’étaient séparés un an environ, que là ils s’étaient remis ensemble, qu’il n’avait pas envie de la tromper, sauf si c’était avec moi.
J’avoue que l’on s’envoie des textos où l’on se dit ce que l’on pense, où l’on se cherche et j’avoue que c’est très dur pour moi de supporter ma culpabilité (et ma frustration). J’avoue que je lui demande sans cesse s’il va passer au boulot, pour le voir et ressentir ce désir de part et d’autre ; et même si je lui ai dit qu’il ne se passerait rien entre nous, cela sonnait faux… Il ne se passera rien, car je ne peux tolérer l’idée même d’être infidèle, mais que c’est dur… que j’en ai envie…
J’avoue que je suis toujours amoureuse de mon copain, que je ne me vois pas être sans lui ou le quitter, mais j’avoue que j’ai découvert le pur désir physique sans sentiments, le « uniquement sexuel ».
J’avoue que je fantasme à l’idée qu’il me prenne sauvagement n’importe où, plusieurs fois, avec toute la bestialité qui je le sens, serait présente en(tre) nous.
J’avoue que j’aimerai pouvoir m’envoyer en l’air avec lui, sans conséquences, mais j’avoue que j’en suis incapable, car trop droite.
J’avoue que je m’en veux de ressentir ce désir envers lui, que je m’en veux d’avoir envie de lui, encore plus intensément qu’il y a quatre ans.
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Paracetamol, 20 ans, Paris
J'avoue qu'hier soir je suis allée en boîte avec une amie ; j'avoue que je me suis bien défoulée, et que j'en ai bien profité, moi qui suis assez timide 'le jour', je me suis lâchée : j'ai dansé sur un cube ; j'ai dansé collé-serré frotti-frotta avec 5 ou 6 mecs ; j'ai roulé des grosses pelles à trois mecs (revenant au premier quand le deuxième s'en allait, et revenant au deuxième quand le premier s'en allait ; il n'y a que le troisième qui a eu l'exclusivité) ; j'ai donné mon numéro à deux...
Bref, je suis peut-être passée pour une allumeuse, mais je m'en fiche, je ne connais pas les gens, et je me suis fait plaisir, c'est ce qui compte !
Et j'avoue que le dernier avec qui j'ai flirté m'a envoyé un texto et veut me revoir... On verra bien.
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Paracétamol, 20 ans, Paris
J'ai obtenu ma deuxième année de licence du premier coup ; j'ai trouvé un stage pour la troisième année ; j'ai fait de l'intérim dans trois boîtes différentes où il y a eu du bon, et du moins bon ; je ne suis plus amoureuse de mon pote de fac que j'ai aimé pendant plus d'un an ; je suis retournée à Nantes (ma ville natale) quelques jours (et même qu'un pote d'une copine avec qui j'ai dormi, voulait sortir avec moi, j'ai passé au moins 3h (mais des vraies hein, pas une façon de parler) à repousser ses assauts, tout ça parce que j'avais quelqu'un d'autre en tête...) ; et là je m'apprête bientôt à reprendre les cours, j'ai hâte !

Côté sentimental : hier matin, j'étais célibataire, hier après-midi et jusqu'à ce soir j'avais un chéri, et me re-voilà célibataire. En effet, la journée que nous avons passés ensemble hier était très bien, je lui manque, il veut me revoir et tout, mais ce n'est pas dans ses habitudes de commencer une relation avant d'être amoureux, il préfère donc que l'on se voit et attendre de voir si des sentiments apparaissent. Autant dire que suite à la discussion que nous avons eu, je me sens en miettes (moi qui me disais que j'allais enfin être heureusement sentimentalement parlant !) ;
J'ai l'impression de n'être que la fille avec qui on flirte une journée mais avec qui on ne veut pas s'engager ; j'ai peur de ne pas le 'récupérer' ; j'aimerai reprendre le train pour chez lui et faire naître les sentiments qu'il attend ; j'ai hâte de le revoir (mais pas avant au moins trois semaines...) ; mais j'ai peur...
