4 aveux trouvés
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Cerise, 20 ans, Bruxelles
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J'avoue que j'en ai marre :
1- d'avoir attendu toute la journée que mon portable vibre par l'un de ses textos.
2- de me faire engueuler par ma petite soeur (à qui j'ai tout intérêt à obéir parce qu'elle est beaucoup plus costaud que moi) parce que je monopolise le PC au cas où monsieur daignerait se connecter.
J'avoue que là, j'ai vraiment l'air d'une grosse conne. Il est 00.34, je suis toute seule devant mon écran et il ne vient même pas me causer ! J'en ai marre. Je vais dormir !
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Cerise, 20 ans, Bruxelles
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J’avoue, je n'avais qu’une envie : me débarrasser de lui !
Alors que je revenais des courses avec ma sœur, je le vois qui attend devant la maison. Il m’avait faite une surprise. On passe la journée en ville et tout se passe bien. Au retour, ma sœur l’invite à rester dîner avec nous. Ca m’ennuie parce que je comptais passer la soirée peinarde sur MSN avec mon ex copain, ce beau français, ce qui devient dès lors, évidemment impossible. Le repas se passe bien malgré la musique qui annonce la connexion de mon beau petit français qui se met en route toutes les 10 minutes. Il s’éternise et reste encore et encore mais je ne pense qu’à une chose : mon français qui m’attend sur MSN. J’arrive enfin à me débarrasser de lui. A peine la porte fermée, je me rue sur le pc : la Web Cam est lancée, on peut commencer ! Je suis en pleine conversation et tout à coup, on sonne alors qu’il est déjà tard. C’était lui ! Il n’était pas parti, pensait à moi dans sa voiture et n’avait pas su s’empêcher de revenir pour quelques derniers baisers. J’ai le temps de couper la Web Cam, de demander à mon français de patienter (le temps que je remballe l’autre). Tout ça fait beaucoup rire ma sœur et son copain. On discute, le temps passe (et je n’espère même plus que mon français m’attende). Il se décide enfin à partir (il est 2h du matin). Je le reconduis. Je coupe le pc, déçue de mon rendez-vous manqué. Je monte les escaliers pour me rendre dans ma chambre et on sonne à nouveau (« Non, c’est pas possible, c’est de nouveau lui ?? »). J’avais raison, c’était lui. Il arrive affolé en me disant qu’on lui a piqué sa caisse. Je ne comprends rien (je suis légèrement fatiguée). Je regarde dehors et ne vois aucune voiture sur le boulevard. A cet instant, un méchant fou rire m’envahit. Il avait laissé sa voiture alors qu’il y avait un panneau qui l’interdisait pour la durée de la nuit. Ce ne serait pas arrivé s’il n’avait pas décidé de revenir. Ce n’est pas tout de rigoler de son malheur mais il ne sait plus rentrer chez lui : plus de voiture, plus de trains etc. Je n’ai donc pas trop le choix, je l’invite à passer la nuit à la maison. Je lui propose la chambre de ma petite sœur qui est en vacances mais une fois dans mon lit (et oui il m’arrive d’être gentille quand même), je culpabilise de le faire dormir tout seul au 2ème étage alors que ma sœur, son copain et moi dormons au 3ème. Il se déshabille pour dormir. Il est torse nu et je me rends compte qu’il ne me plait mais alors … pas du tout. Poils et poignets d’amour alors que je suis habituée aux tablettes de chocolat toutes lisses. Je descends dans la salle de bain et reviens revêtue de mon plus vieux pyjama acheté chez Carrefour (pas du tout sexy comme vous l’imaginez). Ma sœur et son copain éclatent de rire en me voyant débarquer dans ma sublime tenue. En effet, ça changeait des petites nuisettes que j’ai l’habitude de porter pour dormir. Il n’était pas question de l’inciter à me toucher ! Le matin venu, je l’accompagne gentiment à la police pour connaître l’adresse de la fourrière et le conduit au tram pour qu’il s’y rende. Je rentre à la maison et me prélasse sur ma terrasse où il fait beau et chaud. Soudain, on sonne. Ma sœur, son petit ami et moi nous regardons « nooooooon, encore lui ! ». On avait bien raison. Je n’ai su me débarrasser de lui qu’en fin de journée. C’est la dernière fois qu’il est venu à la maison…
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Cerise, 20 ans, Bruxelles
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J’avoue, je lui ai encore menti mais il l’a bien mérité le sale radin !