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Paracétamol, 20 ans, Paris
Lundi j'étais en amphi avec deux copines, quand deux mecs d'une autre filière sont entrés, et un des deux est venu nous parler pour nous demander une feuille et nous poser quelques questions sur les cours, en vue d'une éventuelle inscription en psycho. Après, je suis allée les voir pour leur proposer de feuilleter mes cours. Puis, après, pendant le cours, ils sont partis, du coup je ne connais ni le prénom de celui qui me plaisait, et je ne lui ai même pas donné mon adresse email...
Alors si toi, garçon, qui portait un tee-shirt vert (et ton pote un tee-shirt rouge), que tu es actuellement en histoire, que tu as parlé à une fille (moi) avec un petit haut à rayures, et qu'au cours auquel tu as assisté il y avait un intervenant qui parlait des personnes âgées : fais-moi signe !
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Paracétamol, 20 ans, Paris
J'avoue que j'ai envie de partir en weekend à Bruxelles ; j'ai demandé à une copine si ça lui disait et elle me répond qu'elle préfèrerait partir en Avril car là elle va aller au ski et ça va déjà coûter cher. Pfff je trouve ça naze les gens qui partent tous les ans au ski, comme un automatisme : février égal ski. Moi, j'ai pas envie d'attendre Avril, alors je fais quoi, je pars seule ? C'est pas un problème d'être seule, en soi, juste qu'il faut que j'ose...
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Paracétamol, 19 ans, Paris
J'avoue que je suis amoureuse. J'avoue que le garçon dont je suis dingue, eh bien, je ne suis pas avec. J'avoue que c'est celui dont j'ai déjà parlé maintes et maintes fois ici ; celui que je côtoie à la fac depuis un an ; celui avec qui j'ai abordé plusieurs fois le sujet d'un 'nous' éventuel ; celui qui m'a appris en septembre qu'il n'était plus avec sa copine depuis avant l'été ; celui qui est parti tout l'été dans le sud chez ses parents et que je n'ai donc pas vu, bref je pourrai continuer un long moment comme ça.
J'avoue que tout va de mieux en mieux entre nous ; au mois d'octobre, ça n'allait pas car il ne pouvait s'empêcher d'émettre une critique dès que j'ouvrais la bouche, et j'avoue que depuis que je lui en ai fait la remarque, tout roule (d'ailleurs, quand je lui ai dit que le fait qu'il fasse toujours des critiques, ça commençait à me saouler, il m'a répondu que c'était pour me mettre à distance, ensuite j'ai repris sa phrase en disant "alors comme ça, tu veux me mettre à distance...", qu'il a dit qu'en fait non ce n'était pas tout à fait ça, que j'ai demandé ce qu'il voulait alors, et qu'il m'a répondu qu'il ne savait pas). J'avoue que maintenant, il est carrément moins critique, voire presque plus du tout ; on passe de plus en plus de temps ensemble et la qualité suit ; il fait plus attention à moi dans ce qu'il dit et dans ce qu'il fait, etc.
J'avoue que c'est de plus en plus dur de ne pas l'embrasser, me serrer contre lui, lui prendre la main... J'avoue que quand il me regarde dans les yeux, j'oublie tout ce qui se passe autour ; que passer du temps avec lui me rend heureuse ; que je pourrai faire beaucoup de choses s'il me le demandait.
J'avoue que je souffre, qu'il faudrait que je me lance, mais que j'ai trop peur de tout gâcher, vu que les choses vont de mieux en mieux entre nous. J'avoue que je meurs d'envie qu'il fasse le premier pas.
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Paracétamol, 19 ans, Paris
J'avoue que j'ai trouvé l'aveu de Bobby Digital touchant, et que j'aimerai que quelqu'un pense à moi comme ça, que quelqu'un s'inquiète lorsque je ne donne pas de nouvelles...
J'avoue que le collègue qui m'a embrassé m'a emmené le lendemain chez lui, ou plutôt, chez eux, et que nous avons flirtés. J'avoue que le lendemain il était en congés et qu'il rejoignait sa copine et leur bébé. J'avoue qu'il n'était pas sûr que je le revois, mais vu que j'ai été prolongée au boulot jusqu'à la mi-septembre, et qu'il revient début de ce même mois, du coup, si, et j'avoue que je mentirais en disant que je n'ai pas envie de terminer ce que nous avons commencé. Mais rien n'est moins certain, malheureusement...
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Paracétamol, 19 ans, Paris
J'avoue que dès que je suis arrivée dans la boîte au début de l'été, un de mes collègues a attiré mon regard. J'avoue qu'il est vraiment bien foutu ; j'avoue que je l'ai cherché verbalement, qu'il me semblait plutôt froid, mais qu'en fait, c'était plutôt l'inverse car il m'a dit que je le mettais en péril, qu'il gérait ses gestes mais que ça ne l'empêchait pas de penser, et que s'il n'était pas avec sa copine il m'aurait déjà sauté dessus. Et oui car avec ma chance habituelle, il est avec sa copine depuis plusieurs années, et ils ont même un enfant en bas âge...
J'avoue que cet après-midi il m'a embrassé, et que je n'ai aucune mauvaise conscience envers 'elle'.
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Paracétamol, 19 ans, Paris
Je bosse depuis le début de la semaine et j'avoue que je fantasme sur un des informaticiens de la boîte. J'avoue qu'il a quand même au moins la quarantaine, qu'il n'est pas spécialement beau mais qu'il dégage quelque chose, que je ne l'ai vu que deux trois fois, et qu'en plus mon père l'aime bien (car je bosse à sa boîte), mais que je ne peux pas m'empêcher de lui faire de grands sourires - sincères, ce qui n'est pas le cas pour tout le monde ! - quand je le croise. J'avoue que ce midi, je n'étais pas sortie pour déjeuner, je lisais donc à "mon" bureau et je l'ai aperçu par la vitre d'un des bureaux du service où je travaille, et j'avoue que je me suis sentie assez excitée à l'idée qu'il pourrait me prendre, là, tout de suite. J'avoue que dans l'après-midi, je l'ai croisé dans le couloir quand j'allais aux toilettes et que même chose, je me suis imaginée qu'il aurait pu me plaquer contre le mur, derrière les tas de cartons qui encombrent le passage. J'avoue que rien que d'y repenser, ça m'émoustille à nouveau, et j'avoue également qu'il va falloir que je me calme car ça ne se fera jamais.
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Paracétamol, 19 ans, Paris
J'avoue que je m'en fiche totalement du foot, et que ça me gave de voir tout le monde accroché à sa télé ; et le pire, ce sont tous ces put**** de klaxons qui durent des heures alors que la France n'est même pas championne du monde ! J'avoue que ça me saoule et que j'aimerai bien pouvoir m'endormir car je bosse, moi, et c'est déjà assez dur de me lever à 6h tous les jours ! J'avoue que je souhaite de tout mon coeur que la France perde la finale !
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Paracétamol, 19 ans, Paris
J'avoue que je vis encore chez mes parents et que je m'y sens bien, mais j'avoue que je commence à avoir de plus en plus envie d'avoir mon petit chez moi. J'avoue que je vais devoir attendre sûrement au moins un an minimum, le temps de trouver un boulot compatible avec mes horaires à la fac et de mettre mon salaire de côté... J'avoue que j'aimerai avoir un petit appartement dans Paris même.
J'avoue que des fois, j'aimerai bien coucher avec un mec rencontré comme ça, sans forcément le connaître, juste parce que l'on s'attire.
J'avoue que le dîner qui devait avoir lieu avec un des mecs qui me plaît beaucoup a été annulé et remis à une date ultérieure, et que j'aimerai beaucoup la connaître, cette date, car je meurs d'envie de le voir et de l'embrasser ! J'avoue que j'espère qu'il ne m'évite pas et qu'il n'a pas décidé de couper les ponts...