C’était le début des vacances de Pâques. J’étais retournée sur Bruxelles alors qu’il était resté sur le campus universitaire, dans son kot. Il m’appelle le dimanche matin pour savoir si je veux passer l’après-midi avec lui. J’accepte mais il demande que je vienne sur le campus. Il ajoute qu’il me reconduira ensuite chez moi. Je me tape donc le tram, le métro et le train pour enfin arriver chez lui une heure après. On passe l’après-midi ensemble et le soir venu, on embarque dans sa voiture pour qu’il me ramène chez moi comme prévu. Il s’arrête à la première pompe à essence et me réclame, tandis qu’il remplissait le réservoir, 2 euros pour le trajet. Je n’en revenais pas … ! Je lui dis que je n’ai pas de monnaie sur moi (et puis quoi encore !? Je m’étais tapé trois transports en commun pour venir et il ose me faire payer le trajet du retour !). Je m’attendais à ce qu’il me ramène chez moi alors qu’il me dépose à une station de métro. Je lui dis au revoir tout en me disant qu’il ne s’est vraiment pas foulé. Une fois dans la station, je ne trouve pas la ligne à emprunter. Je demande à un jeune homme où je suis, je passe pour une imbécile et quelques secondes plus tard, je me rends compte que je ne connais pas cette station tout simplement parce qu’elle se trouve de l’autre côté de Bruxelles.
J’avais bien fait de ne pas lui donner mes 2 euros … et la prochaine fois (s’il y en a une) il pourra se brosser pour que je me déplace !
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Cerise, 20 ans, Bruxelles
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J’avoue, j’ai menti mais c’était pour ne pas passer pour la fille qui n’a plus de tunes ! Je n’avais jamais prêté attention à lui avant que ma kokotteuse ne m’avoue, lors d’une discussion entre filles, qu’elle le trouvait très charmant. Après s’être tournés autour pendant quelques jours, il se décide à m’inviter à boire un verre en ville. Il choisit un bar antillais, le même bar où mon ex copain m’avait invitée pour le premier rendez-vous. On se cale dans un coin tranquille et commande deux cocktails en me prévenant qu’il paye la première tournée mais que je devrai payer la deuxième. Je ne prête pas trop attention à cette réflexion tout en me disant qu’il aurait pu se passer de ce commentaire pour notre première sortie tous les deux. Quelques minutes plus tard, il appelle la serveuse et demande le prix des deux cocktails (Je me dis que décidément, il accorde beaucoup d’importance à l’argent). Celle-ci lui répond que tous les cocktails sont à 8€. Le calcul s’effectue immédiatement dans ma petite caboche et après 30 secondes (je n’ai jamais été très douée en calcul mental), je me rends compte que je n’aurai pas assez pour payer la deuxième tournée (il ne me restait qu’un pauvre billet de 10 euros, ce qui était bien sur insuffisant pour payer les deux consommations). Après quelques minutes, il me demande «tu n’aimes pas ton cocktail ? Tu n’as presque rien bu ! » (Mais non idiot, mais je sais que dès que mon verre sera vide, tu t’empresseras de commander un cocktail !’). Je termine finalement mon verre et demande avec un sourire auquel nul ne peut normalement résister : «On bouge ?». Il accepte mais m’emmène rapidement à l’entrée d’un café «le cercueil» réputé pour son atmosphère morbide. Il est tout excité à l’idée de boire dans un crâne humain mais j’insiste pour qu’il me ramène car je suis fatiguée (ce qui n’était pas vrai du tout, je pétais la forme). J’avais toujours mon billet de 10 euros en tête, qui n’allait pas suffire à payer nos consommations, Monsieur ne sachant pas se contenter d’un coca. Finalement, il valait mieux qu’il ne boive pas… c’était le bob après tout !
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