J'avoue que j'ai été voir "Paris je t'aime" au cinéma dimanche dernier avec l'autre mec qui me plaît (celui de ma fac) et que pendant la séance nous étions assez proches et que ce moment est passé beaucoup trop vite ! J'avoue qu'il est rentré chez ses parents pour l'été pour bosser, et que donc je ne le revois pas avant septembre, et que si moi aussi je vais travailler, c'est en partie pour que ces vacances passent plus vite.
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Paracétamol, 19 ans, Paris
J'avoue que j'espère que les poufiasses de la fac qui le collent ne vont pas passer en deuxième année. Non, je ne suis pas mesquine mais il faut bien qu'il y ait un certain taux d'échec... Bon, d'accord, je suis mesquine. Mais je ne veux et peux plus les voir !
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Paracétamol, 19 ans, Paris
J'avoue que je passe - non sans soulagement - en deuxième année de licence, et sans rattrapage.
J'avoue que les partiels d'informatique dont j'avais parlé au début du semestre, je les ai réussis de manière presque excellente, et que j'en suis fière.
J'avoue qu'il est prévu que je dîne la semaine prochaine avec le garçon qui me plait, dont j'ai déjà parlé mainte et mainte fois... Il est bien entendu toujours avec 'elle', mais il ne se gêne pas vraiment pour me chercher et tenir certains propos... J'avoue que j'aimerai pouvoir dire après ce dîner des choses telles qu'il y a dans l'aveu d'Edwin7.
J'avoue qu'à force de me chercher, on finit me trouver...
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Paracétamol, 19 ans, Paris
J'avoue que nous avons enfin eu cette conversation... J'avoue que même si je m'y étais préparée, je me sens mal. J'avoue que dimanche nous avons passé l'après-midi ensemble, que j'étais vraiment bien, que je voulais me lancer pour savoir où il en était avec sa copine, et savoir ce que j'étais, moi ; mais j'avoue que je n'ai pas réussi. J'avoue que je l'ai donc fait ce matin, et que depuis je me sens vide. Ca va mieux avec sa copine ; il est satisfait de sa situation ; il est attaché à moi ; ce n'est pas qu'il ne veut pas être avec moi, mais c'est qu'il ne veut pas être avec quelqu'un d'autre qu'elle, etc. J'avoue que ça me fait mal car je commençais fortement à ressentir des choses pour lui (c'est un de mes deux coups de coeur, et les deux sont malheureusement pris, compliqués et douloureux). J'avoue qu'il ne sera pas à Paris cet été. J'avoue qu'il va me manquer. J'avoue enfin que je n'ai qu'une hâte, c'est de reprendre les cours... Enfin, il faudrait déjà avoir les résultats des partiels, mais j'attends septembre avec impatience.
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Paracétamol, 19 ans, Paris
J'avoue que cet après-midi, en amphi, j'ai été prise d'une rage folle ! En effet, le mec qui me plaît, celui qui était venu chez moi il y a quelques temps, dont j'avais parlé dans un aveu, est le genre de mec à être toujours entouré de filles ; le genre de mec qui plaît et qui doit le savoir. Et aujourd'hui, il était assis à côté d'une blondasse qui, plusieurs fois pendant l'heure, a posé sa tête sur son épaule ! Quand j'ai vu ça, j'ai été piquée au vif et étant une jalouse invertébrée, j'ai trouvé ça très déplacé, et d'une, ce n'est pas sa copine ; et de deux, on ne se permet pas ce genre de chose en plein cours ! et puis biensûr, cela m'a blessé... J'avoue qu'ensuite j'ai eu une petite discussion avec lui, que je lui ai limite fait une scène de jalousie alors que c'est même pas mon chéri... J'avoue que mon caractère n'est pas toujours facile à vivre, mais qu'au moins, je ne joue pas l'hypocrite, et que quand ça va pas, ça va pas !
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